Je savais qu’elle vivait seule avec sa mère, Rosaria, à qui elle était entièrement dévouée. Ses cheveux longs, qui d’habitude lui arrivaient aux fesses, étaient attachés pour le service. D’un blond vénitien, presque roux. Elle s’affairait à nettoyer ma robe et moi, je détaillais ses formes généreuses qui s’agitaient devant moi. Une grosse paire de seins, 95 D pour le moins, et des fesses en proportion. Ma robe était propre maintenant, mais humide. Elle la mit à sécher et se tourna vers moi, penaude, tête baissée.
« Voilà Madame. La robe doit sécher un peu. »
« Et que vais-je faire en attendant ? »
J’étais assise sur un coffre en bois, elle debout, tête baissée, et pourtant, elle semblait plus petite.
« Approche. »
Je posais une main sur ses fesses généreuses.
« Mais, Madame, … »
» Quoi, Madame ? »
Plus un mot, elle acceptait que ma main lui pelote les fesses.
« Tu m’as vue en culotte. Montre-moi la tienne. »
Une hésitation.
« OK. Enlève ta robe, complètement. »
Cet ordre sembla la réveiller et elle se déshabilla. Elle m’apparut en sous-vêtements noirs, classiques. La tirant vers moi, j’approchais sa bouche de mes petits seins. Un mouvement de recul au contact de ma poitrine mais, ne pouvant reculer, elle obtempéra et commença à me lécher tendrement. Elle s’y prenait vraiment bien, d’ailleurs, comme si elle en avait rêvé toute sa vie. Je baissais les bretelles du soutif et commençais à peloter ses gros seins. C’était un moment magique. Cette fille était une soumise dans l’âme, prête à tout pour peu que l’on s’intéresse à elle. Une révélation pour elle, et une satisfaction pour moi. Je me levais et je la laissais appuyer ses deux mains sur le coffre. Derrière elle, je me collais à elle, j’entrais une main dans sa culotte, l’autre toujours caressant sa poitrine. Elle jouit très rapidement sous mes caresses. Puis, ses fesses en appui sur le coffre, je m’agenouillais devant elle pour récolter le fruit de son plaisir. Je lui ôtais sa culotte que je gardais comme un trophée. Je l’aidais à se rhabiller, remettant son soutif en position, puis sa jolie robe. Elle m’aida ensuite à passer la mienne qui était bien sèche. On quitta cette pièce, elle derrière moi. On tomba sur sa mère qui la cherchait depuis une heure. Elle lui criait dessus mais se radoucit aussitôt quand je lui expliquais qu’elle était avec moi.
« Bien Madame. Si elle était avec vous, c’est que vous aviez besoin d’elle. C’est une fainéante, vous savez, toujours prête à se cacher pour en faire le moins possible. »
« Oui, elle était avec moi. Et ce qu’elle avait à faire, elle l’a fait à la perfection. Rassurez-vous, je vais la garder à l’œil. »
Giulietta avait rougi en entendant les compliments. Et Rosaria était toute heureuse elle aussi que je porte de l’attention à sa fille unique. Elles retournèrent au service et moi, à ma place. De ma place, dans un coin de la pièce, je voyais toute la salle et je pouvais intervenir aussitôt si on avait besoin de mes services. Derrière moi, juste deux murs. Je remarquais Morena très affairée avec les plus jeunes. L’un d’eux, le jeune frère de la mariée, semblait très intéressé par son décolleté. Il se plaçait toujours de façon à plonger les yeux au plus profond. Et Morena qui ne se doutait de rien. Ah si ! Elle vient de remarquer la bosse qui déforme son pantalon. Elle semble émue elle aussi de provoquer un tel émoi chez cet adolescent. Giulietta vint me servir le dessert. Je glissais aussitôt ma main sous sa robe pour caresser ses fesses. Elle ne bougeait plus, soumise à ses propres envies. Je lui fis écarter les cuisses pour accéder à sa grotte, humide comme il se doit. Morena me chercha du regard, me trouva facilement et vint s’asseoir près de moi. Elle remarqua très rapidement ma main sous la robe et s’immisça elle aussi.
« Oh ! Mamma Mia ! Elle n’a pas de culotte !!! « .
Je lui montrais le bout de tissu noir que je serrais dans mon autre main.
« Giulia, tu restes là, sans bouger. Morena, occupe-toi bien de son cul, je reviens tout de suite ».
Moins de cinq minutes après, j’étais de retour. Avec une surprise pour la jeune soumise. J’avais récupéré un petit plug anal que j’avais bien chauffé au creux de mes mains. Morena avait bien préparé le cul pour une première. Je glissais ma main sous la robe et poussais doucement le plug dans l’anus.
« Oh non ! Madame. Pas ça ! Non. Hummmm ! »
Elle avait beau dire le contraire, son cul se tendait tout seul vers ma main. Elle avait posé les deux mains sur la table et fermé les yeux. Le sex-toy fit un petit « ploc » quand il se mit en place.
« Tu vas finir ton service ainsi. Avant de partir, tu reviens me voir. On ira parler à ta mère pour que tu restes avec moi, avec nous, toute la nuit. Tu veux ? »
Oui, elle voulait, bien évidemment. Les yeux remplis de reconnaissance, elle rejoignit les cuisines. Je devais à présent m’occuper de Morena. Je l’accompagnais aux toilettes, la sentant fébrile. Là, elle m’avoua que ses règles étaient arrivées avec deux jours d’avance, alors qu’elle était toujours parfaitement régulière. Elle était terriblement chatte, et câline, se frottant à moi. Je lui expliquais ce que je voulais qu’elle fasse. Elle me regarda, médusée par mon audace et surtout parce que j’avais parfaitement deviné ses attentes, ses désirs les plus secrètement enfouis. Morena se dirigea vers la table des plus jeunes. Certains manquaient à l’appel. Morena demanda au garçon de venir avec elle chercher la petite fille qui avait disparu. Morena savait qu’elle était dans les bras de sa mère. Le jeune garçon maugréa un peu, par habitude, puis il se dit qu’il passerait ainsi plus de temps près de celle qui l’émoustillait tant. Ils quittèrent la salle, je les suivais de loin. Au bout d’un moment, prétextant un caillou dans sa sandale, Morena posa une main sur l’épaule du garçon pour garder l’équilibre et se pencha en avant pour atteindre sa chaussure.