Cougarland (02/06)

Elle s’amusa avec mes tétons déjà durs et sentit très vite à quel point j’étais sensible à cet endroit précis. Elle insista et je compris que, elle aussi, elle devait apprécier cette caresse. Je quittais sa bouche à regret pour approcher mes lèvres de sa poitrine volumineuse. Le soutif fermait avec une attache entre les seins, que je défis rapidement pour prendre en bouche l’un de ses tétons, tandis que ma main caressait l’autre. Elle s’adossa au dossier du canapé et s’abandonna au plaisir de cette caresse buccale. Je changeais régulièrement de tétons pour les voir grossir, encore et encore.

Je sentais le plaisir monter en elle mais elle en voulait plus, elle ne voulait pas jouir comme ça, pas tout de suite. Elle pressa mes épaules pour que ma bouche se trouve en face de son minou. J’écartais le fin tissu de la culotte pour enfin lécher cette petite chatte en chaleur. Au premier coup de langue, elle tressaillit. Je léchais ses lèvres intimes et aspirais son clito, si bien qu’elle jouit très rapidement dans ma bouche. Pas grave, je buvais tout, aspirais les moindres gouttes, et continuais de lécher et aspirer toute sa chatte.

L’orgasme suivant mit plus de temps à venir, mais fut beaucoup plus fort que le premier. Cela ne m’arrêta pas pour autant. Continuant de tout nettoyer, mes mains s’occupaient aussi de sa poitrine, faisant tourner les tétons dans ma paume. Puis, je m’occupais de ses fesses, les malaxant, les écartant et soudain, je rentrais deux doigts dans son anus.

La surprise la fit jouir pour la troisième fois de suite, et là, elle cria grâce, éloignant ma bouche de son entrejambe. J’acceptais, mais je caressais sa poitrine de mes deux mains. Elle me laissa la téter aussi, me rappelant ma première expérience avec une infirmière. Je glissais une main entre mes cuisses pour jouir enfin de ce moment divin.

Elle se remit doucement de ce triple orgasme, se leva pour se servir un whisky, et pour moi, une vodka, bien sûr. Je commençais à me sentir ivre, d’alcool et de plaisir réunis. Nous sommes restées parler un long moment. Elle m’apprit qu’elle s’appelait Murielle, et que, pour en avoir parlé déjà, certaines de ces amies ne seraient pas déçues de passer un pareil moment avec moi. Que jamais elle n’avait rencontré une jeune fille qui aimait autant les femmes.

Je lui appris à mon tour que j’étais lesbienne, exclusivement, que jamais un homme ne m’avait touchée, et que ce n’était pas près d’arriver. Elle se mit à rire devant mes certitudes, repensant à elle, jeune fille, avec les mêmes certitudes, qu’elle avait abandonnées pour un peu plus de conformisme. Se marier, puis divorcer, avoir des enfants, puis des aventures sans lendemain avec de jeunes étudiantes. Tout ça pour entrer dans le moule. Être comme tout le monde, quoi.

Elle se leva, ouvrit un tiroir, puis se ravisa et en ouvrit un autre duquel elle sortit un billet de 500 €, qu’elle me donna, pour service rendu. Je refusais, lui disant que c’était trop, mais elle insista, prétextant que je les méritais bien. Puis elle me demanda mon numéro de téléphone, que je lui donnais évidemment, afin qu’elle puisse me joindre plus facilement, en cas de besoin de câlins.

Elle me précisa qu’elle parlerait de moi à une ou deux amies très proches, pour les mêmes services (et tarifs). Puis elle me raccompagna à sa porte mais, avant d’ouvrir, me roula une de ces pelles, je ne vous raconte même pas. Puis une tape sur les fesses et la porte était refermée.

Je rentrais dans mon petit appart, seule mais heureuse de cette rencontre, que j’imaginais sans lendemain. Le mercredi suivant, un appel. Je réponds comme à mon habitude, car très peu de gens peuvent m’appeler à ce numéro.

–Bonjour ma douce, c’est Murielle.

Je faillis répondre : « Qui ? »

–Bonjour Murielle, tu vas bien ?

–Oui, je vais bien, merci. En tout cas, beaucoup mieux depuis que je t’ai rencontrée. À ce propos, j’aimerais te présenter une de mes amies très chère. Elle s’appelle Nicole et brûle de te rencontrer elle aussi. Serais-tu libre en début de soirée ? 18 heures chez moi ? OK ?

–OK, donc à tout à l’heure, Murielle.

J’avais rendez-vous pour ma première « passe » en tant que pute, lol. Je quittais la fac un peu plus tôt, prétextant un malaise et rentrais chez moi me préparer. Après une bonne douche, le choix des vêtements. Pas trop provoquant, et pas trop sage non plus. Je finis par mettre une minijupe, beige et un top vert. Pas de soutif. Et pas de culotte non plus.

Je me rendis ainsi chez ma nouvelle amie et sonnait à l’heure dite. Elle m’ouvrit et me félicita pour mon exactitude. Puis me guida vers le salon que je connaissais déjà. Nicole se leva pour me faire la bise à son tour. Mais sa main, dans mon dos, se posa sur mes fesses pour les flatter. Puis elle se rassit, face à moi qui pris place dans un fauteuil. C’était une jolie femme, rousse alors que Murielle était brune, sans doute du même âge qu’elle.

Puis nous avons fait connaissance, Murielle raconta comment l’on s’était rencontrée, moi, je parlais de mes études (Sciences économiques) et Nicole m’apprit qu’elle était chercheur (oui, au masculin, hélas) dans une antenne du CNRS, ici, à Rennes. Elle était très joviale et me plaisait déjà. Ne sachant pas trop comment continuer, je changeais de position dans mon fauteuil et, pour ce faire, je dus écarter les cuisses. Et Nicole, les yeux toujours aux aguets, avait vu ce que je ne voulais pas lui cacher.

–Quoi ? Quoi ? Quoi ? Mademoiselle ne porte rien sous sa mini ?

Et, joignant le geste à la parole, s’agenouilla devant moi et écarta mes cuisses pour vérifier qu’elle n’avait pas rêvé. Je la laissais faire, évidemment, me piquant au jeu de la maman qui grondait sa fille pour une tenue inadéquate. D’ailleurs, elle-même, dans cette position, offrait à ma vue son entrecuisses, gainé de bas noirs et une vue plongeante sur son décolleté. Nicole jeta un regard vers son amie, avant de disparaitre entre mes cuisses. Sa langue était vraiment délicieuse, experte.

Murielle avait dû la « briefer » aussi sur mes goûts car ses mains remontaient sous mon top, jusqu’à mes tétons, qu’elle se mit à triturer dans tous les sens, pour les faire durcir sous ses doigts. Murielle nous regardait, amusée. Puis au bout d’un moment, sa main droite disparut sous sa jupe longue tandis que l’autre malaxait ses seins. Moi, j’étais aux anges avec cette tête rousse entre mes cuisses. Quand sa langue, fouineuse, alla caresser la rondelle de mon anus, je ne pus réprimer un spasme qui se transforma en un délicieux orgasme.

Nicole aspira tout, n’en perdant pas une goutte de ce précieux nectar. Puis, les lèvres encore enduites de ma mouille, vint m’embrasser à pleine bouche. Un murmure et je compris que Murielle venait de jouir à son tour.

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