KATIA (09/14)

Sachant qu’il ne pouvait pas en boire, c’était réservé aux femmes. Prise par l’ambiance, Katia dansait sur place. Je l’emmenais sur la piste. Aussitôt, elle fut bien entourée. Des hommes surtout qui jouaient à la frôler, à la toucher. Elle ne me quittait pas des yeux. Ma cravache à la main repoussait les plus téméraires. Une femme vint m’embrasser sur la bouche, tendrement. Je la repoussais gentiment pour donner quelques coups de cravache. Des mecs un peu trop entreprenants. Bientôt, nous fûmes entourées uniquement par des femmes. Rassurée, Katia se lâcha et se laissa manipuler par qui voulait bien, des femmes seulement. Ses seins furent triturés, sa fente inspectée, ses fesses choyées. Edna vint nous rejoindre pour s’éclater sur la piste. Elle aussi fut caressée, mais moins que Katia. On retourna s’asseoir et, après un moment, on alla visiter les autres salles. Beaucoup moins de monde dans la suivante mais la plupart des danseurs étaient presque nus. Ils dansaient aussi mais se caressaient en même temps. Couples légitimes ou couples d’un soir, juste le plaisir comptait. Dans la salle suivante, une soumise était attachée, bâillonnée. Mise à la disposition de qui voulait par son Maître. Tout autour de cette salle, de profonds canapés accueillaient les couples qui baisaient. Hommes, femmes, tous mélangés. Tous occupés.

Un couloir permettait de rejoindre cette dernière salle. Le long de ce couloir, des portes donnaient accès à de petits salons privés. La porte vitrée permettait de voir l’intérieur, si le rideau n’était pas tiré. Plus de la moitié de ces salons étaient déjà occupés. Pas un seul rideau n’était tiré. Roland et moi savions à quoi nous attendre, forcément, nous n’étions vraiment pas surpris. Même si le fait d’imaginer était bien en-deçà de ce que nous voyions maintenant. Les odeurs en sus, les gémissements. Toute cette ambiance indescriptible. Imaginez le choc pour Katia, pire encore pour Edna. Elles étaient transportées dans un autre monde où seul le plaisir comptait, la recherche du plaisir. La souffrance pour certains, la soumission pour d’autres. Aucune limite que celle que l’on choisit. Mon rôle de Maîtresse était justement de définir la limite voulut par la soumise. Tenter de la faire aller au-delà, mais accepter de renoncer quand on se rend compte que l’on va trop loin. De retour dans la salle précédente, je me plaçais au centre, Katia et Roland au bout de leur laisse respective.

« Ma soumise est toute disposée à se laisser caresser. Uniquement par des femmes, pour commencer.  » Ajoutais-je devant le regard implorant de Katia.

Rassurée, elle laissa toutes les mains féminines s’octroyer son corps. Ses seins magnifiques furent malaxés, triturés, maltraités un peu mais Katia acceptait tout, voire même demandait plus encore. Des mains tentèrent de toucher Edna. Je mettais le holà immédiatement.

« La petite est mineure, ce qui veut dire : pas touche.  »

Aussitôt, le groupe recula et ne s’occupa exclusivement que de Katia. Je ne me préoccupais aucunement de Roland, pensant qu’il voulait uniquement assister à la déchéance de son épouse. Sentant la laisse bouger, je jetais un œil vers lui et j’eus la surprise de voir un homme qui lui caressait la queue. Et surtout Roland qui semblait véritablement apprécier le traitement. Le pantalon tomba, suivi du boxer, et l’homme commença à lui travailler la rondelle, avant de l’enculer profondément, lentement. Edna se serrait contre moi, apeurée. Katia aussi avait suivi la première pénétration du cul de son homme. Une lueur dans ses yeux m’indiqua qu’elle était prête à aller plus loin.

« Mesdames, Messieurs. Les soumis sont tout à vous. Pas de souffrance gratuite. C’est la seule consigne.  »

Les hommes se ruèrent sur Katia, mais pas tous. Certains préférèrent Roland. L’un d’eux appuya sur sa tête pour lui offrir sa queue. Sans rechigner, Roland accepta. Il m’avouera plus tard que cela faisait longtemps qu’il avait envie d’essayer. Que l’occasion était trop bonne. Il se faisait bourrer le cul tandis qu’il suçait une queue de belle taille. Les hommes échangèrent leurs places et Roland dut sucer la queue qui sortait de son cul. La nouvelle queue qui lui remplissait les intestins était bien plus imposante que la précédente mais le chemin était tracé, la rondelle se dilatait parfaitement, s’adaptant au nouvel envahisseur. Katia se faisait peloter, malaxer, mais aussi deux hommes avaient placé leurs queues dans sa main. Un autre investit sa bouche. Elle répondait de son mieux aux sollicitations des pervers qui l’entouraient. Alors qu’un mec allait enfin se présenter derrière elle pour l’enfiler, la lumière disparut un instant, pour revenir presque aussitôt.

Un silence se fit, les gens s’écartaient, laissant s’approcher un monstre, une véritable montagne de muscles, bien enveloppés. Cette montagne portait un nom, que la foule murmurait : « Idrissa ». Devant lui, hyper bandée, une queue monstrueuse, à la mesure du bonhomme. Cette masse était vraiment impressionnante, mais pourtant, on ne pouvait avoir peur en le regardant. Son sourire jovial faisait oublier toutes les craintes. Malgré tout, une bonne claque de sa main et vous traversiez la pièce sans toucher le sol. Arrivé derrière Katia, son gland la frôla alors qu’il était encore loin de la toucher. Sa queue glissa contre la fente humide, sans chercher à entrer. Il avait une queue monstrueuse et il  savait pertinemment que toutes les femmes ne pouvaient l’accepter en elle. Il avait donc développé une technique pour les amener à s’empaler d’elles-mêmes sur son membre surdimensionné. Je pense qu’il devait être tout près des trente centimètres. Il faisait glisser sa queue le long de la fente, l’imbibant de cyprine, attendant patiemment que sa partenaire s’empale toute seule, ivre de plaisir.

Katia pensa tout d’abord à un manche de balai, mais le diamètre était bien trop important. Puis, elle pensa à un gros gode, comme elle en avait vu dans le sex-shop. Mais elle le sentait vibrer, et surtout, elle ressentait sa chaleur. C’était bien évidemment une queue d’une taille impressionnante. Elle allait et venait sur toute la longueur. Son partenaire aussi bougeait légèrement pour que toute la longueur soit bien lubrifiée.  Elle attendait qu’il la pénètre mais, chaque fois que le gland butait sur l’entrée de son vagin, il dérapait inexorablement et fuyait la pénétration. Comprenant cela, Katia se mit en position pour éviter toute échappatoire.

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