Giulietta participait bien évidemment à tous ces jeux pour le bonheur de sa Maîtresse, celui de la visiteuse, et le sien également. Hier, justement, une habituée de ces visites était présente avec sa bonne, sa femme de chambre. Quel joli métier, femme de chambre ! Je n’imaginais pas tout ce qui pouvait se passer dans les alcôves. J’en ai une idée bien précise désormais. Mélange de corps et de fluides, c’était une véritable orgie, selon la tradition des anciens empereurs romains. Les aventures de Giulietta m’avaient fortement émoustillée et je glissais mes mains sous sa robe. La coquine avait déjà ôté sa culotte. Je retrouvais ses fesses pleines, sa chatte parfaitement rasée, et largement humide. Deux doigts pénétrèrent immédiatement en elle. Elle ne parlait plus mais sa poitrine trahissait son état d’excitation avancée. J’embouchais un de ses seins directement à travers le tissu de son maillot. Pas de soutif non plus, cela aurait été de mauvais goût. Lol. Elle savait bien sûr que j’étais invitée et elle s’était préparée en toute connaissance de cause. Tonton Marco m’avait entendue arriver et il vint se joindre à nous. En se collant contre mes fesses, je sentais son excitation entre mes deux globes. Il se frottait contre moi, tout en me caressant les seins. De même que Giulietta, je ne portais rien sous ma robe légère. Grâce au frottement, ma robe se releva doucement, découvrant mes petites fesses. Mon tonton avait sorti sa queue de son pantalon et elle coulissait maintenant le long de mes lèvres intimes. Humidifiée par la mouille que je produisais en abondance, je me doutais bien qu’il n’allait pas rester dehors très longtemps. Un mouvement léger et elle s’engouffra en moi, d’une seule traite. Je dus me redresser un peu, Giulietta ôta son maillot. Ma poitrine désormais collée à la sienne, je l’embrassais à pleine bouche. Après de longues minutes de bonheur, je me dégageais pour laisser la place libre à Giulietta. Tonton la pénétra aussi facilement que moi pendant que je pelotais sa poitrine merveilleuse. Giulietta était prête à jouir, elle glissa un doigt coquin dans le cul de mon oncle qui ne peut retenir plus longtemps sa jouissance. Il éjacula abondamment sur le ventre et les seins de la jeune fille. Rosaria apparut juste à ce moment à la porte de la cuisine.
« Je vois qu’on ne s’ennuie pas, ici. » Dit-elle en rigolant.
Elle retourna à ses fourneaux et j’allais la saluer. Occupée devant la cuisinière, j’attrapais ses gros seins et je les malaxais amoureusement. Elle essayait de se dégager mais cela ne m’empêchait pas de continuer. Quand elle se tourna, elle vit les traces de foutre sur le corps de sa fille. Elle se pencha pour en récolter la moindre goutte. Tonton nous invita à passer au salon pour l’apéritif. Il sortit la traditionnelle bouteille de Mirto. C’est un alcool qui provient d’un fruit qui pousse sur un arbuste local. Comme Giulietta, qui buvait rarement, j’acceptais le verre tendu et les suivants. L’alcool aidant, nous laissions les mains baladeuses de mon oncle parcourir notre intimité. Rosaria arriva ensuite et, immédiatement, se plaça à mes pieds. Elle écarta délicatement mes cuisses et parvint rapidement à son but. Je me laissais porter par le plaisir que sa bouche me procurait. Elle s’équipa d’un gode ceinture et inversa nos places. Assise sur le canapé, elle m’attira au-dessus de la queue factice sur laquelle je m’empalais facilement. Tonton s’occupait lui de la jeune fille. Les genoux sur le canapé, les mains sur le dossier, elle lui présentait son cul de rêve, qu’il ne tarda pas à investir. Sa poitrine libérée dansait dans tous les sens. Tonton, qui avait déjà éjaculé, était encore plus résistant que jamais. Giulietta hurla plusieurs fois son plaisir avant qu’il ne la laisse enfin tranquille. Ce couple de pervers avait plein d’idées en tête, et nous profitions de leur expérience. Rosaria dégagea la table basse et y s’allongea sa fille, moi par-dessus, mais tête-bêche. Inutile de nous ordonner de nettoyer l’autre, nous en avions réellement envie. Vue ma position, c’est mon cul qui était désormais disponible et mon tonton en profita allègrement.
Rosaria avait réussi à ôter la jupe de sa fille ainsi que ma robe. Les deux jeunes étaient nues, face aux anciens toujours habillés. Giulietta et moi avons réussi à jouir en même temps. Nous sommes passées à table, sans nous rhabiller. Rosaria tournait autour de la table, pour nous servir, mais aussi pour nous peloter. Tonton Marco se levait lui aussi régulièrement pour remplir nos verres, et nous peloter également. Nous étions maintenues dans un état d’excitation permanente. À la fin du repas, direction la chambre pour le dessert. Tonton, sa bouche entre mes cuisses, et Rosaria entre les cuisses de Giulietta. Nous avons joui une nouvelle fois. Après un moment de répit, c’est Giulietta et moi qui avons été équipées d’un gode ceinture. À ma grande surprise, tonton offrit son derrière à la fille de sa compagne. Apparemment, c’était loin d’être la première fois. Pour ma part, je m’occupais à nouveau de Rosaria. Classiquement, en missionnaire. Les yeux dans les yeux, je vis monter en elle le plaisir. Puis je la retournais pour prendre son gros cul. Je ne me privais de la baiser jusqu’à l’entendre gueuler sa jouissance. Elle était exténuée. Je me retrouvais derrière le cul de Giulietta que je prenais de nouveau avec un immense plaisir. Tonton Marco n’en pouvait déjà plus. Mais les coups de reins puissants que je donnais se répercutaient au plus profond de son cul. Il éjacula abondamment sur la serviette qui, heureusement, reçut toute sa semence. Giulietta et moi avons regagné la chambre voisine, les laissant dormir et récupérer tranquillement. Mais elle et moi, avons continué encore pendant des heures. Elle avait droit à une journée de repos par semaine et, comme souvent, elle venait chez sa mère.
Elle n’était plus vierge depuis longtemps. Un petit voyou de son école l’avait déflorée. Rosaria s’en était aperçu très vite et n’avait, depuis ce jour-là, plus aucun scrupule à l’utiliser pour son plaisir personnel. Elle avait compris également que, pour fidéliser autant que faire se peut, son nouvel amant, elle devait lui offrir plus que les autres femmes. Son cadeau, c’était Giulietta. Tonton Marco n’en revenait pas de cette offrande qu’il accepta bien évidemment. Giulietta n’avait connu qu’un seul garçon avant lui et la découverte de sa queue monstrueuse fut un choc. Elle comprit rapidement pourquoi sa mère, et tant d’autres femmes de la petite ville, appréciait ce vieux vicieux. Il l’avait baisée, puis enculée. C’est sous l’impulsion de Rosaria qu’il offrit son derrière à la jeune fille. Ce fut une révélation pour les deux protagonistes.