Mais je ne dévoilais pas encore à Radovan les liens de parenté qui unissaient Carolyn et sa jeune vendeuse. Il était vraiment impressionné par la qualité des articles présentés, les modèles étaient destinés aux jeunes filles principalement. Quand on parla de prix, il tomba sous le charme de cette commerciale hors du commun. Il se dit très intéressé mais que plusieurs de ses collègues et amis lui prendraient aussi certainement des commandes. Carolyn était subjuguée par le charme de son interlocuteur. Toute émoustillée d’avoir réussi sa première vente. Pour un coup d’essai, c’était un coup de maître. La boule qu’elle avait dans le ventre, due au stress, avait disparu, laissant place à un grand vide. Une envie. Incontrôlable. Ses grands yeux me suppliaient de partir pour enfin soulager son besoin de tendresse, de câlins. Je l’attirais dans mes bras et soulevais aussitôt sa robe, derrière. Serrée contre moi, elle ne put réagir à temps et exposa son joli fessier aux yeux de Radovan conquis. Dans le couloir qui menait au bureau de celui-ci, je n’avais pas pu résister à l’envie de soulever sa robe et j’avais pu apercevoir ce que Radovan voyait très précisément maintenant. Une jolie culotte noire, transparente, avec des motifs en forme de roses. Blanches. Et une paire de bas noirs. Carolyn se débattait mollement entre mes bras, déjà vaincue.
« Tu ne sais pas encore, Carolyn, mais Radovan a bien plus à t’offrir. Retourne-toi et vérifie par toi-même ».
Elle se tourna vers lui et ses yeux, inconsciemment, se posèrent immédiatement sur la bosse énorme qui déformait son pantalon. Je descendis le zip de sa robe et elle se retrouva presque nue. Juste ses escarpins et son ensemble culotte soutif coordonné. Radovan, qui ne s’attendait certainement pas à une telle conclusion, recula jusqu’à son bureau, s’asseyant juste au bord. Carolyn semblait comme hypnotisée par son pantalon qui gonflait encore, si cela était possible. Sans lever les yeux vers lui, sans même demander la permission, qu’il aurait bien évidemment acceptée, elle défit le pantalon et le baissa difficilement. Radovan tentait de rester stoïque sous les caresses de sa nouvelle amie. Bientôt maîtresse car nul doute qu’il allait la prendre. Carolyn sortit la queue monstrueuse du boxer distendu et resta un instant en admiration devant ce miracle de la nature. Puis, elle la prit en bouche. Elle devait faire de gros efforts pour ouvrir la bouche suffisamment. Par moments, elle léchait simplement cette hampe sur toute sa longueur, s’attardant de temps en temps sur les bourses gonflées à bloc.
Pendant ce temps, j’avais ôté son soutif pour malaxer sa divine poitrine. Ses seins, légèrement tombants, appelaient à toutes sortes de caresses. Sa jolie culotte se retrouva rapidement près du reste de ses vêtements et ma main indiscrète fouillait son intimité, déjà humide. Cette petite salope mouillait un max, simplement en imaginant cette monstruosité qui la perforait. Je dégageais la table où nous avions posé les échantillons pour la présentation. Radovan comprit qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Il releva Carolyn, la souleva en la prenant par la taille et, la serrant contre lui, la laissa doucement descendre, pour s’empaler elle-même sur sa queue, dure comme du bois. Inexorablement, Carolyn se sentait envahie, sa mouille abondante faisant un parfait lubrifiant. Elle avait croisé ses jambes dans le dos de son nouvel amant et, quand il commença à marcher pour la porter sur la table, à chaque pas, il semblait s’enfoncer un peu plus en elle et, à chaque pas, elle poussait un petit cri. Ce qui avait l’air de l’exciter encore plus. Une fois allongée sur la table, il commença à aller et venir en elle. Il la prenait profondément et je voyais ses yeux prêts à sortir de leur orbite chaque fois qu’il était au fond d’elle. Je l’embrassais, la cajolais, la rassurais par ma présence, et mes caresses. Sa poitrine entièrement à ma disposition fut malaxée, embrassée, léchée. Ses tétons turgescents furent triturés, torturés presque, pincés, étirés, et même mordus, tendrement.
Elle eut trois orgasmes avant que Radovan ne se répande en elle, remplissant le réservoir du préservatif. Il s’approcha ensuite de sa bouche pour qu’elle le nettoie parfaitement. Je ne résistais pas à l’envie de l’aider également. Deux bouches pour une telle queue, ce n’est pas de trop. Je l’embrassais ensuite et nous avons pu mélanger notre récolte de sperme, pour se la partager. Radovan retourna s’asseoir sur son fauteuil, suivi par Carolyn. Il la fit asseoir sur son bureau et lui offrit un magnifique cunni. De l’autre côté du bureau, je l’avais attirée à moi pour malaxer à loisirs ses jolis seins. Deux fois encore, il réussit à la faire jouir sous sa langue et ses doigts. Bien sûr, il avait testé l’élasticité de son anus, se rendant compte qu’il était un peu tôt pour tenter cette porte-là. Carolyn était complètement désinhibée, et prête à repartir pour une nouvelle chevauchée de la bête. Radovan l’attira à nouveau contre lui et elle s’empala à nouveau sur ce vit dressé. Bien plus facilement que la première fois. Le passage était fait maintenant. J’ôtais ma robe pour me coller dans son dos, essayant de ressentir les coups de butoir qu’il lui donnait. Je m’équipais de mon gode ceinture et commençais à titiller son anus. Elle mouillait tellement qu’il me fut facile de trouver du lubrifiant pour la pénétrer. Doucement. Radovan prenait beaucoup de place déjà devant. On la baisa ainsi à deux, longtemps, jusqu’à ce que Radovan se répande à nouveau en elle. Même moi, je ressentis les giclées qui remplissaient le réservoir du préservatif. Radovan était vidé mais il m’offrit quand même un merveilleux cunni le temps que Carolyn se remette de ses émotions. On se rhabilla ensuite tranquillement et Radovan eut ce petit mot d’esprit que je n’oublierais jamais. Parlant à Carolyn.
« Si toutes tes transactions se terminent ainsi, vous allez devoir très vite embaucher du personnel dans votre usine, pour honorer les commandes ».
Ainsi se passa le premier contact de Carolyn avec son premier client. Elle rentra chez elle, se sentant un peu fautive, où son mari Paul l’attendait. Elle se sentait vraiment mal de l’avoir trompé, encore une fois, et se cherchait des excuses. Il ne la laissa pas parler, le voulait-elle d’ailleurs ? Il lui expliqua que ça ne pouvait pas continuer comme ça. Qu’ils ne partageaient plus rien, juste la même adresse. Il lui avoua enfin qu’il la trompait depuis des mois, qu’il était heureux avec elle. Mais qu’il n’était pas question de divorce. À cause de l’entreprise. Il lui proposa donc un arrangement. Elle restait sa femme, officiellement, et donc, gardait les mêmes droits et accès aux comptes bancaires. Il lui laissait la maison et lui allait vivre avec sa maitresse. En de rares occasions, il lui demanderait de redevenir une épouse attentionnée lors de cérémonies, fêtes familiales, etc. … Elle était totalement libre de faire ce qu’elle voulait, dans le respect de ces quelques consignes. Il avait préparé un document pour qu’elle le signe avec lui. Carolyn respira un grand coup.
Elle était LIBRE. Enfin libre.