Il s’écarta d’elle dès qu’il sentit ma présence derrière lui. Elle quitta la pièce, un peu déçue, et je me collais à lui, par derrière. Je posais ma main sur sa combinaison et j’attrapais sa queue bien bandée avant de lui souffler à l’oreille.
« Attention à elle, c’est ma petite sœur et je la défendrais toujours contre tous ceux qui lui feront du mal. Tu as bien compris ? »
J’avais serré un peu plus sa queue entre mes doigts et il m’a fait comprendre qu’il avait parfaitement compris le message. Pour le remercier, et un peu parce que j’en avais envie, je l’ai branlé quelques instants. Il a couru dehors aussitôt après que je l’ai lâché, pour aller se soulager, je suppose. Nous avions plutôt bien travaillé et Roland, en chef de travaux, nous annonça que l’on pouvait passer une première couche de peinture sur les murs bien propres désormais. C’est Éric qui se chargea de mélanger la peinture, Laurent finissait les quelques branchements qui restaient et Roland nous observait, surtout ma mère. Je n’en étais pas jalouse car je savais les yeux de Laurent posés sur moi dès qu’il le pouvait. Dès que la première sous-couche a été appliquée, nous avons pris congé de Roland, précisant que l’on reviendrait le lendemain, à la même heure. Cette nuit-là, Élodie est venue me rejoindre dans mon lit, alors qu’il n’y avait pas d’orage. Elle a de nouveau joué avec mon corps, avec mes seins, une bonne partie de la nuit.
Nous étions les premières réveillées, le lendemain, et les premières prêtes à partir. Maman s’amusa un peu de notre empressement. Elle ne disait rien mais je voyais bien que, elle aussi, elle semblait flattée des attentions de Roland à son égard. Il est vrai que notre père n’était plus du tout comme ça avec elle, sauf quand nous étions en vacances. Roland et Laurent étaient déjà en train de boire un café lorsque nous sommes arrivées. Éric est venu nous ouvrir la porte pour que nous puissions commencer à travailler. Il était chargé de faire les finitions, autour des poutres du plafond, perché sur un escabeau que ma petite sœur resterait à maintenir, pour ne pas qu’il tombe. Il a bien fait une partie du mur mais Élodie a insisté pour faire l’autre côté. Éric avait donc une vue imprenable sur sa petite culotte et il ne s’en est pas privé de regarder sous sa jupe. Maman et moi, nous avions chacune un rouleau de peinture fixé à un manche à balai, ce qui nous permettait de faire de grandes surfaces de mur. La première couche de la journée a été très vite terminée.
Roland nous a proposé une boisson chaude pour attendre avant une autre couche, maman et moi avons accepté un café, Élodie et Éric, un chocolat. Vu qu’il n’y avait pas assez de chaises, je me suis permise de m’asseoir sur les genoux de Laurent. Maman n’était pas trop d’accord mais Roland a très vite détourné son attention. Je sentais une grosse bosse qui gonflait dans mon dos, contre mes fesses, et je jouais avec cette érection grandissante en frottant mes fesses dessus. Il aurait certainement voulu beaucoup plus, tout en sachant que c’était impossible. Pas devant ma mère, et les autres. Et il savait pertinemment que j’étais mineure, il dut donc se contenter de ce que je lui offrais, tout en posant ses mains sur mes hanches, pour accompagner mes mouvements. Quand je me suis levée pour retourner à la peinture, il est resté assis, posant un bras sur ses cuisses pour cacher son érection. Une fois debout, je suis passée très près de lui et ma poitrine a frôlé sa bouche de très près. Nous sommes tous retournés au travail, Laurent un peu plus tard. Il ne lui restait que quelques branchements à effectuer pour que tout soit conforme.
Quand il eut fini, il resta à boire des bières avec Roland, tout en nous observant. À un moment, je me suis retrouvée dans un coin un peu isolé, mais je savais qu’il était tout près de moi. J’ai posé mon rouleau de peinture, je me suis reculée jusqu’à lui. Je sentais sa chaleur dans mon dos. J’ai attrapé ses mains pour les glisser sous mon tee-shirt. Je savais que nous n’avions que peu de temps. Il a posé ses mains sur mes seins et j’ai tout oublié, et Hugo, et Jessica. J’aurais aimé qu’il ait plus de mains pour me caresser partout à la fois, mes fesses, mes seins, ma chatte que je lui aurais abandonnée sans complexe. J’avais envie de ses mains partout sur moi mais, malheureusement, maman m’a rappelée et j’ai dû la rejoindre. La peinture était finie, le rangement fait, il ne nous restait que la décoration pour la soirée d’anniversaire, le lendemain soir. J’ai passé la matinée avec Jessica, laissant le champ libre à sa maman pour finir la décoration. Tristan et Yvon étaient là aussi pour installer leur matériel, Lola aidait pour la déco avec d’autres amies de Jessica. J’avais pour mission de la tenir éloignée de sa maman, et des autres. Et cela était plutôt facile, toutes les deux dans sa chambre, elle me racontait les deux jours passés chez sa grand-mère maternelle. Dans le courant de l’après-midi, je lui ai suggéré de faire des essayages. Nous jouions parfois à ce jeu entre nous, essayant diverses tenues, défilant comme des mannequins. Nous nous changions l’une devant l’autre, sans aucun complexe. Je l’amenais doucement à passer la tenue que j’avais imaginée pour elle, pour sa soirée d’anniversaire. Pour faire bonne mesure, c’est elle qui dût choisir ce que moi je devais porter. Je savais que son choix se porterait sur un legging, avec uniquement un string dessous. Elle m’avait déjà maintes fois complimentée en me disant que, ainsi, j’avais un cul parfait.
Elle portait une jupe blanche, ornée de dentelles, que lui avait offerte sa grand-mère, en haut, un pull fuchsia cachait sa lingerie noire. Je réussis à l’entrainer dehors, pour nous promener ainsi habillées. Ce n’est qu’en quittant le village qu’elle commença à s’inquiéter de l’endroit où je l’emmenais. Je lui répondis simplement de me faire confiance et elle me suivit sans plus discuter. Elle connaissait évidemment le village comme moi, et les gens qui y habitaient. Elle reconnut facilement que nous nous dirigions vers la maison de Roland, le chauffeur du bus. Mais elle n’en comprenait toujours pas la raison. Pas une lumière dans la maison, ni alentour. Je l’entrainais à ma suite directement vers « La Grange ». Quand elle entra, la première, la lumière s’alluma et la sempiternelle musique « Happy birthday to you » retentit, reprise par tous ses amis présents ce soir.
Elle en avait les larmes aux yeux, Jessica, de revoir les copines perdues de vue depuis le début de l’année. Pour ce qui est du reste de la soirée, je vous en dirais plus dans un nouvel épisode.
À suivre …