Elle ne disait rien mais sa tête disait « Oui ». Elle n’osait plus bouger, attendant la suite.
« Et si je remonte mes mains vers ta poitrine, doucement. Je sais très bien que tes tétons seront durs avant que je les touche. Pas vrai ? »
Elle acquiesçait, tout en laissant mes mains prendre possession de sa poitrine voluptueuse. Et évidemment, elle pointait déjà comme une folle. J’en profitais pour la peloter à ma guise. Puis, doucement, je remontais sa robe. Une main sur son ventre, sur sa peau. Le nombril, puis la lisière de sa culotte.
Elle arrêta mes doigts avant qu’ils ne pénètrent sa culotte.
« Non, mon bébé. Pas plus loin. Je ne peux pas accepter. Tu te rends compte que je pourrais être ta mère ? »
« Et alors. Moi je ne vois que deux femmes, majeures et libres de leurs choix, qui recherchent le plaisir. Rien de plus. »
« Mais, tu te rends compte ! La différence d’âge. Et puis, si on nous voyait? »
« Mais on est seules, toutes les deux, Josette, tu le sais bien ». Lui répondis-je en remontant mes mains vers sa poitrine, directement sur la peau.
Elle se laissait faire, acceptant cette caresse comme un moindre mal. Et puis, je suis sûre qu’elle avait envie de plus, mais que la morale la bridait encore.
« Je peux … Les voir? »
Sans hésiter, elle se tourna vers moi, m’exposant sa magnifique poitrine. Je sortis les globes des bonnets pour commencer à la téter. Et elle, elle me caressait la tête. Doucement, tendrement. J’étais son petit bébé. Nous avons eu d’autres moments intimes comme celui-ci. Josette est née à la campagne, dans une ferme, et, de par ses origines, elle a gardé l’habitude de se lever très tôt. J’en faisais de même pour passer plus de temps avec elle. La câliner. Un jour, on a failli se faire surprendre par Béatrice, sa fille, qui s’était levée sans bruit. Josette avait eu juste le temps de refermer son peignoir. Un autre jour, elle ne se leva pas et j’allais la rejoindre dans sa chambre. Je me glissais dans son lit et commença à caresser sa poitrine, comme je le faisais habituellement. J’avais ouvert sa chemise de nuit pour les lécher. Dans son sommeil, elle bougea et m’offrit sa nudité. Elle ne portait rien dessous.
Opportuniste, je posais ma main sur son ventre, descendis vers son pubis. Elle écarta les cuisses pour me laisser l’accès à son intimité. Elle était déjà humide, à peine je la touchais. Elle m’avouera plus tard qu’elle n’avait eu aucun rapport avec un homme depuis le départ du « courageux ». Jamais il n’avait essayé de la revoir, ni elle, ni ses enfants. Mais là, entre mes doigts, elle laissait enfin éclater toutes ses envies refoulées. J’ai parfaitement vu qu’elle était réveillée, maintenant, mais elle gardait les yeux fermés pour prolonger le fantasme. Elle se laissait violer par une jeune fille, impunément. Et elle aimait ça. Elle était à ma merci, comme une patiente sous hypnose. Je posais finalement mes lèvres sur les siennes au moment suprême pour étouffer son hurlement de plaisir. Il lui fallut de longues minutes pour revenir à elle.
« Tu n’aurais pas dû, mon bébé. Tu n’avais pas le droit ».
Et, dans un soupir.
« Mais qu’est-ce-que c’était bon, de jouir sous tes caresses. »
« Il ne faudra pas recommencer. »
Mais chaque samedi matin, quand je dormais chez elle, je la rejoignais dans son lit. Elle faisait mine de dormir et je la faisais jouir à nouveau. Certains week-ends, je rentrais à Nantes voir ma famille et quand je rentrais à Rennes le dimanche soir, je voyais à quel point je lui avais manqué. Je restais avec elle pour regarder le programme qu’elle avait choisi, ses enfants regagnant chacun leur chambre. Éveillée, elle ne me laissait pas accéder à son intimité, juste sa poitrine. Toujours bloquée par la morale. J’étais jeune encore et je me contentais des plaisirs qu’elle voulait bien me donner. Sauf le samedi où elle faisait semblant de dormir pour me laisser faire ce que je voulais. Un matin, j’entrais dans son lit pour la découvrir entièrement nue sous la couette. Je plongeais immédiatement entre ses cuisses pour lui bouffer la chatte. Je savais très bien qu’elle ne dormait pas, par rapport à ses réactions, mais je profitais de cette occasion unique. Elle a joui dans ma bouche pour la première fois. Mais pas la dernière.
Un après-midi, j’étudiais dans ma chambre quand Dominique entra. Comme d’habitude, j’allais m’asseoir sur mon lit, elle près de moi. Mais ce jour-là, elle m’exposait sa culotte, impudiquement. Elle me parlait du livre qu’elle lisait actuellement mais je ne voyais que sa culotte, rose, satinée. Et c’est tout naturellement que je posais la main sur sa cuisse, avant de remonter plus haut. Elle cessa de parler pour regarder mes doigts investir son intimité. Pas un instant, elle ne pensa à refermer ses cuisses, me donnant libre accès.
« Laisse-toi aller en arrière, sur le lit, et descend ta culotte ».
Elle s’allongea et ôta son vêtement. Je l’embrassais à pleine bouche tout en la doigtant. Et elle jouit rapidement entre mes doigts.
« C’est magique, Steffie, comme quand j’étais petite et que maman me câlinait en me caressant les cheveux ».
Et Josette entra à ce moment, juste pour l’entendre. Elle avait envie de câlins et venait chercher sa dose. Mais, devant sa fille à moitié nue, le visage resplendissant de bonheur, son envie devint plus forte encore. Machinalement, elle se massait entre les cuisses. Je lui fis signe d’approcher. Dominique rougit en l’apercevant, mais ne bougea pas.
« Assieds-toi, Josette, et fais-lui un câlin comme avant, en caressant ses cheveux ».
Elle n’hésita pas une seconde et prit place près de sa fille, puis la prit dans ses bras. Je passais derrière elle pour déboutonner son corsage et Dominique posa sa tête sur la poitrine de sa mère. Vicieusement, je défis l’attache du soutif avant d’allonger Josette. Dominique se rua sur cette poitrine qui l’avait nourrie, tandis que Josette lui caressait la tête. Je relevais sa jupe pour plonger entre ses cuisses. Plus du tout bloquée par la morale, elle voulait jouir, enfin. Et elle jouit sans retenue. La petite chatte de Dominique m’attendait pour subir le même châtiment. Une jambe levée bien haut, je lui offris son premier orgasme avec ma bouche gourmande. Puis, allongées de part et d’autre de Josette, chacune prit un téton en bouche pour la téter. Et elle ronronnait de plaisir sous nos langues. Jusqu’à l’orgasme. J’ai fini mon année chez Josette que je continuais à rejoindre dans sa chambre quand elle ne se levait pas, dans la cuisine, si elle était levée. Dominique aussi revint me voir souvent dans ma chambre, ou m’invitait dans la sienne.
Un autre jour, elle me demanda de la rejoindre à la bibliothèque municipale. Elle m’entraîna dans les rayons en murmurant pour ne pas gêner les autres. Au bout d’un rayon, je stoppais, glissais la main sous sa jupe et baissais sa culotte. Elle résista un peu mais finalement, elle se retrouva nue sous sa jupe. Que je soulevais de temps à autres pour apercevoir ses fesses. Son magnifique petit cul. Puis, arrivées dans un coin reculé où presque personne ne venait, je la levais totalement et me plaquais à sa chatte. Je me frottais avec délices contre sa toison. Quand elle commença à gémir, je fermais sa bouche avec la mienne. Puis, à genoux, je la finissais avec ma langue.
Ma seconde année de BTS, j’habitais chez Aana. Je passais voir Josette et Dominique quelques fois pour de tendres moments. C’est en Avril, je crois, que Aana me posa l’ultimatum qui mettrait fin à notre couple. Pas à notre amitié. Je trouvais un logement où je passais le reste de mes études universitaires.
Cet appartement que je partageais avec Amélie désormais.