J’arrivais un peu avant l’heure, pour le cas où elle ne serait pas prête. Elle m’attendait bien, et en tenue. Maillot plutôt large, short évasé et basket. La tenue d’un joggeur du dimanche. Elle me précisa qu’elle n’avait rien de mieux.
« Ça ira pour ce matin, mais il faudra t’équiper. Leggings ou jogging pour le bas, tee-shirt anti-transpirant pour le haut, et surtout de bonnes chaussures pour courir. Tu vas vite comprendre pourquoi je te dis tout ça ».
J’ajoutais qu’elle trouverait tout chez Décathlon, le conseil en plus. Elle me proposa de l’accompagner, afin d’être sûre. J’acceptais, évidemment. Pour le plaisir de passer encore un peu plus de temps, seule à seule avec elle.
Elle prit place dans ma voiture et je l’emmenais sur un parcours santé que je connaissais, et qui serait assez facile pour elle. Le Parc du Mont Boron, pour ceux qui connaissent Nice un peu. Pas de dénivellations, enfin pas trop pour le parcours « débutants ».
Quelques échauffements avant de commencer et nous voilà parties. Doucement, même très doucement. Je faisais pratiquement du sur-place, tandis qu’elle soufflait comme un taureau. Le manque d’habitude. De plus, je n’avais posé aucune question sur ses sous-vêtements mais son soutif ne tenait en rien sa poitrine qui partait dans tous les sens. Sans doute de très jolis sous-vêtements, car je la savais coquette, mais pas du tout adaptés pour le sport. Surtout avec une poitrine comme la sienne.
Les chaussures, pas suffisamment serrées lui provoquèrent des ampoules et rapidement, un point de côté la força à s’arrêter. Elle s’écarta un peu du chemin principal et s’adossa à un arbre, tentant de reprendre son souffle.
Je la laissais récupérer. Patiente. J’observais sa poitrine qui montait et descendait. Ses aisselles étaient trempées et, par l’ouverture des manches, j’aperçus son soutif, noir, en dentelle. Très sexy mais complètement inadapté pour la circonstance. Elle surprit mon regard et, avant que je n’aie pu faire un geste, elle m’attrapa les mains pour les glisser directement sur son soutif, par l’ouverture des manches, justement.
Je retrouvais le plaisir de caresser et de malaxer cette poitrine vraiment divine. Sa bouche appelait la mienne. Je voulais résister, mais à quoi bon. J’en avais envie autant qu’elle. Voire plus. Ses mains à elle caressèrent mes fesses à travers les leggings. Dessous, je ne portais qu’un string, si bien que je sentais parfaitement la chaleur de ses mains sur mes fesses.
Sa langue fouillait ma bouche, jouant avec la mienne. Une de ses mains passa entre nous deux, sur ma chatte. Et je jouis comme une petite fille. Ne pouvant se retenir. Mais c’était tellement bon. Elle porta ses doigts trempés de mon nectar à sa bouche et les lécha, et m’en fit profiter également.
Je quittais à regret sa bouche et sa langue malicieuse pour plonger la tête sous son maillot, entre ses seins magnifiques. Mes mains de chaque côté et mon visage entre les deux globes. Je réussis à en dégager un de son bonnet et ma bouche avala son téton. Je l’aspirais, le tétais, tout en jouant avec l’autre. Une fois dégagé lui aussi, ma bouche l’enfourna à son tour. C’était magique. Je sentais, j’entendais les coureurs qui passaient tout près de nous. Mais nous, nous étions dans un autre monde.
Un monde de tendresse et de volupté.
Je finis par entrer une main dans son short pour la faire jouir à son tour. Comme elle tout à l’heure, je léchais mes doigts couverts de sa cyprine et elle y goûta aussi. Je replongeais mes doigts pour récolter encore plus de jus d’amour. Et on le partagea encore une fois. Je retrouvais sa bouche pour un baiser langoureux. Il nous fallut bien un quart d’heure pour nous remettre. Nous avons rejoint la fin du parcours en trottinant.
Dans la voiture, j’avais une bouteille d’eau pour nous rafraîchir, elle et moi. Je la raccompagnais chez elle pour prendre une douche et se changer, pareil pour moi.
En redescendant de ma chambre, je la retrouvais à la cuisine avec mon père. Il plaisanta sur cette nouvelle lubie de sa compagne et me demanda ce que j’en pensais. Je lui répondis qu’il devrait s’y mettre, lui aussi, pour garder la forme et éviter des problèmes de santé. Qu’il fallait du courage pour commencer, et s’y tenir. Et que Fabiola avait beaucoup de progrès à faire, mais qu’elle se donnait à fond, totalement.
Il préféra fuir pour éviter de répondre. Il savait bien que j’avais raison. Nous reprîmes ma voiture pour aller à Décathlon. Rayon running. Tout était bien rangé, et bien expliqué. Les tee-shirts très collants mais qui absorbaient la transpiration et amélioraient la ventilation. Les leggings, hyper collants, hyper sexy. Les chaussures adaptées pour la course à pied, suivant le terrain, ou tous terrains. Et les brassières de sport pour un maintien sans faille de la poitrine.
Fabiola choisit au total deux tenues pour les essayer en cabine. Je la suivais, mais attendais devant le rideau. Elle ouvrit ce même rideau pour me présenter sa première tenue. Tout lui allait à merveilles. Elle le referma pour essayer la seconde tenue. Deux minutes après, elle me demandait de venir la rejoindre.
J’ouvris le rideau … Et le refermais aussitôt après être entrée dans sa cabine. Elle était totalement nue, et souriante.
« Je t’offre mon corps. Il est à toi. Disposes-en comme bon te semble ».
J’étais totalement estomaquée, sur le cul. D’ailleurs, je dus m’asseoir sur le banc. Elle s’approcha de moi et offrit ses seins merveilleux à ma bouche gourmande. C’en était trop.
Que faire d’autre, sinon gober ces tétons offerts ? Délicieuse Fabiola qui s’offrait entièrement à mes caresses. Son dos, ses fesses un peu grasses, c’est vrai. Ses cuisses pleines et musclées. Sa petite chatte totalement épilée. Pas un centimètre carré de son corps ne fut épargné par mes mains fébriles. Je m’appropriais ce corps qui m’était offert. Ce corps de déesse romaine entièrement dévoué à l’amour. Elle gémissait, ma belle vestale, ne pouvant réprimer l’orgasme qui grandissait en elle.
La vendeuse, qui veillait à l’entrée des cabines d’essayage nous demanda si tout allait bien. Je répondis que oui, que nous allions sortir. Elle hésita à entrer pour vérifier. Se doutait-elle de quelque chose ? Ou bien voulait-elle participer ? Elle repartit quelques instants plus tard. Je m’agenouillais devant Fabiola pour récolter la sève qui coulait de son puits d’amour.
On passa à la caisse avec les deux tenues complètes qu’elle avait choisies. Je la ramenais chez elle et elle m’invita à rester manger avec eux. Juste le temps de préparer. Elle me demanda d’aller chercher Wendy dans sa chambre pour la faire descendre. Voilà une tâche que j’accomplissais avec plaisir.
Wendy était en phase de réveil. Elle somnolait dans son lit, retardant le plus possible le moment de se lever. Juste l’inverse de moi. À peine réveillée, je devais me lever. Assise sur le lit, tout près d’elle, elle me prit les mains.
« Emma, dans trois semaines, ce sera mon anniversaire. Et je sais maintenant le cadeau que j’aimerais de ta part. Je souhaite … Perdre ma virginité et j’aimerais que ce soit toi qui me le fasses ».
» Ma chérie, mais c’est toi qui me fais un merveilleux cadeau en m’offrant ton hymen. Je t’en remercie de tout mon cœur. Tu y as bien réfléchi, c’est bien ce que tu veux ? »
Elle me répondit que c’était une question mûrement réfléchie. J’acceptais, les larmes aux yeux. Je la pressais ensuite de se lever, prendre une douche avant de venir nous rejoindre pour le déjeuner.
Trop trop magnifique Sublime whaouuuuu hummmmm 💋💋💋💋