Floriane jouit une nouvelle fois sur la bouche avide. Elle fit demi-tour pour se retrouver face à Val qui continuait sa progression dans le cul offert. Elle entrait lentement pour bien profiter de chaque centimètre. Floriane s’amusa avec le clito gorgé de plaisir. Jenny poussait un râle continuel, exprimant sa gratitude envers ses complices.
Elle jouit encore une fois quand Val arriva au fond de son cul. Un moment de répit et Val commença à aller et venir en elle, doucement d’abord, puis plus vite. Floriane regardait avec effroi la queue monstrueuse qui baisait ce cul. Elle pensait que jamais, elle ne pourrait accueillir un tel engin. Encore moins dans son cul.
Sa main caressait toujours le clito, s’approcha de la fente et s’introduisit dans la chatte. Jenny faisait « non, non, non » avec sa tête mais personne ne la voyait, ni n’écoutait ses plaintes. Qui se transformèrent très vite en cris de joie. Elle était remplie, et des deux côtés. Elle jouit une nouvelle fois quand le poignet força le passage, puis une seconde fois en sentant les petits doigts la caresser mais de l’intérieur. Jouant avec le gode, juste derrière la fine membrane. Elle ne comptait plus depuis longtemps les orgasmes à répétition, ou bien était-ce le même qui durait indéfiniment ? Un dernier spasme, plus violent, et elle perdit connaissance. Quand elle revint enfin à elle, Floriane finissait de lécher Val qui venait de jouir à son tour. Elle se rendormit aussitôt, exténuée par cette baise mémorable.
Le lendemain, samedi, elle se rendit chez Gladys pour sa leçon de langue. C’est Gladys qui avait appelé ainsi les cours d’anglais qu’elle lui donnait. La maman l’accueillit et, tout de suite, lui régla les heures passées avec sa fille, ainsi que celle du jour. Lol, si elle savait pourquoi elle payait exactement !!! Bien installées au bureau dans la chambre de la jeune fille, elle revint les voir pour proposer un thé à la jeune femme. Jenny accepta mais après la leçon.
Jenny donna un texte en anglais à lire à voix haute à son élève pour corriger les imperfections d’intonation ou de prononciation. En même temps, elle lui caressait les seins sous son maillot. Les premières prémices du plaisir faisaient bafouiller la jeune fille. Jenny lui faisait reprendre jusqu’à ce que ce soit parfait. Elle avait sorti les seins de leur carcan en soulevant les bonnets. Le texte fini, Jenny releva le maillot pour embrasser cette poitrine de rêve. Ensuite, version anglaise. Gladys devait traduire un texte sans l’aide du traducteur de Google, lol.
Pour cet exercice, Jenny se plaça entre ses cuisses, la tête sous la jupe. Gladys écarta les cuisses au maximum pour laisser le champ libre à la langue qui se promenait sur ses cuisses, sa fente, son clito. Jenny avait écarté la culotte et lui bouffait la chatte avec amour. Jenny eut beaucoup de mal à ingurgiter toute la cyprine évacuée par la jeune femme. Ensuite, correction. Inversement des places. Jenny assise pour corriger la copie et Gladys à genou entre ses cuisses. Gladys était surprise à chaque fois de voir que sa prof ne portait rien dessous sa longue jupe. Même, au bout de plusieurs visites, elle finit par vérifier dès son arrivée.
Un mercredi après-midi, Zoé, sa petite sœur, l’avait vu faire. Le mercredi suivant, et tous les autres, elle s’arrangeait pour être la première à ouvrir la porte. Et vérifier, comme sa sœur. Jenny s’en amusait. Souvent, Zoé l’emmenait jusqu’à la chambre de sa grande sœur et retournait dans la sienne. Rarement, elle restait pour jouer au docteur sur le corps de Jenny. Gladys jouait le rôle du docteur et Zoé, l’infirmière. Tout était prétexte à fouiller ce corps offert. Un jour, dans la conversation, Jenny parla de Floriane et comment elle l’avait fistée. Bien sûr, le mercredi suivant, Gladys voulut essayer. Sa mère au travail, c’est Zoé qui ouvrit la porte à Jenny. Elle lui ôta sa veste pour l’accrocher et aussitôt, souleva la jupe pour vérifier la tenue, ou du moins, l’absence de culotte.
« Garde sa jupe relevée bien haut et emmène-la dans ma chambre ». Lui avait sa grande sœur.
Jenny se sentait vraiment perverse à se promener pratiquement nue chez les deux jeunes filles. Mais elle adorait son rôle d’objet sexuel pour le plaisir des deux sœurs. Arrivée dans la chambre, elles la déshabillèrent entièrement. Zoé commença à téter les seins et Gladys, le clito. Dès qu’elle la trouva suffisamment humide, Gladys prit la main de sa petite sœur pour la fister. Un, deux, trois puis quatre doigts commencèrent à la fouiller. Le pouce rejoignit les autres. En forçant un peu, la main entière disparut dans la chatte luisante. Zoé était abasourdie de voir sa main disparaître entièrement.
Puis ses petits doigts commencèrent à caresser la paroi interne. Sans le savoir, elle frôla le point G, provoquant un spasme phénoménal. Quand elle le frôla à nouveau, avec le même effet, elle sut qu’elle avait trouvé un point hypersensible. Et elle s’en amusa, évidemment. Et à chaque fois, Jenny semblait sauter au plafond. Quatre fois, peut-être cinq, et un véritable tsunami envahit le ventre de la jeune femme. Ce qui n’empêcha pas les filles de continuer. Elles jouèrent ainsi avec elle une bonne heure avant de la laisser enfin respirer.
Pour la remercier de sa participation et aussi parce qu’elle en avait envie depuis longtemps, Gladys offrit à sa petite sœur son premier cunni. Premier d’une longue série. Puis, ce fut au tour de Jenny de remercier, comme il se doit, l’instigatrice de ce moment divin. Elle se surpassa encore une fois, faisant jouir la jeune fille deux fois consécutivement. Puis, doucement, la prof reprenait le dessus pour donner enfin son cours d’anglais. Raison pour laquelle elle était payée. La vie de Jenny continua ainsi de visite de l’une ou de l’autre. Les épreuves du bac approchant, les visites s’espacèrent. Puis, l’été. Les vacances…
Jenny est une belle femme, appétissante. Pas un top-model, ni une esquisse de Rubens. Juste une femme qui savait mettre ses formes en valeur, surtout avec les beaux jours. Une qui n’avait pas manqué de le remarquer, c’est cette cliente curieuse qui l’avait surprise, par deux fois. C’était une cliente régulière, et même, une amie de la patronne. Elle repassait régulièrement à la boutique. Plusieurs fois, elle avait frôlé Jenny, se permettant même quelques caresses mais rapidement interrompues par une autre cliente, ou une autre vendeuse.