Martine (20/23)

Nos langues faisaient des jeux insensés. À partir de ce moment-là, je commençais à ressentir les prémices d’un orgasme, une sensation de plaisir intense. Denise aussi a dû sentir que mon corps réagissait favorablement à son incursion. Elle glissa sa main de ma hanche vers mon ventre, sous le tee-shirt. Son doigt se positionna sur mon clitoris qu’il effleura de manière subtile.

J’étais à ce moment tellement perdue dans mon plaisir que je l’encourageais même à continuer, voire même à accentuer ses divines caresses. Sa main glissait maintenant sur mon sexe et un doigt inquisiteur vint me pénétrer doucement, mais sûrement. Il entra très facilement, vu l’état d’excitation dans lequel j’étais.

Je poussais alors un gémissement, étouffé par sa langue qui continuait à jouer avec la mienne. Ma meilleure amie était en train de me faire jouir pour la première fois. J’aimais ce qu’elle était en train de me faire. Quand je pus de nouveau parler, elle me demanda ce que je pensais de sa façon d’embrasser. J’en étais ravie, bien évidemment, et mes yeux parlaient pour moi.

Je me devais de lui rendre ce plaisir qu’elle m’avait offert. Sans dire un mot, je me plaçais entre ses cuisses et tirais pour descendre sa culotte. Sa peau était douce et parfumée. Elle m’aida en soulevant ses fesses. Je caressais doucement ses cuisses, l’intérieur y était si doux, comme de la soie. Je faisais monter son plaisir, je le voyais dans sa façon de s’abandonner.

Le seul geste qu’elle fit, ce fut de rabattre sa jupe par-dessus ma tête, plongée entre ses cuisses. Ma langue s’aventura dans son petit jardin secret qui était très fourni. Ses poils noirs me cachaient encore le fruit défendu mais je réussis à me frayer un chemin. Elle était déjà très humide et la cyprine commençait à couler. C’était vraiment agréable de goûter sa féminité.

Arrivant à son clito, je lui caressais les fesses en même temps. Comme je l’avais subi avec mes « fiancés », j’approchais un doigt de son petit trou. Je tournais autour, faisait semblant d’entrer, puis de nouveau je tournais tout autour. Cela avait l’air de l’exciter follement. À un moment, mon doigt fut littéralement aspiré par son cul, tellement son envie était forte de se faire déflorer l’anus.

Comme sa bouche, quelques instants plus tôt, avait pris entièrement possession de la mienne, ma bouche maintenant prenait totalement possession de sa chatte. Je la sentais vibrer dès que je bougeais la langue, quand j’aspirais sa petite perle du plaisir. Elle était à moi, son plaisir m’appartenait. Son corps était à moi.

Mes mains remontèrent vers sa poitrine que je malaxais amoureusement. Elle eut deux orgasmes consécutifs sous mes caresses. Je la laissais ivre de bonheur, pantelante d’avoir joui aussi intensément. On rejoignit le reste de la famille pour le repas du soir. Denise n’avait pas remis sa culotte, nous le savions toutes les deux. Son chien aussi dut se rendre compte d’un changement. Il n’arrêtait pas de vouloir renifler entre ses cuisses.

Je l’observais pendant tout le repas, elle était assise face à moi. Sous la table, je sentais la queue de son chien qui battait le long de mes jambes. Il était donc face à elle, cherchant toujours d’où venait ce délicat parfum de femelle. Je la voyais résister autant que possible à toute intrusion sous sa jupe. Je devinais qu’elle serrait les cuisses le plus possible.

Et puis soudain, un grand sourire illumina son visage. Elle ne luttait plus contre elle-même, ni contre la ténacité de son animal de compagnie. Il avait, je suppose, atteint son but et j’imaginais sa langue râpeuse à l’endroit même où se trouvait la mienne il y a peu de temps. La queue du labrador battait plus vite encore, lui aussi semblait ravi de goûter à cette jeune chatte en chaleur.

C’était, j’en suis presque certaine, la toute première fois que cela arrivait. Mais à son regard, je devinais qu’elle n’en resterait pas là. On donna un coup de main pour ranger la cuisine, une fois le repas terminé et on passa tous au salon pour suivre un (décevant) programme télévisuel. J’étais assise sur un fauteuil, Denise sur le canapé près de sa mère et de son père.

Sa petite sœur avait insisté pour se blottir contre moi. Cela n’était pas très confortable pour moi mais j’acceptais sa présence, elle me donnait chaud, pressée sur ma poitrine. Denise, que ses parents ne pouvaient pas voir, vu qu’ils regardaient l’écran de la télé, jouait à écarter ses cuisses, me dévoilant ses envies.

Dans cette pénombre relative, je ne pouvais rien distinguer de précis, évidemment, mais je savais pertinemment qu’elle était nue sous sa jupe et sans doute très excitée de ce fait. Le labrador, un peu trop impétueux, avait été renvoyé à sa niche, dans une des nombreuses dépendances de la ferme.

La maman se leva la première, prit sa fille dans ses bras, la plus jeune bien sûr, pour aller la coucher. Elle s’était endormie contre moi. Pour prendre sa fille dans de bonnes conditions, elle avait dû caresser mon sein du revers de sa main. C’était sans doute inconsciemment de sa part mais cela me provoqua un énorme frisson de plaisir.

Denise se leva très peu de temps après, je la suivais dans sa chambre à l’étage après avoir salué son père qui restait seul devant la télévision. Derrière Denise, dans les escaliers, je voyais sa jupe virevolter sous mes yeux. Arrivées sur le palier, je la soulevais entièrement jusqu’à la taille et c’est donc cul nu qu’elle pénétra dans sa chambre. Il ne nous fallut pas longtemps pour nous mettre nues toutes les deux et poursuivre nos caresses, cachées sous la couette.

Il faisait à peine jour quand je fus réveillée agréablement par une bouche qui englobait mon téton. Je caressais cette petite tête dans un demi-sommeil, presque comateux. Cette tête me paraissait pourtant plus petite que celle de Denise. Je me revoyais donnant le sein à l’un des jumeaux, puis à la petite sœur.

Un flash me traversa l’esprit et je me réveillais totalement pour me rendre compte que c’était bien la petite sœur qui était à mes côtés. Elle tétait mon sein gauche et caressait l’autre. J’étais si bien que je ne voulais pas que cela s’arrête. Pourtant, il fallait bien. Je la repoussais tendrement, essayant de lui faire comprendre qu’elle devait retourner dans sa chambre.

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