Patricia, l’agent de sécurité, jubilait intérieurement. Elle aussi était ravie d’avoir une telle « Cliente » entre ses griffes. Elle regarda la femme de haut en bas, puis de bas en haut.
« Il y aurait bien un moyen mais … Non, laissez tomber. Ce n’est pas possible. »
« Dîtes toujours. J’ai bien dit que j’étais prête à tout pour régler cet incident. »
Patricia posa enfin son stylo et se leva. Elle tourna doucement autour de sa proie, sachant déjà qu’elle avait gagné.
« Vous êtes vraiment sûre … ? »
« Tout à fait sûre de moi. »
« Je n’ai jamais vu ce qui se cachait en-dessous des vêtements des bourgeoises qui, comme vous, viennent promener leurs popotins dans ce magasin. Pouvez-vous ôter votre veste ? »
Aussitôt demandé, aussitôt effectué. La jupe suivit, puis son joli corsage. Elle était en sous-vêtements devant nous, prête semble-t-il à aller beaucoup plus loin. Elle eut tout de même une légère hésitation avant d’ôter son soutien-gorge, qui rejoignit le reste de ses vêtements. Patricia fit de nouveau le tour de sa proie, sans chercher à la toucher, à la caresser. Elle se trouvait juste derrière elle lorsque, en s’approchant d’elle, elle lui murmura à l’oreille.
« Pour le dernier vêtement, je vais m’en charger toute seule, si vous en êtes d’accord. »
Aucune réponse, elle acceptait tacitement d’être touchée par elle. Tendrement, elle posa ses mains sur les épaules de la femme, en caressant l’arrondi, avant de descendre sur ses bras. Elle effleura les tétons au passage près de la poitrine mais continua sa route sur le ventre. Les deux mains bien à plat arrivèrent à la limite de la culotte. Je voyais la femme qui frémissait. Était-ce de peur, ou bien d’envie ? Les deux mains auraient pu pénétrer la culotte immédiatement. Au contraire, elles glissèrent sur le côté. Seuls les pouces passèrent sous le tissu, faisant baisser le vêtement très bas sur les fesses. Je savais qu’elles étaient dénudées, devant, je commençais à apercevoir sa toison, noire. Patricia caressait allègrement la partie charnue à sa disposition. Puis subitement, elle baissa la culotte jusqu’aux chevilles. Satisfaite par la soumission extrême de la femme, elle se releva et se remit à malaxer les seins exposés. Je m’approchais pour glisser deux doigts entre les cuisses ouvertes de la soumise. Elle était trempée. Son regard était suppliant. Je ne comprenais pas vraiment si elle voulait que j’arrête ma caresse ou bien au contraire, que je la fasse jouir enfin, intensément. J’optais évidemment pour la seconde hypothèse et je continuais à la doigter. Sa bouche entrouverte semblait chercher de l’air.
Patricia lui pinça très fort, semble-t-il, les tétons. Elle tourna la tête vers sa persécutrice qui l’embrassa à pleine bouche. Elle était entièrement disposée à nous obéir et je m’accroupis devant elle. Ma bouche remplaça mes doigts et je reçus presqu’aussitôt le fruit des caresses que nous lui avions prodiguées. Un flot ininterrompu de cyprine vint remplir ma gorge. J’avalais tout ce que je pouvais et elle continuait à jouir puissamment. C’était comme si nous avions ouvert les vannes de son plaisir, jusque-là toujours contenu. Pendant qu’elle l’embrassait fougueusement, Patricia avait attrapé la main droite de la femme pour la glisser sous sa culotte, elle avait ouvert le devant de son pantalon d’uniforme. Mais elle en voulait beaucoup plus. Elle prit place sur la table, après avoir baissé pantalon et culotte, et attira la bouche de sa soumise entre ses cuisses. Elle résista un peu, pour la forme, mais très vite elle lécha la chatte qui lui était offerte. J’avais dû me déplacer derrière elle et j’avais une vue imprenable sur son cul merveilleux. Tout en caressant son clitoris d’une main experte, je jouais avec son petit trou brun. Elle bougeait son cul de droite à gauche, comme pour éviter cette caresse malsaine. Mais moi, cela m’excitait encore plus et j’insistais longtemps avec ma langue qui finit par la pénétrer.
Comme une petite bite, ma langue allait et venait dans son anus qui se distendait petit à petit. Un doigt, puis deux. Elle était prête pour une véritable sodomie. Je me relevais pour être plus à l’aise. Mes deux doigts allaient et venaient au plus profond que je pouvais. De ma main libre, je pouvais jouer avec ses gros seins qui pendaient sous elle. Patricia avait ouvert son corsage et se caressait les seins. Je remarquais que la soumise, obéissante à souhait, avait passé une main entre ses cuisses et se doigtait toute seule. Ce n’était que soupirs et gémissements dans la pièce. Patricia fut la première à jouir, suivie de très près par la soumise. Elle s’allongea sur la table et plaça la soumise juste au-dessus de sa tête qui dépassait de la table. Je me plaçais entre ses cuisses pour lui offrir un second orgasme, tandis qu’elle buvait à la source, le plaisir de cette femme inconnue. Pour finir, c’est la soumise qui fut allongée sur la table et nous qui profitions de ses charmes. Elle avait les yeux hagards lorsqu’elle se redressa après un ultime orgasme. Nous l’avons rhabillée nous-mêmes. C’est volontairement que je mettais son soutien-gorge à l’envers. Patricia fit de même avec la culotte. On laissa la femme repartir par la porte d’entrée des employés.
Pour me remercier de ce merveilleux moment, Patricia se mit à genou devant moi et m’offrit un magnifique cunni. Pour en finir avec cette femme, dont je cacherais la véritable identité, nous l’avons forcée, un peu. Elle avait encore le choix de se défendre devant la justice. Mais j’ai appris par Patricia qu’elle revient maintenant chaque semaine. Elle a besoin de se sentir utilisée. Par Patricia. Et par son collègue masculin. Elle a ainsi connu sa première sodomie, pendant qu’elle donnait du plaisir à Patricia. Un autre jour où Patricia était en vacances, il y avait son collègue habituel avec un autre homme. Ce jour-là, elle a connu sa première double pénétration. Un devant, l’autre derrière. Personnellement, je ne l’ai jamais revue, ni au magasin, ni même dans les couloirs de la Préfecture. Ce n’est nullement un regret, je revois Patricia de temps en temps et j’y suis même allée en compagnie de Marie-Rose, vu qu’elle partage ma vie, désormais. En parlant de partage, elle a également rencontré Agathe et Fernand, son mari. Puis, un autre jour, Luis et Inès sont arrivés.