Weekend en famille (03/10)

C’est Ingrid elle-même qui m’interdit de quitter la maison et elle alla immédiatement préparer la chambre d’amis. Si seulement elle savait ce que j’espérais, en restant dormir chez eux. J’espérais, sans être certaine d’être comblée. Je me couchais pourtant, totalement nue, et essayais de ne pas m’endormir tout de suite. Il m’a fallu patienter au moins trente minutes. Et il est entré enfin dans ma chambre. Juste avec son caleçon de nuit. Sans allumer la lumière, j’étais étendue nue sur le lit.

Dans la pénombre, il pouvait découvrir mon corps, mes seins qu’il avait tant regardé à la plage, mes hanches et ma chatte qu’il avait pourtant bien vue aujourd’hui. Mais là, enfin, il pouvait toucher, sentir, lécher et sucer ce qu’il voulait et comme il le voulait. Et il ne s’en priva pas.

Sa bouche sur mes seins descendit sur mon ventre, entre mes cuisses. J’étais trempée et complètement ouverte pour lui. Il m’a léchée amoureusement, tendrement, très longtemps. On avait toute la nuit. Du moins le pensait-il. Un bruit lointain, un toussotement. Non, ce n’est rien.

C’est à ce moment qu’il présenta sa queue fièrement dressée devant ma bouche. Je la léchais comme je savais si bien le faire. Tous mes amants précédents ont vanté ma façon de les sucer, disant que j’étais une experte. Je n’en suis pas vraiment convaincue mais, s’ils le disaient …

Il était prêt à investir ma grotte humide quand sa fille se réveilla totalement, appelant sa mère. Elle toussait vraiment très fort, au risque de réveiller sa femme ou son autre fille. Il devait aller voir ce qu’elle avait. Il y resta le reste de la nuit, à dormir près d’elle. Dommage pour moi, et pour lui. Je pense qu’il avait envie de revenir mais qu’il s’était endormi. Se réveiller tôt le lendemain pour venir me surprendre dans mon sommeil était une possibilité, mais sa femme était déjà levée, pour finir le nettoyage qu’elle n’avait pas pu faire la veille.

J’espère franchement que ce n’est que partie remise. Il a tout vu, toucher ce qu’il voulait. Il sait que je suis disposée à tout avec lui. À lui de s’arranger pour que l’on ne soit plus dérangés. Je suis certaine qu’il a déjà quelques idées en tête.

Je suis rentrée chez moi le dimanche dans l’après-midi, très satisfaite de mon week-end et d’avoir répondu au défi de Maxime. Le lundi midi, j’envoyais un texto à mon frère.

« Super weekend. Hâte de te revoir ».

 

Après ce fabuleux weekend en famille, j’avais fait mon rapport à Maxime qui regretta, pas autant que moi, que mon frère ne m’ait pas encore baisée. Il savait, tout comme moi, que ce n’était que partie remise. Il suffisait désormais que l’on puisse être seuls, lui et moi, pour que la magie opère à nouveau. §

J’avais passé un super week-end, c’était vrai, surtout avec mes petites nièces qui semblaient vraiment m’apprécier. J’avais envie de les revoir hors de chez elle, chez moi, par exemple, à Angers. La première chose à faire était de demander à mon frère et à sa femme l’autorisation de garder ses filles un week-end entier. S’ils acceptaient, il faudrait également qu’ils prennent mon fils au passage, chez nos parents. Je savais très bien que, pour Ingrid, il serait très difficile de lâcher ses filles tout un week-end.

J’imaginais, j’espérais même, que Jérôme vienne seul et finisse ce qu’il avait commencé pendant ce week-end chez lui. J’avais envoyé la demande par texto sur son téléphone, il me fallut attendre patiemment la réponse. J’attendais le vendredi, espérant un message sur mon portable, puis le samedi, toujours rien. Et le lundi, pareil.

Ce n’est que le soir, vers 20 heures, que la sonnerie de mon portable annonçant un SMS se fit enfin entendre. C’était Jérôme qui m’expliquait qu’il passerait mercredi dans l’après-midi. J’étais trop heureuse de savoir qu’il viendrait seul. Je savais qu’il finirait ce que nous avions commencé.

Il m’expliqua plus tard comment il avait fait. Sa femme désirait depuis longtemps un ventilateur de plafond, style colonial, avec des pales en bois. Il en avait trouvé un sur le site de Leroy-Merlin et pouvait se le faire livrer. Mais il pouvait également venir le chercher au magasin. Plutôt que de choisir le magasin de Saint Berthevin, plus proche de chez lui, il avait choisi de venir le retirer dans le magasin d’Angers. Cela lui donnait une excuse pour venir seul, un après-midi sur semaine. Il avait prévenu sa femme qu’il en profiterait pour passer me voir, pour vérifier dans quelles conditions les filles seraient accueillies. Ingrid accepta tout, même de me laisser ses filles un week-end entier. Je l’appris de la bouche même de Jérôme.

Retirer le colis ne lui prit que quelques minutes. Il me retrouva ensuite sur la place Lafayette. Je montais dans sa voiture pour le guider jusqu’à ma nouvelle adresse. Une fois dans le parking souterrain, nous étions à l’abri des regards. À peine descendu de voiture, il vint m’embrasser tendrement. Comme un frère.

Mais très vite sa bouche s’empara de mes lèvres, ses mains de mes fesses. Il me souleva et mes jambes s’agrippèrent autour de sa taille. Je sentais déjà son érection à travers son jean. Dois-je préciser que je n’avais aucune culotte ? Je m’étais préparée à sa visite.

Il s’en rendit compte quand il passa enfin ses mains sous ma jupe. Cela sembla l’exciter encore plus. Mon bel étalon bandait de plus en plus fort. Il aurait très bien pu me baiser ainsi, dans ce parking accessible à tous les locataires. Je me moquais de tout, je le voulais, lui, et maintenant. Il préféra pourtant attendre encore un peu, me porta jusqu’à l’ascenseur. J’indiquais l’étage et restais accrochée à lui. Jusqu’à ma porte.

À peine entrés dans l’appartement, il souleva ma jupe sur mon dos et se plaqua contre mes fesses. Il dézippa son jean et enfin, prit possession de mon corps. Il me pistonnait vigoureusement, ses mains accrochées à mes hanches. Puis, légèrement calmé, ses mains remontèrent vers ma poitrine et les coups de butoir se firent plus tendres. Et plus profonds également.

Il finit par me redresser, ma jupe tomba au sol, il l’avait détachée. Mon top suivit le même chemin. J’étais entièrement nue devant mon frère, la bite dépassant de son jean. Je m’agenouillais pour honorer cette queue qui m’avait tant manqué. Depuis le temps que j’en rêvais, je l’avais de nouveau en bouche. Et personne pour nous interrompre cette fois. Tout en le suçant, je lui ôtais pantalon et boxer, il enleva lui-même son tee-shirt. Je l’entrainais vers ma chambre, m’allongeais sur le lit, jambes grandes ouvertes.

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