Rares devaient être les clients qui souhaitaient dormir en plein après-midi. Ou bien alors, pour les mêmes raisons que nous. Je me déshabillais entièrement le temps qu’elle récupère, puis c’est elle que je mettais nue à nouveau. J’écartais ses cuisses pour me glisser entre et frotter mon clito contre le sien. Encore une découverte pour elle mais elle apprécia ce nouveau jeu. En relevant sa jambe droite, je me plaçais en ciseaux face à sa fente et cette fois-ci, c’est ensemble que nous avons exulté. Pour finir, je me plaçais en 69 au-dessus d’elle pour une nouvelle jouissance mémorable. Elle appela sa cousine pour ne pas qu’elle s’inquiète, et moi mon bureau pour prévenir que je rentrais dimanche.
On resta à se câliner un moment puis elle me fit découvrir sa ville de nuit. Un petit restaurant sympa, puis une fête d’étudiants. Les grecs sont des personnes très conviviales, et ce, malgré la crise qui frappe leur pays. Ils n’ont pas beaucoup mais ce qu’ils ont, ils le donnent sans retour. Nous sommes rentrées très tard à l’hôtel et nous avons fait l’amour toute la nuit. Au petit matin, elle s’endormit profondément et je restais seule à essayer de trouver une solution à ses problèmes. Je ne pouvais pas rentrer comme ça en France et la laisser retourner se prostituer pour manger de façon régulière et étudier dans de bonnes conditions.
Avec l’aide du programme Erasmus, elle pouvait continuer ses études en France, à Nice même pourquoi pas ? Il lui fallait un logement rapidement et un emploi pour subvenir à ses besoins et à sa famille. Je me rappelais soudain la réflexion que m’avait faite une cliente. Une riche héritière. Elle vivait seule dans sa grande propriété depuis qu’elle avait viré son chauffeur et sa femme de chambre. Elle les avait surpris ensemble et n’avait pas supporté qu’ils s’amusent ensemble alors qu’elle s’emmerdait à longueur de journée. Elle m’avait acheté une voiture et se plaignait de sa solitude. J’étais totalement hétéro à ce moment et n’avait pas compris ses appels.
C’est là qu’elle m’avait dit qu’elle pourrait héberger une étudiante, et m’avait demandé si je connaissais quelqu’un. Je ne voyais pas à l’époque de candidates potentielles. Mais aujourd’hui, j’en avais une sous les yeux. Elle dormait, entièrement nue et si désirable. J’avais envie de la réveiller pour profiter encore de son corps de déesse et lui parler de mon idée.
Je décidais de contacter d’abord ma cliente pour savoir si elle cherchait toujours une étudiante à loger. J’allumais mon ordi portable pour me connecter à ma messagerie professionnelle. Je savais que j’avais correspondu avec elle et que je trouverais son numéro de téléphone dans mes contacts. Je m’isolais dans la salle de bains pour l’appeler et lui expliquer tout. Enfin presque tout. Je ne parlais pas de prostitution, ni qu’elle dormait dans mon lit actuellement.
Après avoir cherché longtemps, sans trouver, elle s’était résignée à vivre seule. Mon appel lui fit énormément plaisir. Cela lui prouvait d’abord que je l’avais écoutée, et comprise. Que je n’avais pas oublié sa quête en vue de rompre sa solitude. Même s’il n’y avait plus d’enjeux commerciaux, une cliente reste une cliente et la satisfaire est de mon devoir. Elle me posa quelques questions sur Jacinta auxquelles je répondais aisément. Je sentais qu’une autre question lui brûlait les lèvres mais qu’elle n’osait pas la poser directement. Pour conclure avant de prendre un rendez-vous définitif, je lui assurais qu’elle était très ouverte d’esprit. Elle avait compris mon allusion et rendez-vous fut pris pour lundi matin, chez elle.
Toujours par Internet, je vérifiais les vols pour rentrer à Nice et surtout s’il y avait une place disponible pour ma nouvelle conquête. Je mettais une option dessus sans la payer aussitôt. Je devais préalablement en parler avec la principale intéressée. Puis j’appelais la réception pour commander un petit déjeuner pour deux et leur signaler que je gardais la chambre jusqu’à dimanche matin. Le service d’étage frappa à la porte et j’ouvrais à une jeune femme toute menue. Elle poussa le chariot près de la table et se retourna, surprise de voir les jolies fesses de Jacinta qui faisait semblant de dormir. Je la raccompagnais à la porte en lui glissant un petit billet. Avant de refermer celle-ci, elle prit l’écriteau « Ne pas déranger » et le mit en place, en me lançant un coup d’œil complice.
Je rejoignais Jacinta et lui claquais, gentiment, ses belles fesses. Elle se laissa faire en souriant.
« La femme de chambre a eu l’air étonnée de te trouver là. Mais elle a admiré ton joli cul ».
Puis, plus sérieusement.
» Lève-toi, le petit déj est servi. Et nous devons parler un peu de ton avenir « .
Son regard s’obscurcit un peu. Craignait-elle encore que je dévoile ses activités à sa cousine ? Elle se servit en café et m’écouta parler.
» Tu n’as rien à craindre de moi. Jamais je ne parlerai de ce que j’ai vu. Par contre, si je repars en te laissant ici, tu recommenceras ? »
Elle resta un moment à réfléchir avant de me répondre.
« Tant que je n’aurais pas d’autres solutions, oui. Ce n’est ni par envie, ni par plaisir, mais plutôt par obligation familiale. Même si je sais que ma famille me renierait s’ils apprenaient quoi que ce soit ».
» Bien. J’aime ta franchise. Écoute ce que j’ai à dire avant de me donner ta réponse. Je te propose de quitter Athènes, et la Grèce, et de venir en France avec moi. Tu pourras y continuer tes études dans le cadre d’Erasmus, et tu seras logée gracieusement chez une femme. Je la connais bien, elle ne souhaite plus être seule dans sa grande maison. J’ai vu avec elle, tu recevras un salaire en tant que « dame de compagnie ». Nous pourrons nous revoir aussi plus souvent. Je pense avoir cerné tous les avantages et inconvénients de cette nouvelle situation. Pour ton départ, si tu acceptes, c’est demain, avec moi. Je peux t’offrir le billet d’avion ».
Elle pleurait en m’écoutant. Incapable de prononcer un mot, elle vint se jeter dans mes bras. Je prenais ça pour un Oui, ce qu’elle me confirma bien plus tard quand elle put parler enfin. Nous sommes restées au lit jusqu’à midi passé, jouissant plusieurs fois l’une et l’autre, et surtout, l’une de l’autre. Nous avons pris notre douche ensemble avant d’aller manger en ville. Puis nous sommes allées chercher ses affaires. Une petite valise contenait tout. Elle expliqua son départ à sa cousine en disant qu’elle aurait de meilleures conditions en France, pour les études, trouver du travail ensuite. Qu’elle avait déjà une amie, et qu’elle espérait s’en faire d’autres. Sa cousine, compréhensive, accepta ses explications mais la chargea de s’expliquer aussi avec sa propre famille. Qu’ils ne pensent pas qu’elle avait été mise dehors.
Jacinta téléphona à sa famille et nous redescendîmes en ville, heureuses d’avoir encore une nuit complète à partager ensemble. Jacinta me parla de quelques-unes de ses amies étudiantes qui aimeraient bien profiter aussi du même traitement.
Bonjour je trouve ça magnifique Sublime jacinta tu a un cœur en or
J’aimerais bien avoir des contacts avec toi
Bisous Yannick
J’adore … ❤️ Ça donne envie de faire pareil