Amélie (01/23)

26/04/14

Nous sommes le vendredi 25 Avril 2014 et je vais vous parler de ma première rencontre avec Amélie.

Ce jour-là, nous avions sport. Une heure de cross-country, puis un peu d’athlé sur piste. Puis une heure de sport collectif pour finir.

Hand-ball pour être exacte.

Voir toutes ces jeunes filles court vêtues et en sueur m’excitait énormément. Sous la douche, collective, je suis presque toujours la première, mais je me prélasse. J’aime regarder les corps des autres filles, les observer se savonner…

Justement, je remarquais une jeune fille, une première année, qui semblait très gauche. Tout juste si elle se lavait mais elle ne regardait pas les autres non plus, pas directement. Elle était un peu rondelette avec une très grosse poitrine. Je finis par remarquer son manège.

Quand elle était sure qu’on ne la voyait pas, elle matait les corps des autres filles avec envie. Les filles quittaient la douche, puis le vestiaire les unes après les autres. Bientôt, nous ne restions plus que toutes les deux. Pas un cri, que le bruit de la douche. Elle n’osait pas me regarder directement, aussi je m’approchais d’elle, sous la douche voisine.

Je me plantais face à elle. Elle leva les yeux finalement vers moi, très lentement. Je la fixais droit dans les yeux tout en prenant ses seins magnifiques dans mes mains. Elle eut un mouvement de recul quand je commençais à l’effleurer mais mon regard courroucé lui fit comprendre de ne pas bouger et de se laisser faire. Je pris ses tétons entre deux doigts et je serrais et tournais afin de les sentir durcir.

Elle semblait adorer cette situation de soumission, d’obéissance absolue. Je pris sa main droite pour la poser sur ma chatte. Elle ne me résista pas longtemps et commença à me caresser tendrement. Puis je posais mes deux mains sur ses épaules et je la forçais à s’agenouiller devant moi. Elle me lança un regard suppliant mais je continuais à la forcer vers le bas et elle fut obligée de se résoudre à accepter la position que je lui imposais. À genoux devant moi, nul besoin de la contraindre, elle savait ce qu’elle devait faire.

Elle m’offrit alors la plus douce des caresses, sa langue semblait incertaine mais elle finit par trouver mon petit bouton d’amour. J’avançais mon ventre à la rencontre de cette bouche qui voulait me dévorer toute entière. Elle s’agrippa à mes fesses et accéléra son mouvement qui devenait de plus en plus précis et sûr.

Au moment de jouir, je posais mes mains sur sa tête, l’empêchant de reculer mais elle n’en avait nullement l’intention. Elle avala tout avec délectation, puis finit par me lécher tout partout afin qu’il n’en reste aucune trace.

Je l’aidais à se relever pour la serrer dans mes bras et l’embrassais enfin à pleine bouche pour la remercier du plaisir intense qu’elle venait de me procurer. Nos deux langues commencèrent alors un combat, un doux combat qui nous laissa toutes deux haletantes.

Dans le vestiaire, je pris ma serviette pour l’essuyer, parcourir son corps, sa peau si douce. Devant sa poitrine, je ne pus m’empêcher de lui lécher les tétons toujours érigés et durs.

Elle gémit doucement puis je glisse ma main vers son trésor, entre ses cuisses. Elle me laisse faire, acceptant tout de moi, mais à peine je la touche que je la vois trembler de tout son corps et ma main fut inondée. Je la fis s’allonger sur le banc de bois, les jambes bien écartées, et je me mis à la nettoyer tout comme elle avait fait pour moi peu de temps avant.

Elle mit beaucoup de temps à récupérer ses esprits. Elle m’avoua plus tard que c’était son premier orgasme. J’avais eu le temps de finir de me sécher et de m’habiller totalement quand elle émergea enfin. Je fus trop heureuse de l’aider à s’habiller, ajuster son soutif, lui remettre sa culotte, puis enfiler ses collants. J’en profitais pour la caresser tout en l’habillant.

Je lui proposais de venir boire un verre à la cafétéria et elle accepta bien volontiers. Ce fut notre premier échange de paroles. Tout en marchant, je me présentais et elle en fit de même. J’appris donc qu’elle s’appelait Amélie, qu’elle était en prépa Psycho et qu’elle était de Saint-Malo, 80 kilomètres de Rennes. Nous sommes restées trente minutes en terrasse à siroter nos boissons.

Bien sûr, nous avons échangé nos numéros de téléphone, puis elle se leva, gênée de me laisser seule mais elle devait prendre son train pour rentrer. Ses parents l’attendaient mais elle me promit d’écourter son weekend et de revenir dimanche soir afin que nous passions la nuit ensemble, dans mon appartement.

Comme convenu, Amélie me rappela le dimanche matin pour me donner son heure d’arrivée à la gare de Rennes. Je ne pus m’empêcher de frémir en l’apercevant sur le quai. Une veste légère sur un corsage à frou-frou, une jupe plissée sur des jambes gainées d’un collant noir, des chaussures à talons qui réhaussait le galbe de ses formes. Vraiment très appétissante.

En sortant de la gare, je l’ai emmenée dans un bar que je connaissais bien. Nous sommes descendues dans la salle au sous-sol, personne à cette heure-là. Je la laissais s’assoir sur la banquette le long du mur et moi à côté d’elle. Je lui ai demandé puis je l’ai obligée à ôter ses collants et sa culotte puis elle a remis ses collants, sans rien dessous.

J’ai donc pu glisser ma main sous sa jupe, dans ses collants, la caresser à ma guise.

J’ai continué à la caresser impunément, même quand la serveuse est venue prendre notre commande. Amélie balbutiait, avait du mal à aligner deux mots consécutifs, et moi, bien sûr, j’accélérais ma caresse. À peine la serveuse dans l’escalier, elle a joui dans mes doigts mais j’ai continué à la fouiller, partout dans tous ses recoins.

Elle a fini par se mordre la main pour ne pas crier quand elle a joui une deuxième fois. Elle resta inerte de longues minutes. J’en profitais, bien sûr. Elle se laissait faire, entièrement à ma merci. J’ai ouvert son corsage pour profiter de sa poitrine généreuse, la malaxer, exciter ses tétons. Elle n’a pas fait un geste pour se couvrir quand la serveuse est revenue avec les consommations, lui laissant voir à quel point elle s’abandonnait à mes caresses.

9 réflexions sur “Amélie (01/23)

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