Mais ce petit coquin avait une autre idée en tête. Mais, était-ce bien dans la tête ? Au moment où je le sentais prêt à se déverser en moi, il se détacha de moi … Pour me retourner, face à la paroi. Et c’est dans mon cul ainsi offert qu’il s’engouffra. Ses mains agrippèrent ma poitrine et il commença à me pilonner allègrement. Là encore, il avait vu son patron qui m’enculait et il voulait à son tour, jouir dans mon cul. Pour moi, ce serait double plaisir car j’avais réussi à glisser une main sur ma chatte dégoulinante et je me doigtais à son rythme. À ce régime-là, c’est moi qui partis la première dans un orgasme surpuissant. Il continuait néanmoins à me pilonner et ne tarda pas à jouir à son tour. Il était en sueur, et moi aussi. Nous nous sommes lavés à nouveau, tout en caresses. Pour sortir, j’ai juste passé la serviette autour de ma poitrine et je l’ai embrassé sur la bouche en le quittant. La plupart de ses copains étaient repartis, sauf deux qui l’accablèrent de questions quand il retourna vers eux. Arrivée au chalet, c’est Dylan, mon fils, qui, pour jouer, tira sur la serviette qui cachait ma nudité. Lisa et lui se mirent à rire de me voir ainsi mais je n’ai retenu qu’une phrase, qu’ils ont dit tous les deux en chœur. « Tu es très jolie, maman/tata ». Ingrid entra dans la chambre à ce moment précis et le regard qu’elle posa sur mon corps était vraiment explicite. Elle avait encore envie, et plus que jamais. La nuit promettait encore bien des plaisirs. Je passais un long tee-shirt et un bas de maillot avant de tous les rejoindre dans la pièce de vie.
Jérôme aidait Céliane à finir ses devoirs de vacances. Elle avait toujours été une bonne élève et ses parents veillaient à ce qu’elle reste éveillée. Pour cela, ils avaient parfaitement réussi. Même si I Ingrid se reprochait de l’avoir trop laisser faire ce qu’elle voulait avec son corps. Cela était le sujet de discussion lorsque nous nous sommes couchés, tous les trois, ensemble. Jérôme, qui connaissait très bien sa fille, était entièrement d’accord avec moi, il fallait la laisser se découvrir elle-même et, si pour cela, elle devait utiliser l’un ou l’autre, pourquoi pas. Elle devait comprendre par elle-même que le sexe n’est pas tabou, c’est la façon de le faire qui était importante. L’accord des deux partenaires en priorité. Deux ou plus … Je me tournais alors vers la délicieuse poitrine de ma belle-sœur et j’enserrais l’un de ses tétons en mes lèvres. Jérôme fit de même avec l’autre sein et nos deux mains se retrouvèrent entre les cuisses ouvertes de sa femme. La nuit commençait sous les meilleurs auspices. À un moment, je ne sais pas comment, je me suis retrouvée en travers du lit, avec Ingrid en-dessous de moi, tête-bêche. J’étais en train de la savourer lorsque j’ai senti le désir du mâle dans mon dos. Sous les yeux de sa femme, qui était aux premières loges, il s’est introduit en moi d’une seule traite. Je poussais un râle de satisfaction de me sentir enfin remplie. Mais ce n’était qu’une étape pour lui. C’était mon cul qu’il voulait, laissant Ingrid jouer avec mon clito. Il m’a embrochée avant de martyriser mon pauvre petit postérieur. Je rigole, j’adorais ça, qu’il me prenne comme une chienne. Et là, je me sentais parfaitement bien, à ma place, sous les coups de bite du mâle en rut. J’étais à lui, pour lui, et ce que faisait sa femme en-dessous de moi, ce n’était que du bonus.
La tempête monta progressivement en moi, atteignant des sommets inégalés. Je n’étais qu’une chienne, SA chienne, et il me baisait comme il en avait envie. Je m’écroulais de plaisir sur le corps voluptueux de sa femme qui me retourna instantanément. C’était elle qui était au-dessus de moi, désormais, et qui récoltait mon nectar. Jérôme, qui était toujours bien raide, fit le tour du lit pour se présenter derrière Ingrid. Je voyais son sexe, énorme dans cette perspective, qui venait jouer avec la rondelle de sa femme. Comme il venait de le faire avec moi, il s’est enfoncé profondément dans sa chatte accueillante, juste pour la préparer à ce qu’il désirait le plus. Son cul que je lui offrais, en écartant les deux globes. Son petit trou devait palpiter d’envie d’être rempli à nouveau. Ce qu’il fit très lentement, profitant pleinement de chaque centimètre qui s’enfonçait en elle. Il resta ainsi un moment, planté au plus profond de son épouse. Je jouais habilement avec ses grosses boules qui pendaient sous lui. J’en attrapais une dans ma bouche et il se mit en action, pilonnant allègrement le gros cul de sa femme. Avec moi, il avait été brutal et bestial. Avec Ingrid, il allait et venait en elle tout en douceur. Il prenait tout son temps pour faire monter son plaisir. Ingrid n’avait pas attendu très longtemps avant de couler telle une fontaine. Je me plaçais sous sa chatte pour récolter tout ce qu’elle secrétait. Je m’attaquais ensuite à son clito et son orgasme se prolongea un long moment, tant que j’aspirais son bouton d’amour.
Il a fini par jouir intensément dans son cul et nous nous sommes endormis, paisiblement. Je me suis retrouvée entre les deux époux et j’avais la poitrine généreuse d’Ingrid à portée de ma bouche. Plus tard, dans la nuit, j’ai senti le mâle qui se réveillait derrière moi et sa queue qui grossissait contre mes fesses. Il m’a prise tendrement, en cuillère, faisant attention à ne pas réveiller sa femme, qui avait énormément besoin de sommeil. Le lit bougeait beaucoup et je ne comprenais pas comment elle faisait pour dormir ainsi. Jérôme se déversa finalement en moi et s’endormit de nouveau. Moi, j’étais très excitée et, par inadvertance, je passais mes doigts entre les cuisses légèrement écartées de ma voisine. Je fus très surprise de la trouver trempée. Soit elle était en train de faire un rêve des plus érotiques …