Puisque c’est ce que voulait sa nouvelle amie, et surtout qu’elle en avait furieusement envie, elle s’approcha pour lui offrir un merveilleux cunnilingus. Malhabile au début, elle prit très vite la mesure de ce qu’elle devait faire, et comment le faire, pour combler sa jeune Maîtresse. Sans qu’on ne lui demande, elle baissa le dernier rempart pour investir entièrement l’intimité de la jeune portugaise. Tellement prises par le plaisir l’une comme l’autre, elles ne virent pas la porte s’entrouvrir sur la tante.
Elle les observa un instant, savourant avec délice cet instant. Elle avait finalement trouvé une faille dans l’écorce de la jeune fille modèle et allait tenter de l’exploiter à son avantage. Elle était évidemment amère de devoir n’être que la domestique de son grand frère, et surtout être au service de la jeune princesse. Celle que ses parents croyaient irréprochable. La porte était déjà refermée lorsque les deux amies s’offrirent un tendre câlin, allongées côte à côte, sur le lit.
Plus tard, assises toutes les deux au bureau d’Océane, elles surfaient sur Internet jusqu’à ce que Céline lui avoue qu’elle n’avait pas de compte Facebook, ni Instagram ou autres. Elle n’en avait jamais ressenti le besoin, trouvant cela futile et loin de la réalité. Océane se connecta à son propre compte, répondit aux messages laissés par ses cousines du Portugal. Puis, lançant une recherche, elle trouva le profil de JR, qu’elle demanda aussitôt en ami.
Il devait certainement être connecté lui aussi au même moment car la réponse arriva presque instantanément. Il n’osa pourtant pas engager une discussion sur Messenger, trop heureux déjà. Océane se déconnecta ensuite pour pouvoir créer le nouveau compte de Céline. Une adresse email et un mot de passe, le compte était créé. Il fallait ensuite renseigner quelques éléments, un avatar en photo de profil, le nom de son lycée actuel et de son école précédente, etc…
JR fut le premier à la demander en ami, ce qu’Océane accepta aussitôt. Elle fit une demande sur son compte également qu’elle valida grâce à son portable. Océane expliquait à son amie les subtilités, les avantages d’avoir un compte sur différents réseaux sociaux lorsqu’elle la vie pâlir tout d’un coup. Plusieurs demandes en tant qu’ami venaient d’arriver, la plupart venant de garçons et de filles de sa classe. Certaines venaient de personnes inconnues qu’Océane lui conseilla de ne pas accepter. On ne sait jamais qui peut se cacher derrière un simple profil.
Ce qui l’avait fait pâlir, c’était une demande venant de … Son ex-meilleure amie, Émeline. Sa photo de profil la montrait souriante et heureuse. Céline ne pouvait plus la voir, elle alla s’effondrer sur le lit, sans se douter qu’Océane acceptait cette demande. Elle rejoignit Céline sur le lit pour la consoler et en apprendre un peu plus sur cette jeune fille qui l’avait tant bouleversée.
Elles s’étaient rencontrées au jardin d’enfant, la toute première fois, puis à la maternelle. Et elles seraient encore amies si … Elles habitaient des immeubles voisins, Émeline et sa mère vivaient déjà seules, le père, très courageux, était parti avant la naissance. Céline, par contre, vivait en parfaite harmonie entre son père qu’elle adorait et sa mère qu’elle vénérait. Même les sorties en famille, ils les faisaient ensemble, tous les cinq.
Marc, le père de Céline, était commercial mais c’était aussi un très bon bricoleur. Il pouvait, presque, tout réparer dans un appartement, une maison et, justement, l’appartement où vivait Émeline avait besoin de beaucoup de réparations et d’entretien. Il se proposa à faire les quelques travaux, laissant à la maman la charge d’acheter les matériaux nécessaires. Il y passa des soirées entières.
Ni Céline, ni sa mère, ne se rendit compte qu’il avait changé. Pas immédiatement. Il rentrait plus tard de son travail, allait aider des « copains », le week-end, pour réparer leurs maisons. Puis, un jour, à la surprise générale, il leur annonça qu’il allait vivre définitivement avec Émeline et sa mère, que cela faisait plusieurs mois qu’il réparait l’appartement qu’ils avaient choisi. Il tenta malgré toutes ses fautes de rallier Céline à sa cause, jouant sur le fait qu’elle adorait Émeline presqu’autant que son propre père.
Mais Céline ne pouvait abandonner sa maman comme ça. Elle essaya, un temps, de vivre un peu chez son père, un peu chez sa mère. Mais le tiraillement était trop intense. Elle devait choisir et c’est ce qu’elle fit, courageusement. Océane avait écouté patiemment et prit alors la parole.
« Elle doit savoir qu’elle t’a blessée profondément. Pourtant, cela ne l’empêche pas de te proposer à nouveau d’être amie avec elle. Ou bien, elle regrette ce que sa mère vous a fait subir, ou bien, elle pense que tu as fait un trait sur ce douloureux passé. Dans les deux cas, nous devons savoir, analyser et préparer une vengeance digne de ce nom « .
Céline acquiesça. Les mains d’Océane repartirent à la découverte de ce corps tant désiré, ce besoin encore inassouvi. Océane adorait ses parents, c’était incontestable, mais elle regrettait secrètement ce manque de câlins, de contacts charnels avec sa mère, et avec son père également. Ils l’aimaient plus que tout, c’était certain, mais ils étaient souvent absents, trop pris par leur travail. Elle trouvait, dans ces contacts avec Céline, ce qu’elle aurait voulu vivre avec ses parents.
Sauf que là, c’était elle qui décidait, qui exigeait même, et son amie qui acceptait sans rechigner. Toutes les deux retrouvaient, dans ces attouchements qui devenaient de plus en plus précis, ce qui leur manquait le plus. Céline avait la chance d’avoir une mère aimante, elle la rejoignait parfois dans son lit pour un câlin matinal. Ou bien, avant de se coucher. Ce qui lui manquait principalement, c’était la présence de son père qu’elle admirait, avant qu’il ne les abandonne toutes les deux.
Océane s’était redressée et caressait maintenant la poitrine de sa jeune amie. Puis descendit vers son ventre, vers cette intimité qui l’intriguait. Elle releva la jupe sur le ventre de Céline pour découvrir ses cuisses musclées, mais pas trop, et sa petite culotte très sage. Tout naturellement, la jeune soumise subissait les assauts et même, en redemandait. C’est tout simplement qu’elle écarta ses cuisses au maximum. Océane se saisit de la culotte qu’elle fit glisser le long des cuisses fuselées.