Marie-Rose a été vraiment surprise de voir les deux hommes copuler ensemble. Puis, elle a compris lorsque Fernand la prenait en levrette. Lorsque sa queue a doublé de volume, elle s’est retournée pour voir un Luis souriant qui enculait son amant. C’était Luis, par ses grands coups de queue, qui la baisait. Sa chatte distendue par la queue devenue monstrueuse de Fernand la remplissait totalement. Les deux hommes ont continué ensemble, et les quatre femmes aussi. Même si j’aime beaucoup Fernand et Luis, Agathe et Inès sont des partenaires incomparables. Avec Marie-Rose en plus, j’étais comblée. Vu que désormais, elle partageait ma vie, je me devais de lui présenter mes amis. Je contactais Myriam pour savoir si elle était disponible le mercredi après-midi. Sa fille avait sport, danse classique, et elle préférait se débrouiller seule pour s’y rendre. Donc oui, elle était disponible pour que je vienne la voir. J’arrivais juste avant 14 heures chez elle. Elle ne vit pas immédiatement Marie-Rose qui m’accompagnait. Elle attendait ma venue avec une impatience telle qu’elle avait quitté ses vêtements, portant simplement une robe de chambre par-dessus ses sous-vêtements. Je la fis reculer dans l’appartement pour laisser entrer mon amie. Myriam tenta vainement de refermer sa robe de chambre que j’avais ouverte. Je la gardais bien ouverte en lui présentant Marie-Rose. Elle cessa de se défendre lorsqu’elle comprit que cela n’avait aucune importance, Marie-Rose avait déjà tout vu. Et, me connaissant, elle se doutait qu’elle en verrait encore plus. Elle laissa donc Marie-Rose lui poser deux bises sur ses joues. Les mains déjà baladeuses se posant sur ses hanches pleines. Le ton était donné et je fis glisser le vêtement de ses épaules. Je passais derrière Marie-Rose pour faire descendre sa robe jusqu’en bas. Les deux femmes étaient désormais à égalité. Je les guidais vers le salon tout proche. Pendant que je me déshabillais, elles avaient entamé un baiser endiablé. Leurs mains parcourant inlassablement le corps de l’autre. Chacune se découvrant l’une et l’autre.
Je tournoyais autour d’elles, dégrafant l’un des soutien-gorge, puis le second. Elles se pelotaient amoureusement, je caressais leurs fesses, entrais ma main sous le tissu. Doucement, les culottes arrivèrent à mi -cuisses, avant de glisser jusqu’aux chevilles. Le couple devint un trio, pratiquement indissoluble, nous ne formions plus qu’un seul corps. Nous avons fini par atterrir sur le canapé tout proche, Myriam au milieu de nous. Tandis que je m’attardais sur sa voluptueuse poitrine, Marie-Rose glissa au sol, entre ses cuisses grandes ouvertes. Nouveau concert de gémissements, Myriam était cajolée comme jamais. Quand elle a pu parler de nouveau, c’est pour nous entraîner dans sa chambre. Et c’est Marie-Rose qui a été comblée de nos caresses incessantes. Et incandescentes. Il nous a fallu attendre beaucoup de temps pour la faire jouir intensément car elle se retenait parfaitement bien. Malheureusement, il était un peu tard pour un dernier round où j’aurais été au centre de toutes les attentions. Nous savions déjà que ce n’était que partie remise. La petite arriva de son cours de danse et nous trouva dans le salon, sirotant un thé.
La semaine suivante, c’est Léa, la grande sœur de Ludivine, qui m’a contactée. Elle venait d’apprendre que j’étais enceinte et tenait à me féliciter. Elle m’invita à passer la voir, un soir après mon travail. Je ne cachais pas à Marie-Rose que ce premier rendez-vous chez elle allait sûrement dégénérer. Il y en aurait certainement d’autres ensuite où là, je pourrais l’inviter à nous rejoindre. Quand j’arrivais chez elle, elle vint m’ouvrir en tenant sa fille dans ses bras. Sa poitrine était légèrement découverte puisqu’elle donnait le sein à son bébé. C’est un spectacle ravissant, une mère qui nourrit son enfant. Quand la petite fut rassasiée, elle la recoucha dans son couffin où elle s’endormit presqu’aussitôt. Léa n’avait toujours pas refermé son corsage et je profitais de la vue offerte. Mieux, vu que c’était certainement ce qu’elle attendait, je finis d’ouvrir son décolleté pour voir ses seins voluptueux. L’un d’eux semblait encore plein de bon lait maternel et, comme j’avais vu son mari le faire, je me mis moi aussi à la tétée. Elle accepta mon initiative en plaçant une de ses mains sous la tête, pour me guider. Mais son autre main ne resta pas longtemps inactive. Elle retroussa ma robe et s’immisça sous les collants, directement dans ma culotte. Elle avait certainement une réelle expérience avec d’autres femmes car elle savait parfaitement me faire monter dans les tours. Je n’osais pas lui demander si c’était avec Ludivine qu’elle avait appris à si bien donner du plaisir à une autre femme. Ou bien ses cours à l’université ? Toujours est-il qu’elle était vraiment douée. Je lui promis, évidemment de revenir très souvent. Et même très prochainement, avec une surprise de taille. Je pensais évidemment lui amener Marie-Rose.
Côté travail, je reçus une mauvaise nouvelle, puis une autre plutôt bonne. J’allais quitter cette direction départementale pour rejoindre la nouvelle organisation du SGCD. Francis, le directeur, avait lui aussi obtenu une promotion et devait partir courant janvier. Je regrettais évidemment son départ, nous avions vécus de merveilleux moments ensemble. La très bonne nouvelle, c’est que c’était Wilfried, son ami, qui viendrait le remplacer. Carole, la secrétaire de direction, l’avait déjà rencontré lors du séminaire, en Août dernier. Et elle en avait gardé un très bon souvenir. Je rappelle que c’est elle que Francis avait emmené, vu que moi, j’étais en vacances. Ils avaient fini à trois dans la chambre du directeur, pour une nuit de folie. Carole, qui m’avait annoncé cette nouvelle, me confirma que son couple n’allait pas bien depuis très longtemps et qu’elle avait décidé de divorcer. Elle serait donc beaucoup plus disponible pour son nouveau directeur. Je le connaissais un peu et je doutais que cette aventure ait un réel avenir. Par contre, je connaissais une femme célibataire qui ferait son bonheur à lui. Myriam. Il me faudra simplement trouver un moyen pour qu’ils se rencontrent, l’un et l’autre. Les semaines à venir allaient m’apporter énormément de changements, tant dans mon corps que dans ma vie personnelle. Et professionnelle. Mais ne dit-on pas que le changement, c’est nous. Le changement ne doit pas venir d’une autre personne que nous. Nous sommes ceux que nous attendions. Nous sommes le changement que nous recherchons.
« Tous les changements, même ceux qui sont le plus souhaités, amènent leur mélancolie avec eux. Car, ce que nous quittons, c’est une partie de nous-mêmes. Il faut mourir à une vie pour entrer dans une autre. »
Anatole France « Le Crime de Sylvestre Bonnard »