La journée sans culotte 02

 

La bibliothèque

bibliothèque

 

Il était l’heure de se quitter pour nous car nous n’avions pas les mêmes cours ensuite. Je rejoignis la bibliothèque universitaire pour travailler à mon mémoire, non sans avoir donné rendez-vous à Chloé, vers 17 heures 15 près de l’entrée de la cafeteria. Deux heures de tranquillité, seule à la bibliothèque, c’était tout ce que je désirais pour me remettre des émotions de la matinée. Je m’installais à une table, le long d’un mur, avec les ouvrages dont j’avais besoin et commençais à recueillir les informations nécessaires à mon document.

« Enfin tranquille » pensais-je.

C’était sans compter sur la fougue de la belle Alba, qui en redemandait plus encore. Vu que nous avions les mêmes cours, elle savait où me trouver. Je sentis une présence dans mon dos et reconnus le parfum de mon amie italienne. D’un regard, elle me fit me lever et m’entraina dans un dédale de rayonnages, loin de tout passage, me força à me mettre à genoux devant elle avant de passer sa longue jupe par-dessus ma tête.

Elle s’adossa à une étagère et prit un livre. Puis elle se plongea dans son livre si bien que, de loin, personne ne pouvait soupçonner ce qui se passait sous sa jupe. Elle posa une main sur ma tête. J’avais très bien compris ce que l’on attendait de moi et je me mis à la lécher, titiller son clitoris, très gros, et sucer ses lèvres intimes. Tout comme moi, elle ne portait rien sous sa jupe longue.

Dès qu’elle se sentait prête à jouir, elle écartait ma tête, puis la laissait reprendre son ouvrage. Cela aurait pu durer des heures si Alba n’avait pas prévu une petite surprise pour sa complice de jeux érotiques. En effet, la belle italienne vivait à la cité universitaire avec une compatriote qui partageait les mêmes jeux qu’elle dans l’intimité de leur petite chambre. Et c’est cette amie très chère qu’elle attendait.

Elles avaient mangé ensemble le midi et avaient concocté ce piège pour moi. Annalisa arriva enfin. Sans un mot, elle se glissa derrière son amie afin de prendre sa place. Alba se dégagea sur le côté, souleva sa jupe pour me libérer. Je compris très vite ce qui se passait en voyant la jupe à fleurs se soulever à son tour, laissant apparaitre un pubis très poilu, avant de retomber sur mes épaules. La jeune fille avait aussi ôté sa culotte dans les toilettes en entrant à la bibliothèque.

Si bien qu’elle était prête à recevoir ma bouche qui ne se fit pas prier. Je promenais ma langue sur la chatte poilue, lissant les poils très noirs, et la jeune italienne ne tarda pas à mouiller abondamment. Ce qui différenciait le plus les deux complices, c’était leur poitrine. Celle d’Alba était déjà très bien mais Annalisa avait une de ces poitrines voluptueuses à damner tous les saints et les saintes.

Et Alba adorait cette poitrine, l’enviait même. Elle défit le corsage de son amie, libéra les deux globes du soutien-gorge et se mit à les embrasser, les caresser, les lécher tout partout, titiller ses tétons énormes qui durcissaient sous la caresse. La sentant prête à venir, je lui agrippais les deux fesses bien dodues, les écartais et glissais un doigt puis deux dans son anus, doigts que j’avais pris soin de bien mouiller auparavant entre les lèvres trempées.

Annalisa sembla réticente à cette intrusion, mais très vite, elle s’abandonna au plaisir et, Alba, qui la sentant venir, plaqua sa bouche contre la sienne pendant qu’elle explosait littéralement de plaisir. Son corps tremblait très fort, ses jambes pouvaient à peine la porter. Heureusement que ses amies la soutenaient, l’une la serrant dans ses bras et l’autre par en-dessous, finissant de lécher le jus d’amour qui coulait sur ses cuisses et ne s’arrêtant que quand elle fut bien sèche.

Il nous fallut de longues minutes pour nous remettre de nos ébats, épuisées que nous étions, mais heureuses.

Personne n’avait rien vu, ni entendu.

Le cours d’anglais

 

C’est moi qui réagis la première en voyant ma montre. Les deux heures avaient semblé dix minutes et je tenais absolument à entrer la première dans la salle où devait se dérouler mon dernier cours de la journée, un cours d’anglais. Je savais que les tables de cette salle n’étaient pas fermées devant et je tenais à me placer au premier rang, afin d’éviter les remarques de mes camarades qui ne manqueraient de s’apercevoir que je ne portais rien sous ma minijupe.

Devant, seule la prof pourrait voir quelque chose, et encore, pas sûr. J’arrivais effectivement la première dans la salle et je pus choisir ma table, face au bureau. Mes camarades entrèrent à leur tour et personne ne remarqua mon trouble. Enfin tranquille. La prof arriva et commença son cours. Cindy est une belle jeune femme, anglaise, à la peau très blanche, presque laiteuse et qui semblait assez « coincée ». D’habitude toujours habillée très strict, elle portait en cette belle journée de début d’été, une belle robe rouge, boutonnée devant, légèrement moulante, qui laissait deviner ses formes. Comme elle passait près de moi, je remarquais qu’elle devait porter un string, ou peut-être rien du tout comme moi, tellement ses fesses étaient moulées par le tissu. Son parfum, à base de jasmin, m’enivra et je commençais à imaginer la belle Cindy faisant un striptease devant toute la classe éberluée.

Cindy retourna s’assoir derrière son bureau pour laisser aux élèves le temps de faire l’exercice qu’elle venait de leur donner. Toute à mes pensées lubriques, je m’étais un peu laissée aller sur ma chaise et mes cuisses s’étaient légèrement écartées. Tout à fait par hasard, le regard de la belle anglaise plongea entre mes cuisses et, instantanément, elle se mit à rougir en détournant le regard. Personne ne se rendit compte de son émoi. Cindy répondait aux questions qu’on lui posait mais toujours son regard revenait sous la table face à elle.

Avait-elle bien vu ? N’avait-elle pas rêvé cela ? Bien sûr, je finis par remarquer son manège mais, au lieu de refermer le compas de mes cuisses, je les écartais encore plus si bien que la belle anglaise fut certaine, cette fois, que je ne portais rien sous ma jupe. Loin de la faire rougir comme tout à l’heure, cette certitude sembla au contraire l’émoustiller. Elle devint toute souriante, lâchant même quelques plaisanteries, de celles qui ne font rire que les anglais, bien sûr.

Le reste du cours, elle le passa le plus souvent assise à son bureau, profitant de la vue. Je faillis, un instant, glisser ma main entre mes cuisses pour me caresser mais, la fin du cours arrivait et j’étais déjà trempée. Certainement que mes lèvres intimes luisaient sous la table et Cindy ne pouvait ignorer l’état dans lequel je me trouvais.

Tout le monde sortit à la fin du cours, seule je pris un peu plus de temps pour ranger mes affaires. « Quelle journée ! » me dis-je, me préparant à sortir mais, arrivée à la porte, Cindy me rappela sous un prétexte bidon, afin que la salle soit entièrement vide, puis referma la porte doucement. Sans un mot, elle glissa sa main droite sous ma minijupe et commença à me caresser, me plaquant contre la porte.

Ainsi, personne ne pouvait nous voir, ni entrer dans la salle. Elle posa sa bouche sur la mienne et m’embrassa langoureusement, avec tendresse. Cindy s’agenouilla devant moi et sa langue habile vint remplacer ses doigts et là, enfin, je me lâchais, posant mes deux mains sur la tête de la prof, la forçant à tout boire, jusqu’à la dernière goutte. Ce fût une tornade de plaisir pour l’une comme pour l’autre qui nous laissa prostrées de longues minutes.

 

La soirée

 

Je sortis la première, encore toute étonnée de ce qui venait de se passer sous ma jupe. Je rejoignis, comme convenu, Chloé près de l’entrée de la cafeteria et, ensemble, nous regagnèrent mon appartement, tout près de là. En chemin, nous avons fait plus ample connaissance mais, une fois la porte fermée, nous nous sommes déshabillées l’une l’autre et ce fut ma plus longue nuit de « baise ».

Au petit matin, nous avons pris le petit déjeuner sans savoir comment se quitter, quand je lui proposais d’habiter avec moi les deux semaines qui restaient avant les vacances. Bien sûr, Chloé accepta. Deux semaines de fureur de vivre s’ensuivirent.
Je passais mes examens de fin d’année avec succès, comme toujours, mais Chloé se loupa et donc dut repartir chez elle.

 

 

Épilogue

 

Si vous avez aimé cette histoire, et que vous continuez à me lire, vous retrouverez Alba et Annalisa dans d’autres circonstances. Et bien sûr, Cindy, la belle anglaise. Mais il y aura aussi de très nombreux personnages que vous découvrirez au fil de mes rencontres. Chloé est retournée chez elle et je ne l’ai plus jamais revue. Mais je garde d’elle un souvenir inoubliable.

 

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