SABRINA (06/07)

Ce faisant, elle m’offrait à son tour ses fesses et sa petite chatte que je m’empressais de remplir. En-dessous d’elle, Inga avait dégagé une main et me doigtait l’anus. Écoutant les halètements de l’une et l’autre, nous avons réussi à jouir en même temps. Après un peu de repos, c’est le cul de la jeune néerlandaise que je défonçais allègrement. Pour son plus grand plaisir. La petite main d’Amber s’occupait de sa chatte. Un doigt, deux, puis trois. Bientôt quatre. Encore un petit effort et c’est la main entière qui fut engloutie. Inga râlait de plaisir de manière ininterrompue. Son orgasme fut tellement violent qu’elle faillit tomber dans les pommes. On la laissa se reposer un peu et reprendre des forces. Amber me demanda timidement si je pouvais lui déflorer le cul. Elle venait de voir à quel point cela pouvait être jouissif. Elle me supplia de faire en douceur, sans douleur. Ce que je lui promis. Je la mettais en position et débutais par une feuille de rose. Elle ne connaissait pas encore mais semblait apprécier au plus haut point. Après ma langue, c’est mon doigt qui la pénétra tendrement. Je tournais dans tous les sens pour l’élargir et donner accès à un second doigt.

Sa chatte commençait à couler abondamment, preuve qu’elle était prête à aller plus loin. Je frottais le gode contre ses lèvres vaginales pour en récolter le lubrifiant nécessaire à l’enculage. Je posais le gland sur la rondelle, sans forcer outre mesure. Juste le maintenir en position. Impatiente Amber. C’est elle-même qui forçait pour que je prenne possession de son cul. À son rythme, sans aucun mal, je finis par toucher ses fesses. J’étais bien au fond de son cul. Elle-même en fut la première surprise. Je me mis à aller et venir dans son conduit étroit. Ce fut pour elle une véritable révélation pour Amber. Elle me suppliait de la prendre plus sauvagement, ce que je fis avec grand plaisir. Accrochée à ses hanches, je l’enculais bien profond, cherchant à aller plus loin chaque fois. Elle ne résista pas bien longtemps à un tel traitement. Le tsunami qui l’envahit la laissa sans voix. Comme notre partenaire tout à l’heure, elle faillit perdre connaissance sous l’effet du plaisir immense. Je me libérais du gode ceinture pour la cajoler en compagnie de Inga. Finalement, on la laissa un peu tranquille pour s’offrir un nouveau 69 entre nous. J’étais dessous, puis dessus. Je sentis alors deux mains se positionner sur mes hanches, et une queue s’approcher de mes lèvres intimes. Qui s’ouvrirent pour laisser le gode investir la place.

Amber me baisa longtemps mais sans me faire jouir. Elle ralentissait le rythme quand elle me sentait prête à succomber. Puis elle repartait de plus belle. Ses deux pouces s’introduisent dans mon anus pour faire la place au gode qui les remplaça rapidement. Une fois bien au fond, elle se déchaîna sur moi, me faisant jouir au moins deux fois. Peut-être trois. J’ai vite perdu pied. La nuit se passa ainsi, de plaisir en jouissance extrême. Nous avons toutes profité les unes des autres, sachant pertinemment que nous ne nous reverrions sans doute jamais. À moins que … Nous avons réussi à dormir un peu. Une douche commune et petit déj avant de regagner l’aéroport en taxi. Nous étions côte à côte en zone de transit. Inga nous quitta la première, après que l’on ait échangé nos coordonnées, et un très long câlin. Je restais seule un moment avec Amber. Elle me parla un peu de sa vie à Londres où elle travaillait. Son plus gros problème étant les transports en commun. Plus d’une heure matin et soir. Quand elle finissait tard, elle craignait de faire de mauvaises rencontres, des mecs bourrés par exemple. Je lui expliquais que j’avais une amie qui vivait en plein centre de Londres, ou presque. Et qu’elle serait ravie de l’accueillir de temps en temps.

« She’s named Stéphanie, and she’s lesbian too ».

Un sourire illumina son visage. Elle était définitivement conquise. Elle m’avoua que, outre les transports, son problème le plus flagrant était sa timidité qu’elle cachait plutôt bien. Jamais, elle n’avait osé aborder une autre fille, pour faire connaissance, ou plus. Toutes ses expériences venaient de filles qui l’avaient draguée. La seule exception, c’était moi. Mais dans des conditions qui faisaient qu’elle avait confiance, qu’elle ne se trompait pas. Son vol fut annoncé et elle me quitta, presque en pleurs. Elle m’appelait  » Sister ». Mon vol ne tarda pas et je m’envolais, direction Nice Côte-d’Azur. De retour chez moi, je fus accueillie par une Sophie en manque d’affection. Une semaine sans me voir, une semaine sans sexe. Nous avons fait l’amour pendant des heures, doux moments partagés. J’étais parfois tendre avec elle, parfois plus sauvage mais elle adorait ces deux facettes. Nous avons pris notre douche ensemble pour nous préparer pour la soirée, programmée depuis longtemps avec Annabelle et Florette.

Restaurant et boîte de nuit. Mais pour cette soirée, j’avais envie de changement. C’est rare quand ça m’arrive maintenant mais j’avais envie d’un homme, d’un beau mâle qui saurait me remplir, et me combler. Vous qui me connaissez bien maintenant, vous devez vous douter que cela est très facile pour moi d’allumer un mec et finir la nuit chez lui. Je laissais donc Sophie aux bons soins de Florette et Annabelle et suivis mon prince du soir. Il s’appelait François. Arrivés chez lui, il me proposa un verre. Je me suis approchée de lui, langoureusement. Sans réfléchir, je l’ai embrassé à pleine bouche. On n’avait plus besoin de parler. Nos mains parlaient pour nous. Ses mains, justement, sont venues se poser sur mes jolies petites fesses et il s’est mis à les caresser doucement. Très vite, il souleva ma minijupe pour me peloter à même la peau. L’avantage du string. J’avais ma cuisse entre ses jambes et je sentais à quel point je lui faisais de l’effet. La jolie bosse qui déformait son pantalon ne cessait de grossir et de durcir. Un léger mouvement de haut en bas faisait rouler son mandrin contre ma cuisse. Il semblait apprécier. Je voulais sentir ses doigts sur mon clito enflammé, ses mains sur mes seins, ou mes fesses, mais surtout, c’est sa queue bien raide que je voulais sentir en moi, implantée au plus profond de ma petite chatte.

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