Elle était nue, belle. Et toujours désirable. La maternité lui avait laissé des traces, quelques kilos en trop, un cul bien rebondi comme seules les noires peuvent se vanter d’avoir. Et surtout des seins vraiment magnifiques, avec de larges aréoles. Et des tétons martyrisés par les bouches avides de sa progéniture. Tétons qui m’attiraient, bien sûr, je les prenais en bouche l’un après l’autre, caressant entre mes doigts le téton libre. Puis, doucement, j’appuyais sur ses épaules pour la mettre à genoux. Elle comprit très bien ce que j’attendais de sa bouche et elle écarta mon string et commença un sublime cunni. Je n’ai jamais trouvé une autre fille avec une langue aussi longue. Et habile. Elle fit glisser mon string pour me bouffer entièrement. Ma minijupe suivit. J’ôtais moi-même mon top pour me retrouver nue, comme elle. J’attrapais mon sac pour en sortir mon gode ceinture, le gros. Celui que j’appelle « Mamadou ». Elle ouvrit de grands yeux en voyant le monstre. 28 cm de long pour 6 cm de diamètre.
« Mon mari n’est pas aussi bien membré, pourtant hors normes. »
Elle s’empressa de me l’enfiler. Avant de s’allonger sur le lit, jambes grandes ouvertes. Je commençais à le frotter sur sa fente. Elle mouillait en imaginant ce monstre en elle. Mais, quand je le pénétrais enfin, elle hurla de bonheur, tout le temps que dura l’introduction. Et j’aimais prendre mon temps. Je fis une pause arrivée au bout. Puis, je commençais mes va et vient en elle. Elle restait sans voix, incapable de manifester son plaisir autrement qu’avec les yeux. Et je lisais combien elle était heureuse de me retrouver. Elle eut un premier orgasme mais je continuais à la baiser à fond. Puis, je la retournais pour la prendre par derrière. Il me semblait que, ainsi, je la pénétrais encore plus loin, toujours plus fort. Elle s’écroula dans un orgasme majestueux. Elle ignorait que je n’en avais pas fini avec elle. Je sortais le gode de sa grotte qui resta grande ouverte. Pour appuyer sur la rosette. J’écartais ses grosses fesses pour trouver son petit trou. Qui s’élargissait. Elle n’avait toujours pas réagi quand le gland força enfin l’entrée. Ses bras se débattaient pour annuler ma progression mais, plus elle bougeait, plus elle s’empalait sur le membre dans son cul.
J’étais déjà à moitié entrée quand elle cessa de se débattre, ressentant les premiers symptômes du plaisir l’envahir. C’est maintenant elle-même qui écarte ses grosses fesses pour que je la prenne à fond. Accrochée à ses hanches bien fermes, je prends un malin plaisir à la baiser comme une sauvage, que je suis, comme le ferait un homme, son homme. Elle finit par s’écrouler, ivre de bonheur. Je la retournais sur le dos et m’allongeais près d’elle pour profiter pleinement de sa poitrine. On est restées longtemps ainsi, à discuter de choses et d’autres, des souvenirs avec Élise. Une envie me traversa l’esprit, s’insinuant en moi. Je devais essayer. Je recommençais à caresser sa chatte, écartant bien ses lèvres. J’aspirais son clito qui prit des dimensions impressionnantes. Puis, je rentrais un doigt, puis deux dans son vagin. Un troisième doigt les rejoignit. Je la limais quelques temps avant d’ajouter le suivant. Sa grotte s’ouvrait sous mes doigts et, quand j’approchais mon pouce, Rachelle comprit enfin ce que je voulais faire. Un peu inquiète, elle se laissa faire pourtant. Difficilement, mon pouce rejoignait les autres pour passer le rempart. Puis, d’un coup, j’étais entrée en elle. Ma main disparaissait entièrement en elle. Je pouvais caresser ses parois intimes. Je fermais mon poing pour essayer de sortir, tentant d’élargir le col. Je me servais de mon avant- bras comme d’un pilon. Je tapais au fond de sa matrice à chaque fois. Et elle finit par jouir une nouvelle fois. En hurlant de plaisir. Je la laissais au bord de l’évanouissement. Comblée.
Je la quittais un peu avant 17 heures, la laissant prendre une douche avant le retour de son mari. En se promettant de se revoir très régulièrement. Je voulais profiter de mes vacances pour retourner voir Jenny. Et ses amies. Rendez-vous pris chez elle. Je lui avais juste demandé si je pouvais rencontrer Gladys. Je tenais enfin une femme fontaine et je rêvais de la voir jouir sous mes caresses. J’arrivais à Angers le mardi 23 Décembre vers 19 heures à la gare St Laud. Jenny m’attendait et elle m’a guidée vers sa voiture. Avant qu’elle ne s’asseye, je lui demande de relever sa robe. Étonnée, elle le fait quand même. Je saisis son boxer et le lui descends aux chevilles. Elle soulève un pied, puis l’autre, en les écartant, m’offrant sa vulve. Je n’en demandais pas tant mais j’en profitais aussitôt. Elle se caressait les seins pendant que je la suçais. Dans le silence de ce parking à étages, j’entendis le moteur de la caméra qui se déplaçait vers nous, et zoomait certainement. Quand je rentrais un doigt dans son trou du cul, elle jouit enfin. Elle prit place au volant et attendit quelques minutes avant de démarrer. Sa robe relevée, je voyais sa chatte encore luisante. Arrivées à la sortie, impossible d’ouvrir la barrière. On appela le gardien. Il aurait pu rester dans sa cabine pour nous débloquer, mais il préféra se lever et venir nous rejoindre. Jenny lui présenta le ticket. Il fit semblant de le vérifier mais il regardait surtout les cuisses, et la fente brillante de la conductrice. Après un bon moment, il tendit le ticket à Jenny.
« Vous pouvez y aller. »
Il ajouta.
« Merci pour le spectacle. »
Il leva la barrière et Jenny, toute rouge, sortit enfin du parking. En roulant, elle m’annonça qu’elle devait passer voir une amie. Puis, se rappelant qu’elle m’en avait déjà parlé, elle me dit que nous allions chez Roselyne, cliente du magasin, puis de Jenny. Celle-ci l’avait appelée pendant qu’elle m’attendait dans le hall de la gare. Elle lui devait beaucoup, et encore plus maintenant qu’elle allait changer de statut. Elle m’expliqua en deux mots qu’elle se mettait à son compte en tant que VDI. Et Roselyne l’aidait à mettre en place les documents administratifs. Et une partie du financement de départ. Dans ces conditions, difficile de lui dire non quand elle t’appelle. D’autant plus que Jenny aimait lui rendre visite car cela finissait toujours entre ses cuisses. Jenny trouva une place pour se garer, rue des arènes, et nous avons parcouru les quelques mètres qui nous séparaient de la résidence à pied. Jenny sonna à l’interphone. Arrivées sur le palier, elle s’approcha de la porte qui s’ouvrit presque aussitôt sur … Évangéline, complètement nue.