Déconfinement, enfin ! (07/10)

Seules ses mains bougeaient. Elle avait inconsciemment écarté les cuisses pour me laisser la faire jouir. Elle restait inerte, je fis le tour du lit pour me retrouver entre ses jambes. Je plongeais irrémédiablement sur sa chatte offerte, recueillant les effluves de son plaisir. La source se remit immédiatement à évacuer des litres de cyprine odorante et parfumée que je m’empressais d’avaler. Quelques coups de langue bien placés sur son clito et elle se cambrait à nouveau dans un nouvel orgasme encore plus ravageur.

Pas un mot. Pas un cri. Juste son regard reconnaissant pour le moment de pur bonheur qu’elle venait de vivre. Nous étions désormais nues, l’une comme l’autre. Je glissais doucement entre ses jambes, remontant vers son visage extatique. C’est tout naturellement que mes lèvres se posèrent sur sa bouche. Imperceptiblement, elle ouvrit ses lèvres pour accueillir mon baiser. Elle m’avoua, plus tard, que c’était la première fois qu’elle goutait à son plaisir. Ce baiser dura longtemps, ma chatte se frottant langoureusement contre la sienne. Quand nos clitos entrèrent en contact, ce fut comme un arc électrique entre nous. Un plaisir suprême. Cela sembla déclencher chez elle une fougue insoupçonnée. Elle me bouscula, me bascula pour se retrouver au-dessus de moi. Elle me rendit d’abord mon baiser. Avant de descendre sur mes seins qu’elle lécha amoureusement.

Sa bouche gourmande descendit sur mon ventre, puis enfin entre mes cuisses. J’étais totalement à sa merci et j’appréciais qu’elle essaye de me rendre le plaisir que j’avais pu lui donner auparavant. Ce ne fut pas un orgasme hors du commun mais c’était normal pour une première fois. Doucement, délicatement, je rampais pour qu’elle se trouve juste au-dessus de ma bouche. Je collais de nouveau mes lèvres contre les siennes, intimes. Après quelques instants, elle comprit que, pour accentuer mon plaisir, elle devait m’imiter. Ce qu’elle fit parfaitement cette fois-ci et c’est ensemble que nous nous sommes envolées pour le paradis. Après ce doux moment de folie, on s’allongea côte à côte dans le lit. Sa tête posée sur ma poitrine, elle se laissa aller à quelques confidences. Elle n’était plus vierge depuis ses 16 ans, mais n’avait plus de copain pour le moment. Son départ prochain en était la cause principale. Quand je lui demandais de me raconter sa première expérience, je sentis immédiatement une réticence dans sa voix.

Pour la rassurer, et confirmer que tout restera entre nous, je lui racontais mes premiers émois. Pour le peu que je m’en souvienne, je devais avoir guère plus de 14 ans quand un homme posa ses mains sur moi pour la première fois. C’était doux, et tendre. Vraiment délicieux. J’allais même plus loin dans la confidence.

« Rosalie, ma chérie. Cet homme, c’était ton père. Mon tonton que j’aimais beaucoup. Jamais il ne m’a considérée comme une enfant, quand il me parlait. On parlait souvent, lui et moi, de sujets qui concernaient les adultes comme la politique, l’engagement citoyen et le développement durable. C’est aussi comme une femme qu’il me voyait grandir. Ses mains baladeuses sur moi me faisaient frémir. J’avais peur, un peu, mais j’espérais toujours un peu plus ».

« Pour avoir plus de commodités, et surtout une chance de rester avec les adultes, j’avais pris l’habitude de m’asseoir sur les genoux de mon tonton adoré. Il était toujours marié avec Armelle et vous veniez souvent nous rendre visite. Ton petit frère venait de naître et tu étais déjà une merveilleuse chipie. Du fait de ma position, j’avais toujours les cuisses écartées mais personne ne pouvait rien voir ».

« Il suffisait que ton papa écarte légèrement les jambes et mes cuisses s’ouvraient encore plus. Cela ne me dérangeait pas du tout. Un soir, pris dans la conversation, tonton Roger posa une main sur ma cuisse dénudée. Cela me donna une bouffée de chaleur et je faisais mon maximum pour ne rien laisser paraître ».

« Ma jupe était remontée très haut et cette main toute chaude se promenait maintenant librement sur ma peau. Inconsciemment, j’écartais encore plus, donnant libre accès à ma toute jeune féminité. Je m’abandonnais à ses caresses qui restèrent très chastes, pour cette première fois « .

« Il y eut beaucoup d’autres occasions et, chaque fois, je me laissais faire nonchalamment. Parfois, coquine, je soulevais légèrement ma jupe avant de m’asseoir sur ses cuisses, ma peau directement au contact de son pantalon. Les caresses se passaient exclusivement sous ma jupe, j’aurais aimé qu’il touche également ma poitrine mais cela était plus délicat ».

« Pourtant, il y est parvenu, parfois, en se croisant dans un couloir, dans le garage, quand on était sûrs que personne ne pouvait nous surprendre. C’était frustrant, mais terriblement excitant. Puis un soir, devant la télé, nous étions pourtant tous là mais il a osé enfin. J’étais aux anges, assise sur ses genoux, sa main droite qui pelotait mon sein allègrement. Quand le film a été fini, tous sont allés se coucher. J’ai demandé à rester un peu, tonton était d’accord lui aussi. J’ai pris place dans le canapé, totalement libéré, pour faire bonne figure ».

« Dès que tout le monde fut au lit, je retournais m’asseoir sur ses genoux accueillants. Avant cela, il baissa ma culotte à mes genoux. J’étais cul nu sur lui. Il glissa littéralement ses mains sous mon tee-shirt pour prendre mes seins dans ses mains. Je m’abandonnais totalement, adossée contre lui. Ma culotte me gênait horriblement, entravant mes genoux. Je l’ôtais finalement. Mon tonton adoré se mit à rire, avant de glisser une main sous ma jupe relevée ».

« Cette nuit-là, j’eus mon premier orgasme, grâce à mon tonton adoré. Il continua à me caresser jusqu’à ce que je lui demande d’arrêter. Trop de plaisir. Depuis des mois, il me caressait et je me laissais faire. Ce soir-là, pour la première fois, et pour le remercier de cet immense bonheur, j’acceptais enfin de le toucher. On s’installa sur le canapé et il glissa ma petite main dans son pantalon. Je découvrais pour la première fois un sexe d’homme, un vrai, que je pouvais toucher, que je sentais frémir sous mes doigts « .

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