Mariage moderne (19/27)

Elle avait relaté son expérience à Vincent qui l’avait félicitée de son engagement. En connaisseur, il savait très bien que beaucoup de personnes sont fortes en paroles, mais qu’elles ne passent jamais aux actes. Il avait demandé à la rencontrer, en personne. Elle hésitait encore un peu. C’est une chose de parler de choses intimes, cachée derrière son écran. Voir Vincent en personne était un risque qu’elle n’était pas prête à prendre. Cédric ne demandait plus à partir sur des chantiers éloignés. Il rentrait chaque soir à son domicile. Il rendait souvent visite à sa famille, ses parents n’habitaient pas très loin de chez lui. Il y allait d’ailleurs souvent en vélo. Même si c’était le soir, la nuit. Il aimait beaucoup le sport. Le rugby, surtout. Mais le football aussi. Quand l’équipe de France jouait, il était systématiquement invité par son père. Son grand frère était là aussi à chaque fois. La mère jouait le rôle de la serveuse, elle apportait les bières avant que les hommes ne demandent. Tout se passait normalement jusqu’à ce qu’un événement, prévisible pourtant, vienne transformer les habitudes. Cédric savait que son père était un chaud lapin. Il l’avait souvent vu prendre sa femme, même s’il était présent. Lui, ou son frère. Une fois, il avait même vu sa mère, penchée entre les cuisses de son grand fils, tandis que son mari la besognait ardemment. À voir le regard de Simon, il était certain qu’elle était en train de le sucer. Et il était certain que cela se renouvela d’autres fois. Et, ce soir-là, les footballeurs français étaient vraiment endormis. La France était même menée au score et il semblait évident que ce serait une défaite pour le sélectionneur. Une de plus.

Quand sa femme arriva avec de nouvelles boissons, qu’elle posa sur la table basse, le père de Cédric l’attrapa par la taille et il souleva sa robe par-dessus sa taille. D’un geste sûr, il baissa sa culotte et il la prit sans aucune préparation. Il avait toujours fait ainsi. Elle y était habituée. Mais c’était bien la première fois devant ses deux fils présents. Elle dut ravaler un peu sa fierté pour se laisser prendre comme une chienne. Cédric assista, effaré à cette scène, sous ses yeux. Mais il n’avait pas encore tout vu. Sans doute par habitude, ou bien un geste de son mari, elle se tourna légèrement vers les cuisses de Simon qui, visiblement habitué, sortit son sexe devant la bouche. Elle l’avala immédiatement et elle entreprit de le faire jouir. Le père avait ralenti la cadence de ses coups pour qu’elle puisse faire jouir son grand garçon. Machinalement, Simon avait glissé ses mains dans l’échancrure de la robe et il avait sorti ses seins. Cédric les voyait balloter, quand Simon n’était pas en train de les tripoter.  Il ne voyait plus que ça. Les seins maternels. Sans qu’il puisse se contrôler, ses doigts bougeaient instinctivement, comme si c’était ceux de Simon qui pelotait la divine poitrine.

Il ne réagit pas immédiatement lorsque la poitrine se trouva justement à portée de ses mains. C’est presque contre sa volonté qu’il finit par poser ses doigts sur les douces mamelles. Plus rien d’autre n’avait d’importance. La maman ouvrit délicatement son pantalon et goba le sexe de Cédric. Il avait fermé les yeux depuis longtemps déjà. Il entendait les commentaires du match de foot, à la télé. Mais tout cela lui paraissait n’être qu’un rêve. Et une bouche vorace s’empara de sa queue pendant qu’il poussait un râle presque continu. Jamais il n’avait connu bouche plus accueillante, pourtant Sandrine était vraiment une experte en la matière. Ou bien, était-ce parce qu’il s’agissait de Béatrice, sa propre mère. Il l’avait déjà vue avec son père, et avec son frère, plus récemment. Aujourd’hui, ce soir, c’était à son tour de goûter aux lèvres douces et à la langue experte de celle qui l’avait mis au monde. Le père était encore plus excité que jamais en voyant son épouse, taillant une pipe à son plus jeune fils. Il redoubla d’intensité dans ses coups de rein. Il finit par jouir en elle, tandis que Cédric remplissait la gorge de Béatrice de bonne semence bien chaude. Comme c’était déjà arrivé précédemment, Béatrice resta près de son mari, collée à lui sur le canapé, jusqu’à la fin du match. Cédric n’osa pas révéler à Nadège ce qui s’était passé ce soir-là. Il garda tout pour lui, tout en redoutant la prochaine soirée foot. Ou rugby. Deux autres semaines s’écoulèrent encore, entre les visites de Sandrine et celles de Françoise. Nadège dominait l’une et l’autre et elle finissait par participer à la fin. Cédric, en bon soumis, acceptait tout ce qu’on exigeait de lui.

C’est justement lors d’une de ces séances que Sandrine apporta un grand sac de voyage, contenant tous les vêtements, trop petits pour elle ou bien qu’elle ne souhaitait plus porter. Dans le lot, Nadège était presque sûre que certains étaient neufs, achetés récemment. Des collants fantaisie, par exemple, encore emballés sous cellophane. Nadège avait commandé, via Internet, une paire de sandales pour son mari. Elle lui offrit ses nouvelles chaussures à ce moment-là. Cédric était tout ému tandis que Sandrine le travestissait. Sous-vêtements, robe, chaussures. L’ensemble était parfait. Sandrine prit même le temps de le maquiller, légèrement, pour accentuer les effets. Cédric ressemblait vraiment à une femme, à s’y tromper. Seule sa chevelure pouvait mettre un léger doute. C’est alors que Cédric avoua à sa Maîtresse qu’il avait acheté, en grand secret, une perruque, blonde. Et que ce serait le moment parfait pour l’essayer. Nadège ramena l’objet que Sandrine se fit un devoir d’ajuster sur la tête du soumis. Le résultat était frappant. Les deux femmes étaient persuadées que, s’ils sortaient tous ensemble, dans une galerie marchande par exemple, personne ne pourrait soupçonner que l’une de ces trois femmes était un homme déguisé. Sandrine exprima verbalement son envie de se promener dans la rue avec la nouvelle « Vanessa ». Une aussi belle femme blonde devait avoir un véritable prénom de femme. C’est donc ce jour-là que « Vanessa » fut baptisée. Et cette « Vanessa » était le jouet parfait pour Sandrine, autant que pour Nadège qui ne profitait de son homme que lors de ces séances particulières.

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