Elle n’était pas très jolie, un visage asymétrique et durci sans doute par toutes les brimades qu’elle a dû subir. Elle poussa Jenny vers son lit et la fit basculer. Elle lui écarta les cuisses pour bien mater la fente déjà humide. Avec ses doigts, elle écarta les lèvres intimes avant d’y introduire un doigt, puis deux.
» Tu as des jouets, m’a-t-on dit ? »
Jenny lui indiqua le tiroir de la commode qui contenait les sex-toys. Elle en sortit un gode de belle taille, le frotta contre la fente pour bien le lubrifier et le fit entrer dans la chatte ouverte. Sans ménagement, elle le fit aller et venir très vite, très fort. Jenny aimait la douceur des rapports, comme avec Soraya, mais ne détestait pas de se faire prendre à la sauvage. Ainsi, elle se sentait vraiment chienne, juste une putain aux ordres de sa cliente. Même si elle n’en retirait aucun bénéfice, le seul fait de se donner la faisait vibrer intérieurement.
La jeune fille la retourna sur le lit pour voir son cul, son anus qui frétillait. Toujours le gode dans la chatte, elle ajouta un vibro dans son cul. Elle le rentra bien à fond et le mit en marche. Vitesse maximum. La fille lui claquait les fesses mais déjà, Jenny ne sentait plus rien, toute à sa jouissance qui allait l’emporter très loin. Voyant tout le plaisir qu’elle donnait, la fille retourna Jenny pour s’assoir sur sa bouche. Elle écarta sa culotte de coton et se frotta sur les lèvres. Jenny se mit à la lécher en remerciement du plaisir qu’elle lui avait donné. Excitée comme elle était, elle jouit très rapidement. Elle resta ainsi jusqu’à ce que Jenny lui ait bien léché toute trace de plaisir.
Elle replaça sa culotte de coton, et sortit sans un mot, ni pour Jenny, ni pour Val. Cette fille revint une autre fois et se déchaîna sur le corps de Jenny. Puis, Val lui apprit plus tard qu’elle ne reviendrait plus. Elle avait chopé une jeune laotienne et en avait fait sa soumise et son souffre-douleur. Le vendredi suivant, Val revint accompagnée d’une jeune fille toute menue. Timide mais adorable. Elle n’était pas aussi aisée, financièrement, que ses camarades de classe mais son QI impressionnant lui avait permis d’obtenir une bourse d’études et une place de choix dans cet établissement hyper sélect. Val ne lui demanda que la moitié de ce qu’elle demandait habituellement aux autres filles. Elle répondait au doux prénom de Floriane.
Jenny les emmena dans sa chambre après les avoir débarrassées de leurs vestes. Elle alluma la petite chaine Hi-Fi qui joua un CD de musique de relaxation. Puis, elle commença un striptease digne de Demi Moore dans le film du même nom. Floriane ouvrait ses grands yeux candides devant cette femme qui se dévoilait entièrement. Quand elle fut en sous-vêtements, Jenny s’approcha d’elle, lui prit les mains pour les passer dans son dos et défaire son soutif. La jeune fille obéit et entraîna ensuite le soutif avec elle, découvrant pour la première fois une poitrine de femme, en vrai. Jenny lui ôta le soutif des mains pour le lancer sur une chaise. Reprenant les mains de Floriane, elle les posa sur ses fesses, en se serrant à elle. Elle fit entrer les mains dans sa culotte, la baissant un peu. Puis, elle lâcha les poignets de la jeune fille.
Serrées l’une contre l’autre, elle sentait la jeune fille qui respirait fort, contre sa poitrine. Puis, ses mains commencèrent à descendre, entraînant la culotte. Elle s’accroupit d’elle-même, accompagnant le vêtement jusqu’au sol. Jenny leva un pied, puis l’autre, et se retrouva entièrement nue devant Floriane, à ses pieds. Impudique, elle écarta les cuisses. La jeune fille ouvrit de grands yeux devant cette chatte humide qui s’ouvrait devant elle. Et ce parfum !! Mon dieu ! Ce parfum !! Floriane se sentait enivrée, ailleurs. Dans un monde où tout est permis pour faire plaisir à sa partenaire, dans un respect mutuel. Elle avança sa bouche vers ce trésor, posa un tendre baiser sur le clito turgescent, déjà sorti de sa cachette, puis sortit sa langue pour caresser les lèvres intimes. Tout de suite, le goût lui plut. Accrochée aux fesses, elle poussa plus bas sa découverte. Sa langue parcourait la fente, et atteignit la rondelle frémissante de son anus. Elle revint sur le clito pour l’aspirer et offrir son premier orgasme à Jenny. Le premier de la soirée.
Val la releva et caressa sa petite poitrine, toute menue, et ses fesses guère plus développées. Puis, aidée de Jenny, commença à la déshabiller. Puis les deux jeunes filles poussèrent la femme sur son lit. Les pieds posés sur le sommier, Jenny était grande ouverte. Cela donna une idée perverse à Val. Elle poussa Floriane à lécher de nouveau la fente offerte, puis lui fit entrer un doigt, puis deux. Les petits doigts allaient et venaient facilement dans la chatte. Trois doigts, puis quatre, et déjà Jenny ronronnait de plaisir. Jenny n’était plus en état de refuser quoi que ce soit quand elle sentit le pouce rejoindre les autres. Elle mouillait tellement qu’une protestation aurait ressemblé à une blague. Floriane voyait sa main entrer petit à petit dans cette grotte, chaude et accueillante.
Surprise de voir sa main disparaître, et heureuse de voir l’effet que cela procurait à sa partenaire. Val lâcha son avant-bras et elle continua les mouvements d’aller-retour. Son autre main caressant les tétons érigés. Elle accéléra encore son pistonnage, de plus en plus vite. Jenny se faisait fister et prenait un pied d’enfer. La petite, infatigable, n’arrêta pas quand l’orgasme survint. Elle continua encore, et encore. Val, pendant ce temps, la caressait partout. Ses petits seins, comme des cerises, ses fesses de bébé, une peau de bébé, sa petite chatte, imberbe. Elle jouit enfin sous les caresses de Val, cessant alors son pilonnage.
Jenny avait joui plusieurs fois avec le bras de la petite en elle. C’est avec un grand plaisir qu’elle l’accueillit sur sa bouche, quand Val l’installa. Elle s’équipa du gode ceinture, le gros, et pénétra la fente encore ouverte. Quelques aller-retours pour bien lubrifier l’engin. Elle le plaça sur l’anus de Jenny qui, encore une fois, ne protesta pas. Elle força l’entrée, doucement, et Jenny s’ouvrit comme une fleur. Le gland était dedans. Elle stoppa un peu pour laisser au corps le temps de s’habituer, caressant le clito de la femme soumise à ses envies.
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