« Mais ce n’est pas … »
Je compris à ce moment-là que ce n’était qu’un jeu, une nouvelle forme de soumission. M’accuser d’un délit avant de me punir par là où j’avais péché. Je baissais la tête, honteuse un peu quand même que la jeune Albane lui ait tout raconté.
Laura était assise à mon côté et posa sa main sur mon genou, qu’elle tira vers elle. Orlane en fit autant. Si bien que maintenant, j’avais les cuisses complètement écartées et j’offrais la vue imprenable sur mon string à Albane, assise face à moi. Mes deux voisines soulevèrent mon tee-shirt et je me retrouvais torse nu devant les trois ados. Je ne me défendais plus depuis longtemps, j’avais renoncé à lutter contre mes désirs.
La minijupe et le string ne tardèrent pas à rejoindre mon tee-shirt et c’est entièrement nue que je me livrais aux caresses des filles. Albane avait pris la place de Laura et c’est ensemble, avec sa grande sœur, qu’elles commencèrent à me téter amoureusement. Laura s’était accroupie entre mes cuisses et me bouffait le clito comme une morte de faim.
J’étais une fois de plus, juste une poupée entre leurs mains expertes, leurs bouches gourmandes. Elles se vengeaient sur moi de toutes leurs frustrations. Laura m’avait avoué qu’elle regrettait énormément de ne pouvoir s’afficher ouvertement avec Orlane, ou avec moi. S’embrasser en public. Même simplement se tenir la main.
Elle m’avait également confié qu’elle avait eu un coup de cœur pour l’une de ses professeurs, qui bien sûr l’ignorait totalement. Dans l’intimité, elle m’avait avoué qu’elle avait revu sa tante, Clothilde. Sans me donner aucune précision, je devinais aisément ce qui s’était passé entre elles. Je n’étais nullement jalouse, mais au contraire, heureuse qu’elle s’émancipe ainsi
Les filles m’ont emmenée dans la grande chambre parentale. Cette fois, c’est Orlane qui s’est mise entre mes cuisses tandis que sa petite sœur s’était assise sur ma bouche. Je n’avais pas d’autre alternative que de lécher cette petite fente adorable. Elle a joui intensément avant d’aller reprendre une douche.
Orlane s’était placée en 69 au-dessus de moi et on se donnait mutuellement du plaisir. Laura jouait avec le cul de son amie. Un bruit, une présence. Je tournais la tête vers la porte de la chambre pour voir Jean-Jacques qui nous observait.
Orlane, sa fille, était entièrement nue, comme moi. Il ne pouvait s’empêcher de caresser la bosse qui déformait le devant de son pantalon. Le spectacle devait être très attrayant. Je tournais la tête vers Laura pour m’apercevoir que, elle aussi, elle l’avait vu. Mais cela ne l’empêchait surtout pas de continuer à jouer avec les trous offerts de sa complice.
J’ignore encore, je demanderais à Laura, si cette situation était préméditée ou non. Dans les faits, c’était d’autant plus excitant de se faire lécher et peloter sous les yeux écarquillés de mon amant. La présence de sa fille lui interdisait d’intervenir. Laura lui fit pourtant signe d’approcher du lit. Il hésita, pas très longtemps, avant de venir près du lit. Tout proche de ma tête.
Je vis avec stupeur la petite main de Laura qui remplaçait la sienne sur la bosse, devenue impressionnante. Sans doute parce que c’était juste au-dessus de mes yeux. Elle le massait tendrement, le branlait en souriant. Je pense que c’était la première fois qu’elle touchait un homme. En supposant qu’elle ne m’avait rien caché, jamais elle ne m’avait parlé d’une quelconque aventure avec un garçon, encore moins un homme.
Elle ne mit pas longtemps à baisser le pantalon. La queue semblait prête à déchirer le tissu du boxer pour se libérer de sa prison de coton. Jean-Jacques poussa un long soupir lorsque la petite main s’engouffra sous le tissu. Pour en ressortir victorieuse, une queue bien bandée entre ses petits doigts.
Elle l’approcha de la bouche, et, fatalement, des fesses d’Orlane aussi puisqu’elle était toujours sur moi. Le mâle semblait hyper excité de cette situation, le père refusait encore l’inceste. Il fut totalement soulagé quand Laura dirigea finalement sa grosse bite dans ma bouche. Orlane, étonnée que l’on ne s’occupe plus d’elle se retourna alors pour apercevoir son père. Et ma bouche qui le pompait allègrement.
Elle se plaça de telle façon qu’elle pouvait m’embrasser et lécher la hampe paternelle, quand elle n’était pas au fond de ma gorge. Je pense que mes lecteurs, hommes, comprennent le plaisir qu’a pu ressentir mon amant et c’est ce qui explique qu’il éjacula abondamment dans ma bouche.
Je ne pouvais pas tout avaler, malgré mon bon vouloir. C’est Orlane, sa fille, qui se chargea de lécher sur mon visage les excédents de foutre. Cela semblait lui plaire car elle nettoya ensuite la queue qui redevenait flasque. Pas très longtemps, sous l’action de la jeune fille. Le papa retrouva toute sa vigueur.
Laura emmena Orlane dans sa chambre pour finir leurs ébats, entre elles, me laissant enfin seule avec mon amant. Les préliminaires qu’il venait de vivre avait décuplé son envie de me baiser et, pour mon plus grand bonheur, cela dura des heures. Pendant lesquelles je ne retenais pas mes cris. Je savais, et lui aussi, que les filles nous entendaient mais, loin de nous rebuter, cela semblait me donner plus de voix, et à lui, plus de vigueur.
Plus je criais fort, et plus fort il s’enfonçait en moi, m’arrachant des cris encore plus forts. Je suis certaine d’avoir joui au moins trois fois, pendant que lui se retenait de plus en plus difficilement. C’est en levrette qu’il me finit, avant de me remplir le cul de sa virile semence. J’étais exténuée, et lui aussi. Nous sommes restés de longs moments, allongés l’un près de l’autre, tentant de reprendre notre souffle.
C’est Orlane qui vint frapper à la porte, deux heures plus tard, pour nous demander si nous voulions dîner avec elles. Machinalement, son père l’avait invitée à entrer dans la chambre, faisant une totale abstraction de notre nudité. Il réagit bien tardivement en voyant le regard de sa fille sur son sexe. Et, automatiquement, il se remémora qu’elle l’avait sucé, il y a seulement quelques heures. Il se remit aussitôt à bander sous les yeux émerveillés d’Orlane.
Le connaissant plutôt bien, je savais qu’il chercherait à se cacher. Aussi, je pris les choses en main, pour être plus précise, sa grosse bite que je branlais doucement. Je répondis à la jeune fille que nous allions les rejoindre pour dîner avec elles. Juste après avoir fini … J’ignore si elle m’a entendue, obnubilée par la main qui montait et descendait le long de cette hampe paternelle. Je voyais bien qu’elle se retenait d’approcher, de reprendre en bouche ce sexe si familier.