On sortit toutes ensembles du bar pour se rendre sur une esplanade afin d’admirer le feu d’artifice. Louise et moi avions été séparées, mais je savais qu’elle était derrière moi, épiant mes moindres gestes. La nuit était tombée et, dès que l’on stoppa, Louise reprit sa place tout près de moi. Collée à moi, je devrais préciser.
Dans la pénombre ambiante, elle souleva ma jupe et sa main reprit les caresses là où elle s’était arrêtée. Il ne lui fallut pas plus de dix minutes pour me faire jouir. Je serrais son poignet tandis qu’elle continuait à me doigter, c’était véritablement divin. Juste au moment où la première fusée éclairait la nuit. Mes gémissements furent atténués par les explosions multicolores.
Puis, elle s’intéressa à ma poitrine, mon sein droit pour être plus précise. Anne-Laure s’en rendit compte immédiatement et s’occupa de l’autre. Prise entre ces deux coquines, je me laissais peloter avec énormément de plaisir. Mes doigts ne restaient pourtant pas inactifs.
J’avais réussi à glisser ma main droite dans le leggings de Louise et je pouvais la doigter comme elle me l’avait fait précédemment. Mon autre main s’était glissée sous la jupe de sa complice. En écartant légèrement le tissu, j’avais également accès à son intimité. Serrées les unes contre les autres comme nous l’étions, personne ne pouvait soupçonner ce qui se passait.
Les transports en commun étaient gratuits à l’occasion de la fête nationale pour permettre à tous de s’amuser en toute sécurité. C’est donc en tram, puis en bus, que nous avons rejoint la ville voisine de Trélazé. Assise cette fois-ci, Anne-Laure à côté de moi et Louise face à moi. Elles se sont arrangées pour que j’écarte les cuisses au maximum, dévoilant ainsi mon intimité à qui voulait regarder.
Heureusement, le groupe que nous formions était plutôt compact et personne, hors de ce groupe, ne pouvait deviner. Hors du groupe, non. Audrey faisait partie de ce groupe en tant que meilleure amie d’Anne-Laure. Je devine votre question mais non, juste amies. Jamais ce n’est allé plus loin entre elles. Et je suis certaine qu’Audrey a tout vu. Son visage est devenu tout rouge et elle était incapable d’aligner deux mots de suite.
Plus tard, dans la soirée, elle se rapprocha de moi pendant que je dansais sur la piste aménagée dans le Parc du Vissoir. Elle se déhancha un moment à mes côtés, puis murmura à mon oreille.
« Tu te promènes souvent sans culotte dans la rue ? »
« Dans la rue, au travail, et parfois en soirée, comme ce soir. Tu n’as jamais osé le faire, toi ? »
À son silence, j’imaginais que non. Mais qu’elle y avait sans doute songé, sans avoir oser passer à l’acte. Je m’accroupis, face à elle, et fait semblant d’ôter un caillou de ma chaussure. Une main posée sur ses hanches, elle laisse ma main, me fixe droit dans les yeux, puis relève la tête, comme si elle voulait ignorer ce que je faisais. Ou que j’allais faire.
L’avantage de ses soirées dans des parcs, c’est que l’éclairage reste légèrement diffus, caché par les feuillages. Personne ne pouvait me voir, ni savoir ce que je faisais. Bien campée sur mes deux pieds, je glissais mes mains sous sa longue jupe de gitane, attrapais sa culotte que je descendais jusqu’aux chevilles.
Difficile, voire impossible pour elle, de la remettre discrètement. Elle n’avait d’autres choix que lever le pied, l’un après l’autre, pour dégager des chevilles. Je me redressais finalement, mon trophée à la main. Je lui murmurais alors.
« Et maintenant ? Toi aussi, tu es nue sous ta jupe. Quel effet cela te fait-il ? Sachant qu’il n’y a que toi et moi qui sommes au courant ».
» Imagine que j’en parle à Anne-Laure, à Louise, ou aux autres ? »
Je la vis frémir.
« Imagine qu’elles s’approchent de toi, dansent près de toi, collées à toi. Sans doute que l’une d’elles voudra vérifier par elle-même si j’ai dit la vérité ».
Ses frissons s’amplifiaient, ses yeux étaient grand ouverts. Son souffle s’accélérait, elle était prête à perdre pied. Je la sentais prête à jouir avant que je la touche. J’étais pratiquement collée à elle quand ma main quitta sa hanche pour rejoindre la fourche de ses cuisses. Juste une légère pression sur son clito et elle s’effondra dans les bras, vaincue par un orgasme hallucinant.
Anne-Laure avait tout vu de loin et me questionnait du regard. Je lui fis signe de nous rejoindre et de m’aider à porter son amie jusqu’aux toilettes. Le côté des filles alignait une longue file d’attente. Rien du côté des garçons. Nous sommes entrées. Il n’y avait qu’un homme qui finissait de s’ébrouer devant la pissotière.
Il sortit sans se laver les mains, tout surpris de nous voir là. Devant le lavabo, j’ai fait couler de l’eau pour rafraîchir le visage d’Audrey. Anne-Laure m’aidait elle aussi. La jeune femme reprit rapidement des couleurs. Elle se tourna vers moi pour me confirmer que jamais avant ce soir, elle n’avait joui aussi puissamment. Un coup d’œil vers son amie et ma complice pour lui dire que je savais tout cela. Et que c’était toujours comme ça entre filles.
Elle prit un air étonné, se tourna vers Anne-Laure qui lui confirma d’un regard. Audrey se pencha alors vers son amie et lui offrit ses lèvres. Pour la première fois. Et certainement pas la dernière. Nous avons rejoint les autres mais, moins de quinze minutes plus tard, Anne-Laure me prévient qu’elle rentrait. Avec Audrey.
Un sourire plein de sous-entendus et elles partirent vers une fin de nuit magique. Je continuais à faire la fête, à danser avec les autres. Louise entre autres, qui se sentait un peu abandonnée. Je lui expliquais toute l’histoire et elle parut ravie. Audrey était une très belle jeune femme, avec des formes appétissantes. Certainement, elles se retrouveront ensemble dans le même lit.
C’est donc sur moi qu’elle reporta toutes ses attentions et, naturellement, elle me raccompagna jusque chez moi. Elle monta les escaliers derrière moi, ne se privant pas pour caresser mes fesses. Cela sembla l’exciter encore plus. D’avoir passé toute la soirée à attendre ce moment où nous serions enfin seules.
Tout juste entrées dans mon appartement, j’étais déjà totalement nue. Elle aussi. C’est ainsi que je l’ai guidée jusqu’au lit où elle m’a fait l’amour divinement. J’étais encore dans un demi-sommeil quand je sentis un corps se glisser dans mon lit, contre moi. Ce ne pouvait être Louise que je tenais déjà dans mes bras.
Ce parfum subtil arriva jusqu’à mes narines et je reconnus celui de Laura. Elle devait, normalement, dormir chez une amie. Enfin, c’était ce qui était prévu.
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