Elle me souriait tendrement en se laissant faire. Puis elle enfila son soutif, que j’attachais dans son dos. Je glissais mes mains dans les bonnets pour bien remonter les globes à leur place, tout en agaçant les tétons qui pointaient légèrement. Puis, je passais sa robe légère et la boutonnais devant. Rien d’autre. Elle était prête à descendre. Je marchais derrière elle pour admirer ses formes, encore et encore. Ses jolies fesses qui rebondissaient à chaque pas.
Tout le monde nous attendait et on se mit à table. J’étais placée entre les deux filles, comme d’habitude, les parents en face de nous. Le repas se déroula dans une bonne humeur habituelle. Au moment du dessert, Francis prit la parole pour nous apprendre qu’il avait signé, la veille, un chantier dans une coopérative agricole, et que, l’une des clauses sur laquelle il avait insisté, était de placer sa fille Amélie et moi-même sur la liste des petites mains. Nous travaillerons quelques jours à la cueillette des fraises, dans les serres.
Il avait vraiment apprécié que je trouve du travail pour sa fille pendant les deux mois d’été et tenait à me rendre la pareille. Il nous restait donc moins d’une semaine de vacances véritables. Il ajouta qu’il pourrait nous emmener sur place avec sa voiture, pour plus de facilités. La coopérative se trouvait à quelques kilomètres et il devait y rejoindre ses ouvriers tous les matins. Je le remerciais pour son geste et Amélie se leva pour lui faire une grosse bise. En revenant près de moi, elle resta debout pour débarrasser la table. J’en profitais pour glisser ma main sous sa robe. Elle se laissa faire, bien sûr, trop heureuse que je m’occupe de sa petite chatte. La coquine commençait à mouiller d’envie. Ses gestes s’en trouvaient ralentis, attentionnée qu’elle était à profiter de mes caresses.
Corinne lui demanda de se dépêcher un peu, que l’on n’avait pas toute la journée. Charlène jeta un œil et comprit très vite le pourquoi de ce ralentissement. Elle se leva à son tour et proposa son aide. Je la remerciais du regard, tandis que ma main libre s’engouffrait sous sa jupe. Je caressais avec bonheur ses petites fesses musclées. La coquine ne portait rien dessous sa minijupe. Elle prit un plat entre ses mains pour le ramener dans la cuisine et se tourna. Mes doigts effleurèrent son petit minou duveteux. Elle me sourit avant de disparaitre. Amélie prit enfin la pile d’assiettes et les porta à son tour dans la cuisine. Restée seule avec Corinne et Francis, je leur proposais de passer sur la terrasse où je leur servirai personnellement le café. Ils acceptèrent, surpris mais heureux. Je rejoignais les filles dans la cuisine pour préparer le plateau et le café.
J’expliquais brièvement ce que j’allais faire mais que je revenais les aider pour la vaisselle. Je livrais mon plateau sur la terrasse auquel j’avais ajouté une boite de biscuits, Nantais bien entendu ! Je les servais, elle d’abord, en profitant pour plonger mes yeux dans son décolleté, et lui ensuite. À son regard, je compris qu’il m’avait vue et il se contenta de me sourire. Il savait combien coquine je pouvais être et son épouse était vraiment une femme désirable. Je les laissais papoter au soleil de cette fin du mois d’Août pour rejoindre les filles dans la cuisine. Amélie était de dos, devant l’évier, les mains dans l’eau de vaisselle. J’approchais d’elle tout doucement et glissais mes mains sous ses bras pour remonter sur sa poitrine.
J’empaumais ses deux globes généreux et elle tendit ses lèvres vers les miennes. Un tendre bisou s’ensuivit. Je la pelotais avec délices. Charlène posa l’assiette qu’elle essuyait et s’approcha de sa grande sœur. Son regard se portait sur la poitrine que je malaxais. Elle tendit sa bouche gourmande vers le sein que je lui proposais. Je défis quelques boutons pour lui permettre de titiller le téton avec sa langue. Je continuais de déboutonner la robe pour accéder enfin à la chatte de ma belle. Elle se cabra quand mes doigts effleurèrent son clito. Amélie était entièrement à notre merci, Charlène la tétant et la pelotant de sa main libre, mes mains en-dessous de la taille, une devant et l’autre derrière, s’occupait de son anus. Elle frémissait, ma belle, sous l’effet des caresses conjuguées.
Charlène me jeta un coup d’œil complice, coquine à souhait. Du regard, je lui indiquais de s’agenouiller entre les cuisses de sa grande sœur. Nul besoin de lui appuyer sur les épaules pour qu’elle comprenne. Quand je sentis sa langue sur le clito, je lui laissais le champ libre pour m’intéresser à la poitrine généreuse, offerte à mes plaisirs. Les tétons roulaient dans mes paumes, durs et tendres à la fois. Quand ma bouche prit l’un d’eux et l’aspira, Amélie se contracta violemment, jouissant comme une folle. Je jetais un regard vers Charlène qui buvait toute sa mouille. Elle léchait avidement les cuisses de sa sœur, partout où le jus d’amour avait coulé, et retournait à la source des plaisirs.
Je m’accroupis derrière elle et glissais ma main sous sa jupe. Aussitôt, elle se crispa à son tour, emportée par le plaisir. Elle tremblait de tous ses membres, submergée par le plaisir. Les deux filles avaient joui très fort, l’une après l’autre, mais sans un bruit, pas un cri ne s’échappa de leurs gorges. Charlène se releva enfin pour venir chercher mes lèvres, afin de me remercier de cette jouissance.
Ses lèvres étaient douces et sucrées, et j’y retrouvais le goût de ma chère Amélie. Celle-ci, se sentant abandonnée, s’agenouilla à son tour devant sa petite sœur et glissa sa tête sous la jupe. Ce qu’elle y fit, je le devinais aux spasmes qui secouaient la jeune Charlène, serrée contre moi. Je dus la soutenir un long moment pour ne pas qu’elle tombe. Une fois nettoyée la petite chatte duveteuse, Amélie passa sa tête sous ma robe légère et écarta le tissu de mon string. Sa langue experte, oui, elle le devenait petit à petit, trouva mon clitoris et le titilla avec délices. Puis, elle lécha et suça mes lèvres intimes.