Et Vanessa avait choisi les mêmes prix. J’ai donc pu revoir la jolie poitrine de Vanessa, et Ludo qui s’en donnait à cœur joie pour la sucer, la lécher amoureusement. Il finit par la lâcher et elle put remettre son soutif et sa robe. Je la raccompagnais chez elle, elle était toute heureuse d’avoir effectué sa première heure de travail chez « Fée du Logis ». Les 70 € qu’elle avait en poche y étaient certainement pour beaucoup. Elle insista pour que je monte boire un café avec elle, pour fêter notre nouvelle collaboration. Comment refuser quoique ce soit à ce si charmant sourire ? On s’installa dans sa cuisine et elle resta debout près de moi le temps que le café soit chaud. Elle me servit, elle ensuite, mais elle resta debout. Une question lui brûlait les lèvres. Je me délectais de ce moment, quand la tension est à son comble. Voyant qu’elle n’oserait pas, je pris les devants. Je posais ma main derrière son mollet et remontais jusqu’à la lisière des bas.
» Tu as une question à me poser ? Besoin de renseignements supplémentaires ? »
« Non. Enfin si. Je voulais … Je me demandais si … Voilà. Ce matin, avec Fatima. Quand tu l’as … »
« Enculée. C’est le mot que tu cherches? Tu voudrais essayer toi aussi? »
« Ouiiii, Madame ».
Un « oui » très enthousiaste, et le « Madame » très révérencieux. Une soumise bien dressée.
« Ôtes ta robe ».
J’eus à peine fini ma phrase que sa robe pendait sur une chaise. Je pouvais flatter à loisirs ses jolies fesses. Ma main ne s’en priva pas. Je la poussais, ou bien était-ce elle qui me tirait vers sa chambre. Elle quitta le reste de ses vêtements et se positionna sur le lit, attendant d’être enfin prise. À quatre pattes sur le lit, la tête posée sur ses avant-bras, la croupe levée bien haut, elle attend patiemment que je la touche enfin. Elle sait pertinemment que j’ai une vue imprenable sur son cul qui parait plus gros, plus volumineux dans cette position. Elle doit sentir mon regard qui s’attarde sur sa rondelle qui frétille d’impatience et cela la brûle, cela la fait mouiller encore plus. Je m’approche tout près pour souffler sur son anus, je la vois frémir et sa chatte qui commence à couler comme une fontaine. Je récupère un peu de cette mouille pour lui enduire l’anus avant de la pénétrer, juste un peu, pour ne pas l’effrayer. Je recommence l’opération plusieurs fois jusqu’à ce que la première phalange entre sans aucune douleur.
Elle coule tellement que je mouille deux doigts cette fois et je les présente sur sa rondelle. Une petite appréhension en sentant les deux doigts, mais très vite oubliée. Je restais posée juste à l’entrée, sans forcer, sans tenter de la pénétrer plus avant. C’est finalement elle-même, mourant d’impatience, qui s’empala sur mes doigts. Tellement excitée qu’elle les rentra au fond de son cul, désormais accueillant. J’aperçus son visage dans le miroir de l’armoire. Un léger rictus, mais les yeux injectés, comme une droguée. Doucement, c’est elle-même qui commença à faire des allers retours. Avec mon autre main que j’avais glissée sous son ventre, je titillais son clito bien sorti de sa cachette. Puis, je tournais mes doigts dans son cul pour l’assouplir plus encore avant d’y entrer un troisième doigt. Je pinçais alors son clito, tandis que je l’enculais très vite avec mes doigts. Son orgasme fut fulgurant, dévastateur, et la laissa haletante sur le lit, incapable de bouger, de parler. Je lui laissais quelques minutes de répit pour qu’elle se remette, le temps que je m’équipe du gode ceinture. Je retourne vers Vanessa qui n’a pas bougé, mais sa respiration est redevenue régulière. Le gode en avant, bien droit. Je le frotte sur sa fente humide avant de l’approcher de son anus. Il glisse un moment dans la raie des fesses, semblant chercher un passage secret. Puis s’arrête net à l’entrée tant convoitée.
Un gémissement de plaisir me prouve que je suis bien là où l’on m’attend. Je pousse doucement, à petits coups. Le fin anneau cède le passage peu à peu, s’assouplit et se referme sur le gland qui est entré maintenant. J’attrape ses mains et les pose sur ses fesses pour qu’elle les écarte elle-même. Je continue à m’enfoncer lentement dans son fondement, sans cri, sans douleur. Elle est même surprise de sentir mon pubis, signe que je suis bien au fond de son cul. Je reprends mes caresses sur son bouton d’amour, le titillant, lui faisant oublier la brulure dans son anus. Je ressors pour la reprendre à fond, un peu plus fort. Je réitère l’opération plusieurs fois, pour aller plus loin, toujours plus fort. Elle jouit une nouvelle fois, tant par le cul que par le clito que j’avais pincé. Cette fois, bien accrochée à ses hanches, je l’encule à toute vitesse. Très vite. Très fort. Elle n’est plus qu’un trou béant que je dois combler. Elle mord son oreiller pour ne pas que les voisins entendent ses hurlements de plaisir. Je sens une nouvelle fois sa chatte qui décharge mais je continue à la prendre à fond. Maintenant, c’est à mon tour. Je veux jouir moi aussi. Jouir de ce corps splendide qui m’est offert. Jouir de tous ses trous, sa bouche. Je veux la posséder, la faire mienne. Elle est déjà soumise. Je veux qu’elle soit dépendante, assoiffée de moi. Du coup, c’est moi qui perds pied à mon tour. Telle une machine à baiser, je l’encule sans m’arrêter. Je n’ai plus aucun sens du temps…
Je reprends doucement mes esprits, secouée par les derniers spasmes de mon orgasme. Je suis toujours fichée en elle, bien profond, et à chaque soubresaut, je tente de rentrer encore plus loin en elle. Vanessa semble évanouie. Trop de plaisir d’un coup. Moi-même, j’ai dû comater un moment. La chambre se trouve dans une semi-obscurité désormais. La nuit est tombée. Je suis enfin sortie de son cul, qui reste grand ouvert. Je suis toujours impressionnée par ce phénomène, peur de le voir rester ainsi, lol. Je l’ai aidée à s’allonger, l’ai recouverte. Tout ça, sans qu’elle ne se réveille. Je suis allée prendre une douche, je me suis rhabillée et je suis sortie. Vanessa dormait toujours profondément. Son visage était illuminé par tout le plaisir qu’elle avait ressenti. Ce visage rayonnant n’avait plus rien à voir avec celui de la jeune fille que j’avais rencontrée ce matin pour la première fois. En passant devant la porte de Fatima, j’entendis de la musique, et son fils qui riait. Elle devait danser pour lui.