Immersion totale (06/11)

Il prit mes chevilles et il posa mes pieds sur l’assise de son fauteuil, de chaque côté de ses pieds. Je dus mettre mes mains dans mon dos, posée loin sur le bureau, pour maintenir mon équilibre précaire. J’avais désormais les genoux écartés au maximum et plus rien ne lui interdisait de me manger toute crue. Son regard de loup, le même que celui de Tex Avery, me fit fondre de nouveau. Je savais que j’allais découvrir de nouveaux plaisirs. Comme toutes les jeunes filles de mon âge, je suppose, je m’étais déjà caressée, entre mes cuisses, la nuit dans mon lit ou bien sous la douche. J’avais ressenti alors un profond bien-être et je savais, j’espérais, retrouver cette sensation de nouveau, avec mon beau prince. Il commença par caresser mes cuisses, remontant doucement vers la fourche de mon sexe, largement exposé devant ses yeux. Quand ses doigts effleurèrent mes lèvres intimes, j’étais déjà presque prête à jouir. Je m’empêchais volontairement de laisser éclater mon plaisir, retenant mes soupirs le plus possible. Son pouce trouva facilement mon clitoris, sorti de sa cachette, et il commença à le titiller habilement. Un éclair de feu traversa tout mon corps lorsque sa bouche entra directement en contact avec ma vulve. C’était au-delà de tout ce que j’avais pu imaginer auparavant. J’étais au septième ciel, et je n’étais pas prête d’y redescendre. Je voulais connaitre tout, avec lui. Qu’il fasse de moi une femme, une vraie. Je découvrais des sensations inédites, que nul ne peut imaginer. Je partis dans un délire orgasmique lorsqu’il titilla mon clito avec sa langue. J’étais à peine revenue sur terre qu’il s’intéressa à mon anus. Nouvelle sensation, nouvel orgasme incontrôlable. Sa langue pénétrait mon petit trou, son doigt entrait doucement entre mes lèvres intimes. Il fut rapidement bloqué par mon hymen. Surpris, il se rappela que j’avais précisé que je n’avais que 15 ans, lors de notre dernière rencontre. Il me confia, un peu plus tard, qu’il n’avait pas l’intention de me déflorer. Pas encore. Qu’il serait préférable que je choisisse un garçon de mon âge pour ma première fois, même s’il se sentait honoré si c’était lui que je choisissais finalement. Je voulus lui répondre immédiatement que c’était lui que j’avais choisi, aucun autre n’aurait ce privilège. Mais il m’en empêcha en posant son doigt sur ma bouche. Il continua à me doigter avec délicatesse, à me pénétrer de sa langue, de ses doigts. Mais ce qu’il préférait, semble-t-il, c’était titiller mon clito avec sa langue et récolter la cyprine que je produisais en abondance. J’étais torse nu devant lui, ma jupe relevée jusqu’à ma taille et ma petite culotte pendait lamentablement à l’une de mes chevilles. Il me fit descendre du bureau et prendre place sur ses genoux. Entre deux baisers très passionnés, il m’expliqua qu’il avait du travail, mais qu’il avait été très heureux de ma visite, et de la surprise que je lui avais préparée.

Je lui demandais si je pouvais revenir le voir. Il me sourit, sachant qu’il ne pourrait m’empêcher de le faire. Il me rappela qu’il devait s’absenter deux jours, mais qu’il serait de nouveau présent jeudi et vendredi. Les deux derniers jours de mon stage d’immersion. Il m’observa, tout le temps que je pris à me rhabiller, me rajuster. Je quittais son bureau avec la certitude que je le reverrais très bientôt. Je rejoignis le bureau où m’attendait Vanessa. Elle disait m’avoir cherchée, en vain, et qu’il était un peu tard pour aller porter le courrier à l’étage inférieur. Mais que nous devrions y aller impérativement avant 14 heures. Elle chercha évidemment à savoir où j’étais, j’ai simplement prétexté que je m’étais perdue dans le labyrinthe de l’immeuble. Même si elle ne me croyait pas vraiment, elle ne pouvait deviner où j’étais réellement. Si elle avait su … Quelques heures plus tard, le repas terminé et la table nettoyée, elle m’entraina à sa suite au cinquième étage, distribution du courrier interne. C’était beaucoup plus écologique que de les envoyer par mails, comme auparavant. Personne dans le bureau de Bérénice, pas encore revenue, je supposais. Vanessa sortit du bureau, moi juste derrière, lorsqu’elle arriva. En me voyant, elle comprit immédiatement que je n’avais pas de soutien-gorge sous mon corsage. Elle prit mon menton entre deux doigts et m’invita, m’ordonna serait plus juste, de repasser la voir avant de remonter à mon étage. Je le lui promis, surtout pour pouvoir rejoindre Vanessa que j’avais vue disparaitre dans le dernier bureau, à droite. Je ne la vis pas immédiatement en entrant. Un jeune homme était là, il paraissait suffoquer. Je m’approchais du bureau et, derrière un meuble, j’aperçus Vanessa, penchée en avant, qui était semble-t-il en train de tailler une pipe à ce charmant jeune homme. C’était évidemment la première fois que j’assistais à un tel spectacle. Le moment de surprise passé, il me regarda attentivement et, par jeu, il remonta la jupe de Vanessa, me faisant découvrir les trésors qu’elle cachait. Elle se doigtait énergiquement tout en suçant la queue de son amant. Le spectacle était hallucinant et, trop occupée à regarder ce qu’ils faisaient, je ne vis pas la responsable du service arriver à grand pas. Elle pénétra dans le bureau au moment où Vanessa s’empalait sur la queue du jeune homme. Bérénice entra, jugea rapidement la situation avant d’intervenir d’un ton ferme.

« Vous n’avez pas honte de vous exhiber ainsi devant une jeune fille innocente ? José, tu passeras dans mon bureau, dès que vous aurez fini. Toi aussi, Vanessa. Quant à toi, tu me suis immédiatement.  »

C’était évidemment à moi qu’elle s’adressait. Je la suivis dans son bureau, penaude, alors que je n’avais rien fait de mal. Arrivée dans son bureau, elle referma la porte et baissa tous les stores qui donnaient sur le couloir d’où nous venions. Elle m’attira ensuite tout près de son bureau où elle prit place. Elle semblait réellement désolée que j’aie pu assister à un spectacle aussi désolant. Elle était très protectrice, très maternelle. Je ne me suis pas méfiée lorsque sa main s’est posée sur mon mollet. Très vite, elle remonta sur mes cuisses, sous ma jupe.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *