Elle commence à se frotter à moi, de bas en haut, sa chatte humide collée à la mienne. Ma respiration se coupe chaque fois qu’elle remonte. Un courant électrique nous traverse l’une et l’autre quand nos clitos entrent en contact. Nous vibrons ensemble, sur la même vague de plaisir. Puis, je la retourne, je suis sur elle maintenant. Je continue le même mouvement mais au ralenti, fixant son regard pour observer ses réactions. Je lui fais mes yeux de tigresse affamée, elle n’est que ma malheureuse proie, que je vais dévorer. Je vois dans ses yeux qu’elle est excitée comme une folle. Puis, enfin, je sens ses jambes s’ouvrir, m’offrant sa chatte pour que j’en fasse ce que je veux. J’y insère deux doigts. Ils y glissent sans problème tellement elle est bien lubrifiée.
« Je vais te faire jouir, ma chérie, comme jamais tu n’as jouis. »
Je sors mes doigts et approche mon visage de sa fente dégoulinante. Ma langue passe sur ses lèvres, y récolte son jus pour le goûter, le déguster, encore une fois. Elle gémit pour me dire à quel point elle adore ça, se faire bouffer la chatte. Je m’installe un peu plus confortablement et je recommence à la lécher sur toute sa fente, de l’anus au clito. Je tournoie tout autour, comme un rapace survole sa proie, avant de plonger dessus. Elle soupire, prête à jouir. Ma bouche est collée à son vagin et je la broute comme si ma vie en dépendait. Elle prend un pied monstrueux. Je rentre de nouveau deux doigts, tout en continuant de mettre la pression sur le clito. Je le prends en bouche pour le sucer, l’aspirer. Je lui fouille la chatte comme pour la baiser violemment. Son dos s’arqueboutait sous le plaisir. Elle a du mal à respirer, avec l’impression qu’elle va mourir. De bonheur. Elle pose ses mains sur mes cheveux. Pour me coller davantage à elle ou pour m’en éloigner. Elle ouvre grand la bouche pour crier son plaisir mais aucun son n’en sort. Lorsque j’agite une nouvelle fois ma langue sur son clito, elle parvient enfin à crier. Elle explose littéralement de jouissance dans un puissant râle libérateur. Son corps tremble, son esprit divague, ses jambes se referment pour me garder près d’elle. Elle redescend lentement sur terre, ne semble plus savoir où elle est. Elle ouvre finalement les yeux pour découvrir mon visage souriant. Elle a le souffle court, comme si elle venait de faire de l’apnée. Son corps convulse toujours.
« Tu as aimé, ma chérie ? »
Je n’aurais pas besoin de sa réponse, son corps parle pour elle. Mais je veux l’entendre me le dire.
« Oh oui, j’ai adoré. Je n’ai jamais joui aussi fort de toute ma vie, c’était merveilleux. Magique. »
« Je suis moi aussi heureuse d’avoir pu t’offrir cet orgasme. Mais ça m’a donné trop envie. Tu veux bien me faire la même chose ? »
Pour toute réponse, elle se positionne au-dessus de ma tête et plonge entre mes cuisses. Sa chatte, au-dessus de mon visage, continue de fuir, goutte à goutte. Mes mains écartent ses fesses, jouent avec son anus. Un gémissement de plaisir me signifie que je dois continuer. Je rentre un doigt, jusqu’à la première phalange. Sa cyprine goûte bon sur mes lèvres. Elle aussi, elle est très douée avec sa langue. Elle joue avec mon clito pour le faire vibrer. C’est tout mon être qui vibre sous sa caresse. Je l’encourage à continuer, lui avoue combien j’adore ce qu’elle me fait. Que j’ai désespérément besoin de jouir à nouveau, qu’elle me fasse jouir. Elle enfonce deux doigts en moi, comme je lui ai fait, tandis qu’elle suce mon bouton d’amour. Je remue dans tous les sens. Elle fait tout ce qu’il faut pour me procurer le plus beau des orgasmes. Elle s’applique avec force et dévotion, jusqu’à la libération finale. Je reste sans voix. Elle est contente du résultat, mais continue à me brouter pendant que je convulse violemment. Je tente de la repousser tellement je ne peux en supporter plus mais elle ne veut pas céder, ne veut pas s’arrêter. Elle m’aide à prolonger ce moment de pur bonheur aussi longtemps qu’elle peut. Ce n’est que quand je cesse de gigoter qu’elle me laisse me reposer. Je suis comme étourdie, envahie d’un bien-être profond, l’esprit ailleurs. Je reconnais le souffle court qu’elle avait, il n’y a pas si longtemps. C’est à son tour de sourire en tendant son regard vers moi. Allongées l’une à côté de l’autre, elle me raconte la suite de sa journée. Sa tête dans mon cou, mes mains sur ses seins.
Fabienne la laisse se rhabiller pour la visite du site. Francine tient son plan à deux mains, et ne peut donc empêcher sa RH de la caresser quand bon lui semble. Toujours dans des endroits sombres, ou bien sans caméra. Il y a bien évidemment un grand nombre de caméras sur un site tel que celui-ci, surtout pour la sécurité du public, et du site en lui-même.
Elles finissent par la salle de reprographie. Bien calée dans un angle, Fabienne l’attire vers elle, la retourne pour défaire sa robe qui tombe au sol. Elle est nue, livrée aux caresses de cette femme qui la domine si facilement. Tout y passe, ses seins généreux, sa chatte humide à souhait, son ventre, ses fesses. Elle la retourne une nouvelle fois pour lui rouler une pelle, puis la force à passer sa tête sous sa jupe, sans même la relever un peu. Elle se caresse la poitrine tandis que Francine la fait monter dans les tours. Elle finit par lui exploser au visage. Elle se dégage et l’aide à se relever, le visage couvert de mouille. Elle lui pelote les seins, la fente, lui tourne la tête pour l’embrasser à pleine bouche. Enfin, pour finir, elle lui désigne une petite lumière, en haut, bien cachée. Elle lui pelote les seins outrageusement en lui disant :
« Dis bonjour à Bienvenue. Il nous suit depuis la sortie de mon bureau mais ici, c’est uniquement pour son plaisir que je t’ai attirée. »
Horrifiée, mais incapable de réagir, Francine la laisse profiter de son corps dénudé, sous les yeux vicelards d’un des vigiles du site.