FABIOLA (03/03)

Elle sortit du lit, quitta sa chemise de nuit en passant la porte de sa salle de bains. Elle était nue. Sublime nymphette, inconsciente des désirs qu’elle faisait naître en moi. Désirs saphiques évidemment, mais désirs de domination également.

Le repas se passa merveilleusement bien, tout le monde était heureux d’être réunis. Mon père, je crois, étant le plus ravi de voir que mon attitude envers Fabiola avait changé. Il ne voyait pas encore que, elle aussi, avait changé. On parla bien sûr de remise en forme et je suggérais d’y ajouter des séances en salle de sport. Fabiola semblait hésiter mais c’est mon père, en lui offrant de payer les séances, qui réussit finalement à la convaincre. En y réfléchissant, je pense qu’elle n’attendait que ça. Je fixais la première séance au mardi suivant.

Fabiola souleva un petit problème que mon père balaya d’un mot. Elle souhaitait être rentrée quand Wendy rentre de l’école. Mon père, mon patron également, m’accordait deux heures, les mardis et jeudis après-midi pour accompagner Fabiola en salle de sport. Parfait.

Après le repas, je demandais à lui parler, dans son bureau. Question de travail. Je lui indiquais que j’aurais désormais besoin de quelqu’un pour me seconder, et que Fanny ferait parfaitement le boulot. Elle en connaissait déjà beaucoup, elle avait vraiment le niveau, était déterminée à réussir et se donnait entièrement à son travail. Tant de compliments sur la jeune stagiaire ne le surprirent pas. Il avait entendu ses vendeurs en dire de même. Il accepta de lui offrir un contrat de trois mois, avant embauche effective. J’imaginais la tête de Fanny quand je lui apprendrais ça !!!

Le reste du week-end se passa normalement. Sortie en boite le samedi soir qui s’est finie chez un mec par une partie de jambes en l’air.

Le lundi arriva enfin. J’avais hâte d’annoncer la bonne nouvelle à Fanny, mais pour autant, je devais y mettre les formes. Je me devais de rester la Maîtresse, et elle, la soumise. Je l’appelais dans mon bureau dès le matin avec un ton et une attitude sévère. Comme si elle avait fait une faute. Elle entra dans mon bureau, toute penaude, et referma la porte derrière elle.

Ce matin-là, elle portait une robe noire, plutôt moulante, qui laissait deviner qu’elle ne portait pas de soutif dessous.

« Approche ».

Au ton de ma voix, elle baissa les yeux et obéis aussitôt.

 » Viens sur mes genoux et relève ta robe « .

Impossible de faire autrement que d’obéir. Elle portait un joli string rouge dessous. Elle était là, sur mes genoux, offerte, attendant une punition sans savoir ce qui l’avait motivée. Elle en tremblait. Je profitais pleinement de ce moment exquis. Puis, en caressant doucement son joli cul :

 » Mademoiselle H., je vous ai demandé de venir pour vous annoncer la fin de votre stage chez nous ».

Je la sentais au bord des larmes mais elle ne bronchait pas. Elle savait qu’elle devait se taire et écouter jusqu’au bout. Son attitude de soumise était admirable. Ma main glissa entre ses cuisses qui s’écartèrent pour me donner libre accès à son intimité.

« Donc, à compter d’aujourd’hui, tu n’es plus stagiaire ici. Tu deviens mon assistante personnelle ».

Elle releva légèrement la tête, pas sûre d’avoir compris. Mon autre main s’engouffra dans sa robe par dessous les aisselles et j’atteignis son sein, directement à même la peau. C’était doux, et chaud. Tout vibrant entre mes doigts. Des larmes de joies coulaient sur ses joues. Elle était heureuse.

Ma main remontait sur son dos, entrainant sa robe. Sans que je lui demande, elle la dégagea de dessus mes genoux et je pus la remonter jusqu’à son cou. La robe redescendit vers le sol, recouvrant juste sa tête. Entièrement offerte à mes caresses, les seins libérés, le string ficelle qui lui séparait parfaitement les fesses. Admirable et impudique.

 » Attrape ta robe et croise tes deux mains derrière ta tête. Redresse-toi doucement. Là, tu es belle, ma soumise. Totalement offerte ».

Ses deux seins volumineux à portée de ma bouche, je ne pouvais résister. Je titillais ses tétons avec ma langue avant de les aspirer. Puis, je rabaissais à regret sa robe, sachant que je j’aurais beaucoup d’autres occasions de jouer avec elle.

« Tu vas récupérer tes affaires dans ton bureau et bien vider les tiroirs. Ensuite, tu descendras voir le chef d’atelier pour qu’il te fournisse deux gars pour déménager ton bureau et l’apporter ici. Et quand tu seras installée, tu iras dans le bureau de mon père pour signer ton contrat. Allez. Au boulot ».

Elle essuya les larmes sur ses joues, se baissa pour me donner un petit bisou juste au coin des lèvres et partit en courant. Elle revint une heure après avec deux jeunes gars de l’atelier mécanique qui portaient son bureau. Ils firent deux voyages supplémentaires pour l’informatique et le contenu des tiroirs.

 » Fanny, comment comptes-tu récompenser ces deux jeunes garçons ? « .

Elle piqua un fard et se mit à genoux devant l’un deux.

 » Non. Pas maintenant. Nous avons du travail. Mais je pense que ces messieurs pourraient revenir à midi, s’ils désirent leur récompense ».

Ils acquiescèrent et repartirent heureux vers leur atelier. Je leur demandais malgré tout de rester discrets, sinon, ils n’auraient droit à rien. Fanny finit de s’installer et je l’envoyais ensuite signer son contrat dans le bureau de mon père.

Dix minutes passèrent et j’y entrais également, sans frapper. Il était debout derrière Fanny, essayant de deviner si elle portait un soutif ou pas. Il est vrai que, quand elle marchait, tous devaient se poser la question. Malgré une femme splendide, il était, comme tous les hommes, attiré par la chair fraîche d’une jeune stagiaire. Je savais, par Fanny, qu’il n’avait jamais rien tenté, mais aujourd’hui, l’occasion était trop bonne.

Je discutais avec lui, il avait repris sa place à son bureau, des nouvelles attributions que je voulais donner à ma nouvelle collaboratrice. Elle relisait son contrat avant de le signer définitivement, et m’écoutait énumérer les qualités que je voyais en elle. Mon père aussi m’écoutait attentivement mais son regard revenait très souvent vers le buste de Fanny qui, je pense, devait sentir cette envie qui le submergeait.

À mon tour, je me levais quand elle signait enfin. J’étais derrière elle.

« Papa, je t’observe depuis tout à l’heure et je vois bien qu’une question te brûle les lèvres, mais, que tu ne diras rien. La réponse, c’est non. Elle n’en porte pas, aujourd’hui. Fanny, lève-toi ».

 » Maintenant, montres-lui que tu n’as pas de soutif ».

Sans hésiter, elle défit sa fermeture derrière et baissa sa robe afin d’exposer ses seins de toute beauté. Même mon père en restait sans voix. Je jouais malicieusement avec ses tétons qui durcissaient. Avant de relever sa robe pour cacher ses trésors.

« Maintenant, reste à conclure ce contrat. Fanny, tu es heureuse de l’avoir enfin signé ce contrat, non ? Alors, montres à ton patron combien tu es ravie ».

Elle me jeta un regard pour être sûre d’avoir bien compris et s’agenouilla entre les cuisses de son patron. Il est éberlué, papa, de la domination que j’exerçais sur ma nouvelle collaboratrice.

 » Je vous laisse tranquilles. Fanny, tu as dix minutes pour l’amener à l’extase, pas plus ».

Elle revint dix minutes plus tard avec, dans les yeux, la satisfaction du travail accompli. À midi précise, les deux gars de l’atelier se présentèrent et reçurent leur récompense. Elle savait vraiment y faire, même avec deux queues à satisfaire. Ils repartirent heureux et on alla manger au resto.

Celui d’Annabelle, bien évidemment.

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