Élise (04/21)

Elle passa la seconde vitesse et la chaleur devint fournaise. Un véritable feu me brulait entre mes cuisses, un feu qu’il fallait éteindre à tout prix. Malgré le poids d’Élise sur mon ventre, je parvins à lancer mon corps en avant, à la rencontre de l’objet qui ouvrirait les vannes de mon plaisir. Il était en moi, enfin, bien au fond de ma chatte.

J’étais femme enfin. Élise débuta alors de lents va et vient avec le vibro, m’arrachant des soupirs à chaque fois qu’il entrait tout au fond de moi. Puis elle accéléra les mouvements tout en le passant en vitesse maxi. L’orgasme violent qui s’en suivit fut splendide, envoutant. J’étais à deux doigts de m’évanouir, j’ai dû crier aussi je crois, mais ensuite une grande vague de bonheur m’envahit toute entière.

J’étais si bien allongée là, près de mon amie. J’aurais voulu que cet instant dure toute la vie, toute la nuit au moins. J’entendis la voix de ma mère, dans l’escalier :

– Tout va bien, les filles, j’ai cru entendre crier.

– Tout va bien, Maman, on rigolait, c’est tout.

J’étais nue, derrière la porte entrouverte pour lui répondre et elle retourna à la préparation de ses cours. Je retournais vers mon lit où Élise était allongée de tout son long. Ce fut mon tour de lui présenter ma chatte encore toute humide sur son visage, puis de m’enfouir entre ses cuisses pour lui rendre la pareille. Elle était beaucoup plus experte que moi avec sa langue et je ne voulais pas jouir avant elle mais au contraire, lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné, avant de prendre mon pied.

C’est seulement à ce moment-là que j’aperçus le métal brillant du vibro entre les plis de la couette. Je le saisis, le mis en marche comme je l’avais vu faire et l’appliquais sur son clito. Sa réaction fut intense, elle délaissa un peu mon bouton d’amour pour profiter pleinement du plaisir que j’allais lui donner. Je le présentais sur ses lèvres qui l’aspirèrent à moitié. Je passais la seconde vitesse et continuais de l’enfoncer en elle.

Aucune résistance, donc je continuais, jusqu’au fond. Comme elle, je le fis aller et venir dans sa chatte, de plus en plus vite, puis passais la vitesse maxi pour la voir enfin exploser de joie. Je continuais un peu les va et vient mais plus doucement, plus tendrement. Elle reprit son léchage où elle l’avait laissé et ne tarda pas à me faire jouir à mon tour.

Nous eûmes beaucoup d’autres occasions de nous donner du plaisir mutuellement. Quelques temps plus tard, on nous posa la question sur notre avenir professionnel. Moi, je savais ce que je voulais faire. BTS Comptabilité et continuer plus haut si possible. Licence, voire Master.

Élise était une jeune fille plutôt sportive et athlétique et, sans être une sportive de haut niveau, souhaitait travailler dans le milieu du sport. Elle prit rendez-vous avec notre prof de sport, Myriam, un samedi après-midi chez elle. Elle me demanda de l’accompagner car je pourrais éventuellement poser des questions auxquelles elle n’aurait pas pensé.

Myriam nous reçut dans sa grande salle à vivre et nous servit des boissons fraiches. Élise lui exposa pourquoi nous étions venues et elle lui exposa les différents métiers liés au sport, de commerciale dans un magasin de sport à prof de sport, et même entraineur. Moi, j’écoutais attentive. Je mis du temps à remarquer les grimaces que me faisait Élise, en me montrant Myriam du menton. Elle avait remarqué que celle-ci, tout en lui parlant, matait mon tee-shirt, et ma poitrine.

J’avais ôté mon manteau et dessous, je ne portais qu’un tee-shirt. Ce jour-là, j’avais décidé de laisser ma poitrine libre de tout soutien-gorge et mes tétons, agacés par le frottement du tissu, pointaient légèrement. Je me suis sentie flattée des attentions que cette femme me portait et je faisais en sorte de bien lui présenter sans rien cacher. Finalement, Élise se leva et se plaça derrière moi. Elle commença à caresser ma poitrine, titillant les tétons pour les faire pointer encore plus. Myriam semblait hypnotisée par le spectacle. Mais elle sentit le devoir de réagir :

– Mais Élise, que fais-tu à ta camarade ?

– Ne vous inquiétez pas, elle adore qu’on s’occupe de sa poitrine. Vous voulez la toucher, vous aussi ? lui répondit-elle.

– Euh … oui … non … je n’en ai pas le droit. Je suis votre professeur.

– Et si elle vous le demande ?

J’acquiesçais de la tête.

– Non, vraiment. Je ne peux pas.

Élise souleva mon tee-shirt, avant de l’ôter entièrement. Et continua de me caresser. Myriam commençait à douter mais résistait encore.

– Peut-être ne voyez-vous pas bien ? Lève-toi, Steffie et approche-toi d’elle.

Je m’exécutais et me plaçais tout près de Myriam. Elle ne quitta pas ma poitrine du regard. Je sentais son souffle sur mes tétons et cela m’excitait encore plus. Je voulus prendre sa main et la poser sur ma poitrine mais elle résistait encore.

– Élise, puisqu’elle ne peut pas nous toucher, sans doute se laissera-t-elle toucher ?

Aussitôt, Élise se plaça derrière Myriam et posa ses mains sur ses épaules, avant de descendre sur sa poitrine, qui semblait menue. Prise entre le devoir de réserve et ses désirs profonds, Myriam ne put réagir et se laissa faire. Élise la caressa un moment puis finit par lui ôter son top, puis son soutif qui la serrait beaucoup trop. Ses tétons, enfin libérés, pointaient sous les caresses de mon amie et sa main, que je tenais toujours, résistait moins déjà. Toujours pas possible de la poser sur ma poitrine mais sur mes fesses, elle accepta. Je portais un legging et un string dessous.

– Élise, tu devrais te mettre à genoux, entre ses cuisses, proposais-je.

Elle le fit immédiatement et tenta d’ouvrir le compas de ses cuisses qui restait toujours fermé. Je pris un téton entre deux doigts et le pinçais très fort. Là, enfin, je sentis ses résistances céder. Sa main sur mes fesses, je ne la tenais plus. D’elle-même, elle caressait mes fesses rebondies. Élise força légèrement et le compas s’ouvrit enfin. Elle releva très haut la longue jupe de Myriam et s’engouffra entre ses cuisses.

Elle tira sur la culotte pour la lui enlever entièrement et la brandit comme un trophée. Puis sa langue se mit en action, et je savais à quel point elle pouvait faire du bien. Moi, j’approchais encore ma poitrine de la bouche de Myriam qui, cette fois, ne résista pas au désir de prendre un de mes tétons en bouche. Son autre main caressant l’autre sein, j’étais aux anges.

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