Bien sûr, on s’est revu avec Vincent, à son hôtel et ici. On ne parlait ni de passé, ni d’avenir. On vivait simplement le temps présent. Puis, il est retourné à Montpellier, il y a une semaine et depuis, plus de nouvelles.
Dans l’annuaire, j’ai trouvé son numéro de téléphone et j’ai appelé. Sa femme a répondu, j’ai prétexté un faux numéro et j’ai raccroché. C’était cette après-midi, et depuis, je me sens perdue ».
» Mamma, tu ne dois surtout pas avoir honte. Tu as eu une belle aventure avec un homme et c’est très bien. Seulement, tu ignorais qu’il était marié. C’est lui qui a trompé sa femme, et toi en même temps ».
« Oui, tu as raison. C’est lui le fautif. Moi, je ne savais rien. Mais, je n’arrive pas à lui en vouloir. Il m’a rendue tellement heureuse avec ses caresses. Je ne sais pas comment m’en passer désormais ».
» Tu sais, Mamma. Tu peux te donner toi-même du plaisir. Et il y a des jouets spécialement conçus pour cela « .
» Mais voyons, ma chérie. Tu n’y penses pas? »
« Dormons maintenant. On verra bien demain ».
Elle se tourna pour trouver sa position de sommeil. Personnellement, je n’avais pas trop envie de dormir après ce que je venais d’entendre. J’imaginais ma mère dans les bras d’un autre homme et cela me troublait. La nuit était douce et la chaleur régnait dans la chambre. Le fait d’être couchée tout près d’elle, aussi.
Bianca était tourmentée elle aussi. Elle se tourna sur le dos en écartant la couette, me découvrant le haut de son corps. Étrange. Les deux premiers boutons de sa chemise de nuit étaient défaits et je pouvais apercevoir sa jolie poitrine. Tout comme la mienne, plutôt petite.
Je détournais le regard, c’était ma mère, tout de même. Elle bougea encore et un autre bouton s’était défait. Tout seul ? J’apercevais parfaitement l’un de ses seins dans l’ouverture. Je soufflais dessus et un frisson la parcourut. Elle me tourna le dos une nouvelle fois.
Je repensais à tout ce qu’elle m’avait dit. Je la voyais maintenant clairement en train de jouir sous les caresses de cet homme. Sa poitrine gonflée par le plaisir, sensible comme l’était la mienne, certainement.
Elle se tourna à nouveau vers moi et cette fois, sa chemise de nuit avait glissé de son épaule, découvrant entièrement le sein. Son téton semblait tendu, à la limite d’exploser.
Incapable de résister, je passais doucement mes doigts sur cette protubérance qui attendait mes caresses. Sans être totalement prude, ma mère était du genre pudique et je ne l’avais que rarement vue ainsi. J’étais certaine qu’elle feignait le sommeil, espérant, ou redoutant, je ne sais quoi.
Mes doigts frôlèrent son téton qui se tendit encore plus vers moi. Je décidais de le prendre en bouche et on verra bien si elle accepte, ou pas. Mieux que ça, sa main découvrit son autre sein que j’empaumais avec délices. Elle commençait à gémir doucement. Bras le long du corps, offerte.
Ses mouvements devenaient désordonnés et, repoussant complètement la couette au pied du lit, elle m’apparut, la chemise de nuit remontée au-dessus de son ventre. Son parfum de femme envahit la pièce, et mes narines. Ma main quitta son sein pour glisser sur son ventre. Ses cuisses s’écartèrent automatiquement. Mes doigts atteignirent sa culotte qui s’humidifia immédiatement. Je la massais un peu avant de passer sous le tissu.
Elle devint folle à partir de ce moment et ne pouvait plus faire semblant de dormir.
« Mais, tu me fais quoi, ma chérie ? Arrête ça tout de suite ».
Je ne bougeais plus, attendant la suite, que je connaissais d’avance.
» Nooon, continue. Stp, tu ne peux pas me laisser comme ça ».
Je baissais sa culotte sur ses chevilles, attrapais sa main droite pour la poser sur sa fente.
« Non, moi, je ne peux pas ».
Pourtant, ses doigts avaient repris la sarabande que j’avais interrompue. Je lui chuchotais à l’oreille.
» Tu vois bien que tu peux te donner toi-même du plaisir. Continue « .
Je reprenais son téton en bouche et deux doigts pénétrèrent sa grotte humide, tels le pénis d’un homme, et je la baisais très vite. Elle jouit très rapidement en râlant de plaisir. Je la laissais reprendre petit à petit ses esprits. Elle cacha son visage entre ses mains.
» Mon dieu, pardonnez-moi mes péchés. Tous mes péchés. Oh ! Comment j’ai honte de moi d’avoir commis le péché de chair. Et avec ma propre fille en plus. Mon dieu, comme j’ai honte ! »
Elle avait surtout honte d’y avoir pris du plaisir. Elle savait que rien ne serait jamais plus comme avant. Qu’elle se donnerait encore du plaisir. En solitaire ou avec sa fille, ou un nouvel amant. Mais que jamais, elle ne retrouverait la sérénité qui l’habitait il n’y a pourtant pas si longtemps. J’écartais les mains de son visage et lui donnait mes doigts à lécher. Ces doigts même qui l’avaient si bien baisée.
« Mamma, tu es si belle quand tu es heureuse. Si tu veux, je peux te rendre encore plus heureuse. Tu veux bien ? »
Aucune réponse, mais ses yeux semblaient me dire :
« Vas-y, fais ce qu’il te plait »
Je repris mes caresses sur l’intérieur de ses cuisses. Elles étaient toujours grandes ouvertes. Je plongeais alors avec délice sur cette chatte qui m’avait donné la vie. C’est moi qui la faisais revivre à présent.
Je l’ai faite jouir encore deux fois sous ma langue, puis je l’ai laissée s’endormir, sereinement. Je la regardais dormir un moment. Elle souriait. Je me suis levée prendre une douche avant d’aller courir dans la nature environnante. Je rentrais presque deux heures après. Elle dormait toujours profondément. Je lui préparais son petit déj et la réveillais vers 10 heures.
On n’a pas reparlé de ce qui s’était passé, ni de son médecin frivole. Je suis restée avec elle le reste de la journée pour jardiner. Elle adore les fleurs et on peut dire qu’elle a la main verte. Le soir, je sortais en boite avec Fanny, après une visite au restaurant d’Annabelle.
Revenons à lundi dernier. Après avoir signé son contrat, et emménagé dans mon bureau, j’avais emmené ma nouvelle collaboratrice au restaurant pour fêter ça. Celui d’Annabelle, bien sûr. Elle nous plaça à une table tout au fond de la salle, bien discrète. En attendant notre commande, je lui demandais de se rapprocher plus près de nous, de Fanny surtout.
Comme je l’avais déjà fait avec Jenny, j’ordonnais à Fanny de glisser sa main sous la robe de la serveuse. Qui se laissa doigter avec un grand plaisir. Chaque fois qu’elle revenait pour servir ou ôter les plats, elle se remettait à cette même place et le manège recommençait. Pour le dessert, je baissais le haut de la robe de Fanny et elle put jouer un peu avec ses tétons durcis. À cet instant, j’aurais volontiers comparé la taille de leurs deux poitrines, volumineuses.
En payant l’addition, elle me confia qu’elle aimerait me présenter une de ses amies. Et que j’en fasse une soumise avec laquelle on pourrait jouer ensemble. Je lui laissais ma carte en lui demandant de me rappeler l’après-midi. Elle me contacta vers 15 heures et on a convenu ensemble de se retrouver toutes les quatre dans son restau, samedi soir, et ensuite d’aller en boîte ensemble.
Je trouve ça magnifique Sublime que du bonheur partagés
Et tellement excitant