Jenny (25/27)

Les deux femmes s’effondrèrent de plaisir après de longues minutes. J’ôtais ma robe et m’allongeais près d’elles, Jenny entre Amélie et moi. Elle me tendit ses lèvres pour me remercier du doux moment que je venais de lui offrir. Je lui rendis son baiser, en profitant pour titiller ses tétons. Pas une grosse poitrine, comme moi à peu près, mais terriblement sensible. Au juste, je suis pareille. Amélie se plaça entre ses cuisses pour y récolter le jus qui coulait encore. Vraiment en manque d’affection, Jenny, il faudra que je passe la voir plus souvent, et avec Amélie de préférence. Je pris enfin ses tétons en bouche, suçant, tirant, pinçant et elle jouit une seconde fois, plus fort encore que précédemment. Puis Amélie me donna sa poitrine à téter, tandis que Jenny reprenait ses esprits. Elle les reprit bien vite et se glissa entre mes cuisses pour m’offrir la plus tendre des caresses. Je jouis pour la première fois dans sa bouche et je lui promis que ce ne serait pas la dernière fois. Elle leva la tête, un grand sourire aux lèvres et replongea entre mes cuisses pour me lécher toute.

Vint l’heure de se rhabiller. Je filais aux toilettes pendant qu’elles remettaient leurs robes. De retour dans la chambre, je demandais à Jenny de s’agenouiller et d’ôter la culotte d’Amélie. Elle le fit et me passa la culotte rose pâle.

–« À toi Amélie, fais lui pareil. »

Abasourdie, Jenny la laissa faire et nous sommes retournées à la voiture. Pour le retour, je demandais à Jenny de monter devant et, une fois assise, je lui écartais les jambes, lui ordonnant de rester ainsi. Je soulevais sa robe très haut pour avoir accès à sa chatte, déjà un peu humide. En passant près d’un bus, j’aperçus le regard du conducteur qui semblait avoir tout vu. Je me gardais bien d’en parler, mais je passais ma main sous sa robe dès que je le pouvais. De retour chez elle, nous sommes montées prendre un rafraîchissement avant de reprendre la route. Amélie prit place dans un fauteuil et moi, en face d’elle, sur le canapé. Jenny revint avec un plateau qu’elle posa sur la table basse. Pour cela, elle se pencha et je relevais sa robe pour admirer son cul. Elle s’assit près de moi, la robe toujours relevée, les fesses directement à nu sur le canapé. Je fis un signe discret à Amélie et elle écarta ses cuisses, offrant à Jenny une jolie vue sur sa chatte. Je vis son regard plonger immédiatement dans le compas ouvert. Je suis sûre qu’elle appréciait.

Je la sortais de sa rêverie en lui demandant si elle voulait que l’on revienne vendredi pour l’aider à nettoyer l’appart. Elle me regarda pour me dire que ce n’était pas nécessaire, qu’elle pouvait le faire seule. Je lui répondis que nous viendrons l’aider, Amélie et moi. Tout en discutant avec elle, j’indiquais à Amélie ce qu’elle devait faire. Elle se mit à genoux devant Jenny, lui écarta les cuisses, très largement, et plongea sur sa chatte. Aussitôt, je lui pris la bouche pour éviter toute phrase inutile. Elle le voulait autant que nous. Sa main pourtant, essayait d’éloigner cette tête entre ses cuisses. Je lui pris le poignet et posais sa main sur ma poitrine. D’instinct, elle commença à me caresser. Je me remémorais soudain une situation analogue mais c’était Mariya qui était entre les cuisses de Jenny, la première fois qu’on était venues chez elle. Pour revivre complètement ce moment, j’ôtais mes chaussures et me plaçais au-dessus de la bouche de Jenny. Pas besoin d’explications, elle écarta mon string et me lécha divinement.

Cette coquine était vraiment très douée pour ça. Elle accéléra ses coups de langues quand la jouissance la prit, déclenchant la mienne. Puis, elle se leva et nous emmena dans la salle de bain, ôta sa robe et soutif, déshabilla Amélie entièrement et moi ensuite. Elle s’agenouilla devant Amélie et la lécha avidement, tandis que, debout derrière elle, je titillais ses tétons et caressais ses grosses mamelles. Elle ne tarda pas à jouir à son tour sous les effets conjugués de nos caresses. Elle entra dans la douche la première et Jenny la savonna partout, insistant bien à certains endroits précis. Puis, ce fut mon tour, les deux me caressait tout en me lavant et enfin Jenny se présenta sous la douche, offerte à nos caresses à nouveau. Amélie entra deux doigts dans sa chatte et un derrière, les faisant aller et venir alternativement, tandis que ma bouche se collait à celle de Jenny et mes doigts parcouraient sa poitrine. L’orgasme violent la surprit et elle faillit tomber, heureusement qu’on la soutenait. On finit par la laver vraiment et toutes, nous nous séchèrent mutuellement.

De longues embrassades avant le départ en la rassurant qu’on revenait le vendredi suivant. Un coup de fil à Corinne pour prévenir qu’on prenait la route, pour la rassurer. Amélie dormit pendant presque tout le chemin de retour, me laissant dans mes pensées. Après le dîner, elle monta dans sa chambre et s’endormit aussitôt. Je restais avec les parents d’Amélie pour le café. Ils semblaient étonnés que la famille de Mariya ne souhaite rien garder de leur fille. Je tentais de leur expliquer que ses parents l’avaient rejetée en apprenant qu’elle aimait les femmes, tout comme les hommes. Et, quand elle a quitté la Russie pour la France, retrouver son amie Jenny, ils ne se soucièrent que très peu d’elle. Même pas un coup de fil, c’est elle qui appelait pour avoir des nouvelles. Et elle retournait de temps en temps les voir, c’était son second voyage chez ses parents. Et le dernier, hélas. Des amis l’avaient invitée à faire une balade près d’un lac et l’accident l’a tuée sur le coup. Elle a été enterrée là-bas et seule mon amie Anna a pu se rendre sur sa tombe.

Francis regagna son bureau avant d’aller se coucher et je restais encore un moment sur le canapé, près de Corinne. Parler de Mariya m’avait monté les larmes aux yeux et elle m’attira sur sa poitrine, tout comme la première fois où je lui avais annoncé son décès. La tête bien calée sur sa poitrine, je respirais son parfum enivrant. Nerveusement, ma main vint se poser sur son sein, le caressant doucement et mon pouce joua avec le téton qui réagit aussitôt.

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