Mon père, mon Maître (23/24)

Loin, mais pas trop, de cette foule agglutinée, j’étais près d’Ingrid et nous suivions des yeux les explosions de couleur. Une nouvelle fusée décolla, explosa très haut dans le ciel et, en retombant, provoqua de nombreuses autres explosions. À chaque fois, Ingrid sursautait par la surprise, la peur peut-être. Puis un silence pesant, avant de nouvelles couleurs. Mais Ingrid sursauta, sans qu’il n’y ait eu aucune explosion. Un homme était venu derrière nous et il s’était collé contre ses fesses. J’observais ma belle-sœur qui se laissait faire. Elle avait envie, c’était indéniable. Je me plaçais face à elle, un peu pour nous cacher du reste du monde, qui n’en avait rien à faire de nous.

« Tu aimes ce qu’il te fait. Tu en veux plus ?  »

Elle ne pouvait pas parler mais son regard en disait long. Je prenais les mains de l’homme et les posais sur ses hanches à elle. Elle frissonna encore plus. Peut-être que la queue contre ses fesses avait réagi favorablement à mon initiative. Je pris le visage d’Ingrid entre mes mains, je voulais la voir frémir encore plus, mais sans qu’elle ne tourne la tête derrière elle.

« Tu sens cet homme, derrière toi. Tu dois sentir l’envie qu’il a de te prendre, là, maintenant. Il n’est pas tout jeune mais il me semble bien vigoureux. Un peu comme Tonton Roger.  »

Là, elle s’est mise à trembler et elle tentait désespérément de savoir qui se trouvait derrière elle. Je tenais son visage et je la rassurais immédiatement.

« Non, aucune inquiétude. Ce n’est pas lui. Mais ça aurait pu. (Elle trembla encore). Je n’aurais pas laissé ce gros pervers te toucher à nouveau. Car, c’est bien vrai ? Il t’a déjà touchée ? Et même baisée ? C’est lui qui me l’a dit.  »

Ingrid était horrifiée de tout ce que je savais sur sa relation avec Tonton Roger. Elle tremblait à chaque révélation, se souvenant sans doute de ces moments. Je profitais de cet instant où elle s’abandonna totalement pour ouvrir le haut de sa robe. Je dégageais ses seins et je les sortis de son soutien-gorge. Puis, je repris les mains de l’homme pour les remonter sur sa poitrine dénudée.

« Pour être totalement tranquilles, on va reculer jusqu’à cet arbre, derrière vous. Laissez-moi vous guider. Voilà, on y est presque. L’ombrage des feuilles nous cache un peu plus des autres, qui d’ailleurs, ne nous regardent même pas. Je vais maintenant soulever ta robe, derrière, pour qu’il puisse frotter sa queue librement sur ta culotte. Tu en portes bien une, ce soir ?  »

« Restez sans bouger, je vais aller vérifier par moi-même.  »

Je m’accroupis devant elle et passait sa robe par-dessus ma tête. Elle portait bien une culotte, ce soir, assortie à son soutif. Mais elle était déjà trempée, et bien odorante. Je remontais mes mains à sa taille et je baissais sa culotte, jusqu’à ses chevilles. L’homme a réussi à extirper sa queue de son pantalon et elle apparaissait parfois, entre les cuisses de ma belle-sœur. Il se frottait le long de sa fente, sans vraiment chercher à la pénétrer. Pour le moment. Le gland venait quelquefois taper mon menton. Je lui faisais un petit baiser à chaque fois. Puis, je sentis qu’il était temps de procéder à la saillie. Je sortis un préservatif de mon sac, que j’enfilais habilement sur la queue de cet homme. Il avait évidemment compris le message et me laissa guider sa queue à l’intérieur de la chatte grande ouverte. Il était en elle, bien planté, et il commença à la pilonner doucement. Je me redressais pour prendre en bouche ses tétons fièrement érigés et les sucer. Je dus embrasser ma belle-sœur pour éviter d’alerter les gens autour de nous. Elle se faisait baiser allègrement et elle prenait un pied d’enfer. Je pris sa tête entre mes mains, pour voir le plaisir qui montait progressivement en elle. Elle en voulait encore plus. Et je savais comment lui faire plaisir. Mais elle devait jouer le jeu.

« Tu vas fermer les yeux et les garder ainsi jusqu’à ce que je te dise de les ouvrir à nouveau. Tu vas enfin voir qui est l’homme qui te fait jouir si parfaitement.  »

Il est sorti d’elle pour la laisser faire volte-face. Il avait pu caresser ses seins, maintenant il les voyait, face à lui. Je remontais de nouveau sa robe jusqu’à la taille, mais devant cette fois-ci. Il n’eut pas vraiment le loisir de l’admirer qu’il était déjà en elle. Puis, j’ai dit à Ingrid qu’elle pouvait de nouveau ouvrir les yeux. Elle poussa un petit cri de surprise en découvrant le visage de… Papa. Heureusement que le feu d’artifice continuait et que personne ne s’est retourné vers nous. Oui, c’était bien lui qui la baisait allègrement. Elle s’est accrochée à son cou en levant une jambe, qu’elle a passé dans son dos. Lui, il a compris le message immédiatement et il l’a prise sous ses fesses pour la soulever. Elle a accroché son autre jambe derrière lui et il a pu la pénétrer encore plus profondément. J’ai pu, le temps d’un instant, apercevoir son cul. Papa lui donnait de grands coups de queue qui la faisait presque sortir, avant de retomber encore une fois sur ce monstre infatigable. Je suis certaine qu’elle a joui plusieurs fois mais papa continuait ses coups puissants et profonds. Il la fixait droit dans les yeux quand il arriva au bout de sa résistance et il posa ses lèvres sur les siennes.

Elle partagea son baiser langoureusement, se faisant chatte pour lui, tandis qu’il remplissait le préservatif. Il ressortit tout naturellement, lorsque sa queue diminua de volume et Ingrid s’abaissa pour la nettoyer. J’en fis de même et c’est ensemble que nous avons partagé les restes de sa semence. Quand nous nous sommes relevées, toujours collées à lui, je l’ai entendu lui murmurer.

« La prochaine fois, c’est ton cul que je prendrais. Car, il y aura une prochaine fois, n’est-ce pas ?  »

J’ai bien senti qu’elle avait frissonné à cette allusion, mais j’ignorais si c’était de crainte ou d’envie.

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