Nous sommes enfin vendredi et nous roulons, Céliane et moi, vers le lieu de vacances où nous attendent ses parents, sa petite sœur et mon fils, Dylan. Jérôme, mon frère, n’a eu que deux filles et, même s’il en est très heureux, il a toujours regretté, un peu, de ne pas avoir eu un fils. C’est certainement pour cette raison qu’il s’occupe si bien de mon fils, qui est aussi son filleul. De plus, Dylan est du même âge que sa petite dernière, Lisa, et ils sont très complices, tous les deux. Pour Ingrid, ma belle-sœur, il a toujours été clair qu’elle ne désirait que deux enfants, pas plus. Elle devait penser que le fait de s’occuper de son neveu pouvait lui faire oublier que ce n’était pas son fils, même s’il le considérait comme tel. Nous sommes arrivées en toute fin d’après-midi et nous avons été accueillies avec force bisous et embrassades. Tous étaient contents de nous voir enfin avec eux. Pendant que les enfants étaient entre eux, j’étais entourée par Jérôme et Ingrid. Malgré la présence de sa femme, il n’a pas hésité à poser sa main sur mes fesses, glissant même sous ma minijupe. Je n’étais pas en reste puisque j’en ai fait autant avec sa femme. Elle a bien sûr été surprise mais elle a accueilli mon initiative avec un grand sourire. De loin, Céliane avait tout compris et elle emmena les plus jeunes pour aller jouer dehors, laissant les adultes à leurs jeux d’adultes.
Presqu’aussitôt, je me suis retrouvée coincée entre eux deux, je jouais avec les seins de ma belle-sœur alors que Jérôme avait déjà soulevé ma minijupe. J’ai senti sa queue qui glissait sur mes fesses et il lui a suffi d’écarter la ficelle du string pour trouver facilement l’entrée de ma chatte. Il m’a pénétrée d’un coup sec, sans s’arrêter et Ingrid m’a embrassée pour contenir mon cri de surprise. Cela ressemblait à un plan établi à l’avance, comme s’ils avaient prémédité ce qu’ils me feraient à mon arrivée. J’ai soulevé le top à bretelles qui cachait la poitrine d’Ingrid et je me suis penchée en avant pour gober l’un de ses tétons. Jérôme, accroché à mes hanches, avait accéléré le rythme et me baisait à toute vitesse. Le week-end commençait sous les meilleurs auspices. J’étais bien trop absorbée avec mon orgasme qui se propageait en moi pour bien m’occuper de faire jouir Ingrid. Mais je savais que ce n’était que partie remise.
Mon frère et sa femme avait loué un chalet dans un camping du bord de mer. Petit mais confortable, il ne comprenait que quatre pièces. Deux chambres, une cuisine et la pièce de vie. Après cet accueil tonitruant, Jérôme est resté avec les enfants tandis qu’Ingrid m’emmenait vers l’espace douches. Elle allait partir quand je l’ai retenue par la main avant de l’attirer avec moi dans la cabine. Je lui ai laissé le plaisir de me dévêtir totalement, j’en ai fait de même pour elle juste après. Comme deux collégiennes, nous sommes passées sous la douche et ce ne furent que caresses et baisers. C’était la première fois que je la voyais entièrement nue, à ma disposition. Et j’en profitais à juste titre. Comme elle profitait pleinement de mon corps offert à ses caresses. Nous sommes retournées au chalet, main dans la main. Le repas du soir a été très festif, très convivial, et nous sommes allés nous promener sur la plage toute proche pour digérer. En passant à côté, Dylan me montra le « Club des Dauphins » où il était inscrit avec Lisa, sa cousine.
Retour au chalet pour se préparer pour la nuit. Deux chambres, dont une occupée par les enfants, composaient le chalet. C’est Ingrid, je l’ai appris plus tard, qui avait proposé à son mari que je passe les deux nuits avec eux. Elle avait, semble-t-il, vraiment apprécié notre première fois ensemble, tous les trois, chez elle. Et ce n’était certainement pas Jérôme qui allait s’en plaindre. Et moi, encore moins. Ingrid était la première couchée, entièrement nue, et elle s’est allongée au milieu du lit. J’ai donc pris un côté et mon frère de l’autre côté. Il était allé coucher les petits et il nous trouva ainsi, nous embrassant à gorge déployée. Il nous a rejoint, nu comme un ver et déjà bandant très fort. Il s’allongea près de sa femme, puisqu’il n’y avait pas d’autre place, et commença à la caresser. Vu qu’elle était légèrement tournée vers moi, ce sont ses fesses qu’elle lui exposait et il s’est introduit entre ses cuisses, dans son palais si accueillant. Le début de la nuit a été fort agité. Au bout d’un moment, c’est moi qui me suis retrouvée au milieu d’eux et Jérôme m’a enculée divinement. Il a fini par s’endormir, épuisé de tant d’efforts pour nous combler l’une et l’autre. Mais la nuit n’était pas finie pour autant. Ma belle-sœur était déchaînée et elle voulait jouir encore et encore, essayant sans doute de rattraper tout le temps perdu. Il faisait si chaud que nous avons décidé de retourner prendre une douche, ensemble. Légèrement vêtues, nous sommes allées à l’espace public sans rencontrer personne. C’est dans l’intimité de cette cabine de douche qu’elle m’avoua enfin qu’il y avait longtemps qu’elle voulait essayer avec une autre femme. Elle avait, comme beaucoup de jeunes filles, connu ses premiers émois avec une copine du collège, juste des caresses un peu poussées.
C’est avec sa cousine, chez qui elle était en vacances, qu’elle avait failli avoir sa première vraie expérience. Mais elles avaient failli être surprises. Quelques jours plus tard, sa cousine se faisait prendre la main dans la culotte d’une autre fille. Scandale dans la famille. C’était il y a longtemps. Les mentalités n’ont guère évolué depuis ce temps et, par discrétion, Ingrid avait oublié ses envies. Jusqu’à ce que je les fasse renaître, il y a seulement quelques mois, chez mes parents. Et quand j’ai recommencé, chez elle cette fois-ci, il y a quelques semaines, cela a été une véritable révélation. Elle s’est enfin lâchée pour devenir Femme complètement.