Soumise (14/14)

Vicieuse, ma fille me lance un regard pervers de vainqueur. Elle sait que déjà elle a gagné et que je suis prête à tout accepter de sa part. Je ne suis plus qu’une femelle en chaleur, jupe retroussée, cuisses largement ouvertes, le chemisier débraillé, qui se fait tripoter et sucer ses gros nichons laiteux par une gamine de 16 ans. Bientôt 17, me reprendrait-elle. Et je jouis comme jamais, je crois, je n’avais encore joui.

C’est un orgasme époustouflant, phénoménal. Un véritable tsunami qui me submerge entièrement. Je reste de longues minutes, affalée sur mon canapé, à tenter de retrouver mon souffle. Céline n’a pas cessé de m’observer, jusqu’à ce que mes joues reprennent un peu de couleur.

Je suis désormais déterminée à aller plus loin. Plus de barrière. Je me lève, attire Céline contre moi. Je la porte, ses jambes m’enlacent la taille, les bras accrochés à mon cou. Je l’emporte dans ma chambre où nous serons mieux pour poursuivre nos ébats. Je vois bien qu’elle non plus n’est pas rassasiée. Je l’allonge sur mon lit, délicatement.

Je la couvre désormais de mon corps, sa chatte se frotte contre la mienne. Je simule le coït de l’homme, mais c’est plein de douceur. Elle a réussi à ôter son tee-shirt, m’exposant ses petits seins en me souriant. Tandis que je m’en empare pour les lécher et lui rendre le bonheur qu’elle a su me donner, elle parvient à insinuer sa petite main entre nos chattes pour s’empaler sur ses propres doigts. J’accompagne sa masturbation en pressant mon sexe sur sa main et nous finissons par jouir simultanément, cette fois-ci.

Céline, tout comme moi, est novice dans ces jeux érotiques mais elle a énormément d’imagination, et de l’ingéniosité. Elle me fait mettre à genoux sur le lit, arrache presque mes vêtements, baisse ma culotte à mi-cuisses. Placée dans mon dos, elle me pénètre enfin. Un doigt, puis deux, trois doigts. Le miroir de l’armoire me renvoie l’image obscène d’une pute qui se fait branler par une gamine vicieuse. Je prends mes seins à pleines mains et les force à ma bouche.

Je finis par m’évanouir de bonheur quand je sentis les lèvres de ma fille venir récolter le nectar qui coulait de mon intimité. Quand j’ouvre de nouveau les yeux, je suis allongée sur le dos, cuisses largement écartées. Céline est au-dessus de moi, sa bouche frénétique fouille délicieusement ma vulve. Sa petite chatte à portée de mes lèvres.

Je ne pouvais détacher mon regard de sa petite fente. Je ne pouvais résister à l’envie de l’embrasser à mon tour et de lécher ce jus que je voyais s’accumuler à l’entrée. Je prenais donc son clito entre mes lèvres et, d’un coup de langue très sûr, j’essuyais toute cette mouille que j’appréciais tant.

Elle fut si surprise, ou bien la sensation était si puissante, qu’elle eût un soubresaut en poussant une plainte. Je stoppais immédiatement, inquiète.

« Oh non, maman. Continue, s’il te plaît. Tu me fais terriblement plaisir « .

Je ne me privais donc pas pour aspirer ce bouton d’amour et boire à la source ce breuvage sublime. J’y trouvais autant de plaisir qu’elle en avait à me butiner. Nous étions en parfaite communion, chacune sachant si bien faire durer le plaisir de l’autre, et réciproquement.

C’est Céline qui flancha la première. Comprenant qu’elle ne pouvait plus stopper la vague de plaisir qui montait en elle, elle accéléra ses coups de langue. J’en fis autant et c’est ensemble que nous avons joui l’une de l’autre.

Il s’en est suivi un intense moment de bonheur partagé. Céline se tourna et vint m’embrasser à pleine bouche, mélangeant nos liqueurs intimes dans la danse effrénée de nos langues. Puis elle glissa contre moi, gardant une main sur ma poitrine, en attendant le sommeil qui ne devait pas tarder.

Je commençais à somnoler moi aussi quand j’ai cru percevoir des sanglots. Passant ma main sur sa joue, je la trouvais mouillée de larmes. Je lui demandais, à l’oreille, la raison de son chagrin. Elle me répondit qu’elle était très heureuse, mais remplie de honte pour avoir utilisé mon corps ainsi.

« Ma chérie. C’est moi, ta mère, qui devrait avoir honte de ma faiblesse. Tout ce que nous avons fait, nous le voulions vraiment. Personne n’a forcé l’autre. Tu m’as avoué que tu m’aimais. Je peux te dire maintenant que, moi aussi, je t’aime plus que tout. Tu es ma fille chérie, et mon amante ».

 » Il n’y a aucun mal dans ce que nous avons fait. Et l’amour n’est jamais sale. Nous nous aimons, un point, c’est tout. C’est la société qui devrait avoir honte d’empêcher deux personnes de s’aimer librement. Nous ne pourrons pas vivre notre amour au grand jour. Et bien soit. Nous devrons nous cacher. Ce sera notre secret « .

Rassurée par mes paroles, et surtout par mon aveu, elle me fit un tendre baiser sur la joue avant de sombrer dans le sommeil. Je ne tardais pas à la rejoindre, comblée dans mon esprit et dans ma chair.

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