Elle commença à me caresser, la poitrine bien évidemment, et moi je la laissais faire, trop heureuse de ce moment de tendresse en plein air. Elle finit par ôter mon top, puis mon soutif. Elle posa enfin ses lèvres gourmandes sur mes tétons déjà durs. Sa main droite s’aventura dans mon cycliste, seul vêtement qu’elle m’avait conseillé de porter aujourd’hui, et je comprenais mieux pourquoi.
Elle embrassait mes tétons, l’un après l’autre, tandis que sa main trouva enfin mon clito. Elle caressait bien, la coquine, m’amenant à la limite de la jouissance. Mais moi, j’en voulais plus. La voir d’abord. Je me relevais un peu pour soulever son tee-shirt, le passer par-dessus sa tête et défaire son soutif également. Nous étions toutes les deux, torse nu. Je continuais mon exploration vers son ventre, musclé, son cycliste que je fis descendre, entrainant son string avec.
Elle était nue, mis à part ses socquettes et chaussures. Je plongeais entre ses cuisses qui s’ouvrirent tout naturellement. Je pouvais enfin gouter encore une fois à sa chatte toute épilée, sa mouille délicieuse. Car elle mouillait déjà, pas beaucoup, mais mes coups de langue eurent tôt fait d’arranger ça. Elle se pâmait littéralement sous mes caresses. La sentant prête à venir à son tour, je me relevais, ôtais cycliste et string pour me retrouver aussi nue qu’elle, et plaçais ma chatte au-dessus de sa bouche, tandis que je replongeais dans le compas de ses cuisses.
Il ne nous fallut pas longtemps pour jouir l’une comme l’autre mais nous sommes restées ainsi, continuant à se lécher mutuellement. Un gros quart d’heure après, je jouissais une nouvelle fois dans sa bouche. Une fois bien nettoyée, je lui donnais ma poitrine à téter, ma main curieuse découvrant et jouant avec son bouton d’amour. Elle jouit une nouvelle fois, très fort, mais tout en silence. La jouissance la rendait encore plus belle, plus resplendissante.
Serrées dans les bras l’une de l’autre, nous profitions pleinement de l’instant présent, priant qu’il dure à jamais. Myriam voulut aller se baigner et sortit un maillot deux pièces et commença à l’enfiler. Je lui fis remarquer qu’elle ne l’avait pas demandé de prévoir un maillot, mais vu l’isolement où nous étions, cela ne me dérangeait pas de me baigner toute nue, à condition qu’elle en fasse autant. Elle me sourit et me demanda de lui ôter moi-même, le bas de son maillot qu’elle avait déjà enfilé. Je ne fis pas prier et descendis lentement sa culotte, me laissant apercevoir à nouveau sa jolie fente. Elle m’aida à me lever et c’est main dans la main que nous entrions dans l’eau. Le soleil avait bien donné ces derniers jours et l’eau, bien que fraiche au début, était à la température idéale pour un bain plaisir. De l’eau jusqu’à la naissance des seins pour moi, elle recommença à me caresser. Elle était un peu plus grande que moi et sa poitrine était bien au-dessus de l’eau. Mais moi, c’est ses fesses que je me plaisais à malaxer sans vergogne.
Myriam me souleva les fesses pour m’aider à faire la planche. Moi, bien raide, seule ma poitrine ressortait de l’eau, et à portée de sa bouche. Elle ne se priva pas, d’autant que je n’attendais que ça. Ma main droite caressait toujours ses jolies fesses et je la sentis frémir de bonheur quand mon majeur s’introduit enfin dans son cul. Elle semblait apprécier tout particulièrement cette caresse.
Après un bon moment passé dans l’eau, sans être dérangées, nous avons rejoint nos serviettes. À mon tour, je m’occupais de sa poitrine. Autant j’aimais qu’on s’occupe de la mienne, autant j’aimais sucer et triturer des tétons. Puis je la retournais sur le ventre pour lui lécher le cul. Quand ma langue s’approcha de sa rondelle, elle eut un mouvement de recul, comme si elle ne voulait plus, mais devant mon insistance, elle finit par me laisser introduire ma langue en elle.
Je la sentis de détendre totalement, et s’abandonner au plaisir de se faire baiser le cul. Je glissais une main indiscrète sur sa chatte et l’humidité que j’y trouvais ne laissait aucun doute. Elle avait encore joui, en silence, comme une voleuse. Je la retournais une nouvelle fois sur le dos et ses cuisses s’écartèrent toutes seules quand je me glissais entre.
Doucement, je frottais ma chatte contre la sienne, déjà trempée. Puis j’accélérais les mouvements d’avant en arrière, je me branlais littéralement contre sa fente. Nos mouilles se mélangèrent, elle cherchait désespérément à reprendre son souffle, à garder le contrôle. Mais je me mis à aller de plus en plus vite. Nos deux clitos entrèrent en collision et enfin elle se lâcha pour crier son plaisir. Pour le hurler, je devrais dire. Jamais je n’entendis un cri d’amour si puissant. Et j’étais si fière de moi, d’être la cause de ce cri.
J’étais encore un peu novice en ce qui concerne les jeux d’amours entre femmes et réussir à faire hurler cette femme si belle de plaisir me comblait de bonheur.
Je lui laissais quelques minutes pour reprendre ses esprits, puis je lui redonnais ma chatte à nettoyer, tandis que je lui en faisais de même.
Puis nous nous sommes rhabillées l’une l’autre. Quel plaisir délicieux d’habiller une femme, et se laisser faire ensuite. Nous avons repris les VTT pour regagner la voiture. En chemin, nous avons laissé les vélos chez l’amie qui les lui avait prêtés, ainsi que le support. Nous sommes rentrées sur Nantes, heureuses de cette magnifique journée, et nous promettant d’en avoir beaucoup d’autres.
Élise et moi sommes restées très proches. Nous n’étions pas « ensemble » à proprement parlé mais jamais bien loin l’une de l’autre. Elle avait ses propres aventures, j’avais les miennes et parfois, on se voyait pour se raconter nos histoires et toujours, elle finissait par me faire l’amour divinement.
Quant à Myriam, comme je l’ai déjà dit, je l’ai revue quelques fois, chez elle et chaque fois, c’est moi qui demandais à la revoir. Sauf une fois où elle se sentait vraiment trop seule et c’est elle qui m’avait invitée pour un weekend au bord de la mer. J’avais accepté, bien sûr, mais avant d’y aller, je me devais de faire mon coming out auprès de mes parents.
Un soir, nous avons donc discuté de majorité sexuelle et c’est à cette occasion que je leur ai annoncé mon attrait pour les filles, uniquement les filles. Ma mère n’a pas eu l’air surprise, elle ne me voyait jamais avec des garçons et commençait à s’en douter un peu, même si elle pensait que ce pouvait n’être que passager, une expérience de jeunesse.