Et, sans hésiter, elle s’agenouilla devant lui et elle le prit en bouche immédiatement. Marc fut agréablement surpris par son initiative. Il savait qu’elle était encore innocente, et très catholique. C’était certainement la première fois qu’elle faisait cela. Il en fut presque fier, qu’elle l’ait choisi, lui. Pour une novice, elle avait, semble-t-il, une technique irréprochable. Il devra lui demander comment elle a appris tout ça. En attendant, il profitait de cette bouche généreuse et gourmande qui l’aspirait divinement. Luana reproduisait exactement ce qu’elle avait vu, sur l’écran de l’ordinateur. Et Marc se disait qu’il n’était pas possible que ce soit sa première fois. Le plaisir le prit par surprise et il n’a pas eu le temps de prévenir sa partenaire. Il avait pourtant posé sa main sur la tête de Luana pendant qu’il éjaculait abondamment. Totale surprise pour la jeune femme, puisqu’elle n’avait pas vu la suite de la vidéo. Elle se força à tout avaler, pour ne pas étouffer. Consciencieusement, elle continua à lécher le gland et cette verge jusqu’à ce qu’elle soit immaculée. Elle voyait le regard rempli de joie de son patron et elle en fut très fière. Même ce goût qui lui restait dans la gorge, elle l’aimait car c’était une victoire pour elle. Elle décida par elle-même de renouveler cette expérience chaque soir, pour le plus grand bonheur de Marc. Il avait retrouvé le sourire, comme au début de leur relation. Il refermait toujours ses tiroirs lorsqu’elle entrait, mais ce n’était pas si grave que cela. Enfin, le pensait-elle. Elle avait bien évidemment tout raconté à son confesseur, le Père Doisneau. Elle avait omis de parler des circonstances, mais c’était principalement pour ne pas se trahir. Fidèle à lui-même, son confesseur avait demandé des tas de précisions, que Luana lui avait fourni sans détour. Elle ressentait énormément de plaisir en faisant ces fellations à son patron, elle en ressentait presqu’autant lorsqu’elle racontait tout, ensuite, à son confesseur. Tout était retourné dans l’ordre, celui qu’elle appréciait, jusqu’à ce fatal mercredi du mois de Mai.
Elle s’occupait principalement de la jeune Natty, Adrien était grand et un peu plus responsable. Elle savait qu’il avait des visites, des camarades de classe. Sûrement pour finir un devoir. Lorsqu’elle entendit la porte d’entrée claquer, elle pensa immédiatement que les visiteuses étaient parties. Il était presque 16 heures et elle devait préparer le goûter pour les enfants. Elle entra dans la chambre d’Adrien, certaine de le trouver seul, pour lui demander s’il voulait goûter avec sa petite sœur. Luana fut surprise par ce qu’elle vit en entrant dans la chambre. Adrien était bien là, mais il n’était pas seul. Une jeune fille était là avec lui, torse nu, lui offrant ses gros seins à caresser. Et il semblait en tirer un plaisir incommensurable. Il ne s’arrêta même pas dans son pelotage, certain de son bon droit. La seconde surprise arriva de derrière la porte. Deux autres jeunes filles étaient là également. Lorsque Luana avait entendu la porte d’entrée se refermer, elle n’avait pas vu sa patronne qui quittait précipitamment la maison. Elle était revenue chercher un document important qu’elle avait oublié sur un guéridon. L’une d’elle emprisonna ses poignets dans son dos, tandis que l’autre se plaçait devant elle. Avant qu’elle ne puisse réagir, Clara, puisque c’était bien elle, avait posé ses deux mains sur les seins de la jeune femme et les martyrisait méthodiquement. Luana se défendait mollement. Il était certain qu’elle était plus âgée que celle qui lui tenait les mains dans son dos, plus âgée aussi que cette petite peste qui caressait ses seins. Elle aurait facilement pu se dégager si cela avait été capital pour elle. Mais, avant tout, elle ne voulait pas être trop violente, et blesser l’une ou l’autre des deux jeunes filles. Qui viendrait la défendre si l’une d’elles était blessée par sa faute ? Une autre raison, beaucoup plus inavouable, la poussait à se laisser faire.
Marc, très satisfait des fellations qu’elle lui octroyait chaque jour, ne la touchait presque plus. À peine une petite tape sur ses fesses de temps en temps. Les soirs de réception, il la déshabillait entièrement avant de l’habiller à sa guise. Là seulement, il profitait de sa nudité et de sa soumission exacerbée pour la faire jouir avec sa bouche. C’était uniquement à ces occasions, trop rares au goût de Luana, qu’il caressait ses seins. Alors, quand Clara s’en était emparée, elle n’avait rien osé dire, trop heureuse que l’on s’occupe d’elle encore un peu. Clara, qui était face à elle, avait certainement remarqué que la jeune femme s’abandonnait totalement sous la caresse. Elle pouvait le lire dans ses yeux. Et elle sentait évidemment les pointes des tétons qui durcissaient contre ses paumes. Adrien ne s’occupait que de sa partenaire, Sabrina. Clara déclara alors.
« Mais c’est qu’elle aime ça, en plus ! La coquine serait en manque d’affection. Flora, viens devant et dénude cette poitrine. Regarde comme ses tétons sont dressés. Oui, vas-y. Tète la. Fais lui plaisir. »
Luana n’était plus maintenue contre son gré mais elle se laissa dénuder par la plus jeune des filles. Elle poussa un gros soupir de contentement lorsque la petite bouche de Flora prit enfin possession de son sein. Clara s’était placée derrière elle, l’empêchant de s’enfuir, si l’envie lui prenait. Elle avait posé ses mains sur les hanches de la jeune femme, une main glissa ostensiblement vers le devant de son pantalon. Elle réussit à s’introduire sous le tissu, par-dessus la culotte. Et ce qu’elle trouva fit sourire la jeune Clara. Luana était trempée, preuve qu’elle adorait ce traitement qu’elle subissait. Elle dégrafa la ceinture du pantalon qui glissa au sol. Une petite tape sur les épaules de Flora qui s’accroupit immédiatement pour lécher l’intimité de Luana. Elle le faisait régulièrement avec sa Maîtresse, Clara, depuis quelques temps. C’était devenu un rituel entre les deux coquines, depuis qu’elles avaient assisté à la même chose entre les parents de Clara. François qui faisait jouir Nadine avec sa bouche. Cela lui permettait de combler son épouse et de reprendre une certaine vigueur pendant cet exercice. Depuis, Flora honorait sa Maîtresse chaque fois qu’elles étaient seules dans la chambre. Mais, pour qu’elle s’entraine un peu avant, c’est Nadine qui avait subi les premiers coups de langue de la jeune Flora. Clara est une perverse, une véritable salope. Elle aime dominer et personne (ou presque) ne lui résiste. Et pendant que Flora œuvrait entre les cuisses de Luana, elle avait repris possession de sa poitrine dénudée et jouait habilement avec les tétons tous durs de la jeune femme.