Chaque semaine, toujours le même protocole. Elle revient chez sa mère pour s’offrir volontiers à son amant, avant de l’enculer. Chacun et chacune y trouve son compte, c’est la vie rêvée pour tous. Mon arrivée cette semaine n’avait apporté que plus de plaisir à tous. Même si j’avais bousculé un peu leurs habitudes. Car Giulietta passait généralement la nuit avec eux, comme moi à ma dernière visite. Ce matin-là, Tonton Marco se réveilla avec une fameuse érection matinale. Rosaria ronflait doucement. Il se leva et, tout nu, vint s’allonger dans notre lit. J’étais face à Giulietta et lui offrait donc ma face arrière. Très vite, sa queue se fraya un chemin vers ma grotte et il me pénétra lentement. Je ne compris pas tout de suite ce qui m’arrivait, mais j’appréciais énormément ce type de réveil. Les coups de reins se firent plus rapides, plus profonds aussi. J’étais dans un état de béatitude sans nom. Les secousses finirent par réveiller Giulietta qui connaissait parfaitement ce genre de réveil matin. Elle savait pertinemment mon attirance pour ses gros seins et posa ma main sur sa poitrine tandis qu’elle suçait mon téton. Tonton n’a pas souhaité éjaculer en moi mais m’a offert plusieurs orgasmes. Il est ensuite passé derrière Giulietta et c’est dans son cul qu’il s’est introduit. Après l’avoir faite jouir deux fois, il s’est finalement vidé en elle. Rosaria, qui s’était retrouvée seule, vint nous rejoindre à ce moment-là et récolta ce qu’elle put en léchant le cul de Giulietta. Elle s’occupa ensuite du mien, sa fille lui offrant un merveilleux cunni. Tonton Marco alla prendre sa douche, il était attendu à son travail. Rosaria resta couchée entre sa fille et moi. Tandis qu’on la câlinait tendrement, elle nous parla un peu de son travail.
Il y a quelques semaines, elle avait reçu une jeune femme qui cherchait désespérément un travail. Rosaria avait enquêté avant de la recevoir. Cette jeune femme souhaitait plus que tout s’émanciper et quitter enfin le cocon familial. Pour cela, il fallait un travail pour espérer trouver après son propre appartement. Sachant tout cela, Rosaria n’hésita pas à profiter de cette jeune ingénue. Elle lui fit comprendre, dès le début de l’entretien, qu’elle correspondait parfaitement au profil recherché. Mais, après lecture de ses réponses au questionnaire logique, le ton changea. Rosaria lui expliqua que personne n’avait jamais répondu aussi mal à ce questionnaire d’embauche. La jeune femme ne savait où se mettre, les larmes au bord des yeux. Rosaria se leva pour se placer derrière elle. Jouant son rôle de maman, elle tenta de réconforter sa proie, posant déjà ses mains sur elle. La jeune fille, (appelons-la Émilia), ne comprit pas tout de suite ce qu’impliquaient ces caresses sur ses bras. Quand les mains attrapèrent sa poitrine, elle était trop déboussolée pour intervenir. Elle se laissait manipuler et elle commençait même à ressentir du plaisir. Comment cela était-il possible ? Jamais une femme ne l’avait caressée jusqu’alors. Une main habile dézippa sa robe qui glissa sur ses hanches. Elle était à moitié dévêtue et, malgré cela, elle se laissait toujours faire. À croire qu’elle n’attendait que cela. Le soutif dégrafé, sa poitrine était désormais offerte aux caresses de la RH.
Pas plus de réaction quand on l’aida à se lever, sa robe glissant à ses chevilles. Rosaria lui plaça les deux mains sur le bureau et lui écarta légèrement les jambes. Elle retourna s’asseoir à son bureau, matant le spectacle de cette jeune ingénue. Revenant sur son jugement précédent, elle lui fit espérer que son avenir pouvait s’éclaircir si elle réussissait la dernière épreuve. Émilia n’avait retenu qu’une chose : il lui restait une chance et une seule. Elle acquiesça tout en gardant la position. Rosaria passa un bref coup de fil. Une autre personne allait entrer et la trouver ainsi mais qu’importe. Elle était vraiment prête à tout accepter pour avoir un travail. C’est mon tonton Marco que Rosaria avait appelé, sans lui donner plus de détails. Il eut la surprise de sa vie en entrant dans le bureau de sa compagne. Émilia, le cul splendide offert à ses yeux, la poitrine bougeant librement sous elle. Pas un mot ne fut prononcé, les adultes dans ce bureau savaient exactement ce qu’ils devaient faire.
Tonton Marco baissa la culotte, dernier rempart, et lui offrit son premier cunni. Rosaria s’occupait des seins aux tétons fièrement dressés. Émilia avait accepté d’emblée tout ce qu’on lui ferait mais, curieusement, elle était flattée de servir de défouloir pour ce couple de pervers. Je connais parfaitement le talent de mon tonton avec sa bouche et je suis certaine que c’est cela qui la libéra totalement. Consentante pour tout ce qu’ils voudraient, elle avait abandonné toute volonté. Se concentrant uniquement sur le plaisir qui commençait à l’envahir. Les avant-bras posés sur le bureau, la tête baissée, Émilia laissa l’orgasme dévastateur la prendre et l’emmener vers les paradis artificiels. La tête posée sur ses bras, elle récupérait lentement pendant que Rosaria aspirait ce qu’elle pouvait de sa chatte, se régalant du mélange des gouts. Elle eut un second orgasme sous les caresses linguales de la RH. Elle réagit pourtant rapidement en l’entendant lécher la queue de son amant. Et c’est ensemble qu’elles aspirèrent les dernières gouttes de sperme. Émilia a bien sûr été engagée et elle passe souvent par le bureau de la RH, celle-ci étant seule, ou pas. Elle a également trouvé un appartement. Ce que Rosaria ignorait, c’était que le propriétaire de cet appart n’était autre que mon tonton. Il passait souvent le soir pour se vider la tête, et autre chose, lol.
Rosaria avait posé sa journée pour profiter de sa fille, et de moi. Nous sommes restées jusqu’au soir à se câliner les unes, les autres. Jusqu’au retour de Tonton Marco. Nous avons raccompagné Giulietta chez sa patronne avant de retourner dîner avec le reste de la famille. Je me laissais volontairement pousser vers le coin le plus sombre de la salle principale et, entourée par Rosaria et Marco, je laissais leurs mains déambuler entre mes cuisses. Je restais stoïque au maximum, évitant de laisser voir mes orgasmes successifs. Plus tard, après la soirée télé, je faisais un bout de chemin avec eux. Invisibles de la maison, je laissais une fois de plus Rosaria m’embrasser à pleine bouche. Tonton Marco osa enfin se coller contre mes fesses et me peloter la poitrine. Il ne pouvait ignorer à quel point cela me faisait plaisir. Toutes les bonnes choses ont une fin. Je décidais de rester une semaine encore, histoire de repasser une nuit complète avec Giulietta. Et bien évidemment la soirée avec Tonton Marco et Rosaria. Mamma resta elle un mois supplémentaire. Parfaitement remise, je la retrouvais à l’embarcadère. Durant cette dernière semaine, j’ai eu plusieurs fois l’occasion de revoir Sylvia et Donna, et Giulietta. Pas une seule fois, Sylvia ne demanda des nouvelles de Carrie qui l’avait pourtant si bien servie pendant des années.