Il avait glissé sa main dedans et il hésita avant de la ressortir. Entre ses doigts, un billet de 100 € qu’il posa devant Malika. Devant son air étonné, il ajouta.
« Pour voir. »
Malika restait interloquée devant le sans-gêne de Fernand. Mais une petite lueur s’alluma en elle. Elle se tourna vers Xavier qui ne disait toujours rien mais qui lui faisait non de la tête. De toute façon, sa décision était déjà prise. Elle se tourna vers Fernand et, un à un, elle défit les boutons de son chemisier. Elle le sortit de sa jupe et elle en écarta les deux pans. Livrant sans se cacher sa poitrine aux yeux avides d’un Fernand plus que ravi. Sa poitrine, ou plutôt son joli soutien-gorge blanc, en dentelle, qui cachait encore une grande partie de ses seins merveilleux. Fernand ne pouvait quitter des yeux ces deux splendides obus. Une main posée sur la table, l’autre sur son genou. Et c’est celle-ci qui tremblait, exprimant l’excitation hors norme de son propriétaire. Il avait demandé à voir. Il voyait. Pas encore assez. Il avait initié le jeu : Je paye pour voir. Alors, il sortit un autre billet de 100 qu’il posa près de l’autre. Malika lui sourit et elle ôta complètement son chemisier. Il attendait la suite. Elle aussi, semble-t-il. Elle fit glisser la bretelle de son soutien-gorge de son épaule. Mais elle cacha aussitôt ce sein qu’il rêvait de voir, entièrement. Il sortit un autre billet de 100. Malika fit une moue adorable avec sa bouche, en désignant ses seins, qui étaient deux. Fernand avait compris. Il doubla la mise et Malika dégrafa tranquillement son soutien-gorge. Pour l’ôter définitivement devant les yeux ébahis de Fernand. Xavier était lui aussi très excité par ce jeu de strip-tease. Lui, il les avait déjà vus. Et caressés. Mais c’était dans de toutes autres circonstances. Là, elle se livrait à un jeu dangereux. Les deux mains de Fernand tremblaient désormais. Elles semblaient incontrôlables. Doucement, comme un film au ralenti, Xavier vit les deux grosses paluches s’approcher des seins tant convoités. Un petit geste de défense de la part de Malika. Fernand ajouta un autre billet de 100 et Malika laissa les grosses mains prendre possession de sa poitrine.
Il en avait rêvé depuis le moment où elle était entrée chez lui. Mais jamais il n’avait espéré arriver à ses fins. Il vivait un rêve éveillé. Xavier s’était approché d’elle, lui aussi. Il pouvait observer de près les deux mamelles déformées par les caresses de son oncle. Il connaissait bien Malika maintenant et il savait qu’elle était très excitée. Il posa sa main sur la cuisse, remonta légèrement sa jupe. Malika le regarda droit dans les yeux et il sentit immédiatement ses cuisses s’ouvrir. Fernand avait remarqué évidemment ce changement de position. Maintenant, il espérait plus. Beaucoup plus. Allait-elle répondre à tous ses désirs ? Il ne pensait pas que cela soit possible. Il leva les yeux vers elle. Il sentit qu’elle était prête à aller plus loin. Avec lui. Et avec Xavier. Elle fixait les cinq billets posés sur la table devant elle. Fernand avait commencé à jouer, il voulait maintenant remporter la mise. Il sortit cinq autres billets qu’il posa sur les autres. Malika le fixa intensément dans les yeux et lui fit signe qu’il avait gagné. Elle se leva pour se coller entre ses cuisses. Sa poitrine dénudée se trouvait devant sa bouche. Il happa immédiatement l’un de ses seins, caressant l’autre amoureusement. Il passait de l’un à l’autre, sans pouvoir définir lequel lui plaisait le plus. Il tétait la poitrine offerte, ses mains se posèrent sur ses mollets, remontèrent sous la jupe, sur ses cuisses gainées de nylon. Il était au bord de l’apoplexie, Fernand. Derrière Malika, Xavier n’était pas en reste. Il s’était levé et caressait les fesses splendides de la jeune femme. Il trouva l’attache de la jupe et l’ouvrit. Le vêtement glissa inexorablement vers le sol. Malika était presque nue auprès des deux hommes. Fernand avait senti la jupe tomber et il l’avait laissé tomber au sol. Il avait pris les fesses entre ses grosses paluches et il pelotait son cul fabuleux. Il savait désormais qu’il allait posséder cette magnifique pouliche. Qu’elle en rêvait, elle aussi. Il tomba à ses pieds, tirant vers le bas culotte et collants. Il plongea sur le sexe offert à sa bouche gourmande. Xavier avait repris les caresses sur ses seins et il l’embrassait à pleine bouche. Fernand prit tout son temps pour la faire jouir une première fois. Avec sa bouche.
Il s’absenta quelques instants pour revenir avec une boite de préservatifs. Il était déjà nu et son sexe était enveloppé dans un condom. Il a libéré la table pour y allonger sa proie. Dès qu’elle fut en position, il s’empala sur elle. D’une seule poussée. Malika avait la bouche grande ouverte tout le temps que dura la pénétration. Xavier l’observait, les observait attentivement tous les deux. Elle semblait si heureuse d’être enfin possédée par Fernand. Il avait commencé à la besogner avec entrain et elle appréciait sa virilité. Son mari, tout comme Xavier, était doux avec elle. Elle apprenait l’amour à la sauvage et elle adorait ça. Fernand était planté en elle et il commença à ralentir la cadence. Il voulait tenir la distance avec la jeune femme. Malika tourna la tête vers sa droite et elle aperçut Xavier qui patientait. Elle attrapa sa queue, toujours bien bandée, et elle commença une fellation du tonnerre. Xavier caressait ses seins. Fernand avait soulevé une de ses jambes et l’avait mise au creux de son bras. Il fit de même avec la seconde. Malika était totalement écartelée, totalement à la disposition des deux mâles. Elle était bien, même si la table n’était pas vraiment très confortable. Fernand l’avait compris et il se pencha vers elle. Elle enveloppa ses bras autour de son cou et il la souleva, toujours planté en elle, comme si elle n’était qu’une enfant. Il l’amena jusqu’à sa chambre pour la déposer délicatement sur son lit. Xavier vint se positionner au-dessus de sa tête et elle put reprendre la queue en bouche.