Il fut un peu surpris lorsqu’il sentit la petite main de Clara qui emprisonnait sa queue. Mais c’était déjà trop tard pour lui. Il était lui aussi dans l’impossibilité de résister. Clara tira sur le drap pour découvrir ce qu’elle tenait en main. Elle avait déjà plus de dix ans, au moment des faits, et elle savait pertinemment que cela ne se faisait pas, dans les autres familles. Mais ce qui lui importait, à elle, c’était de découvrir tout ce que l’on cachait aux autres. Elle avait toujours eu une soif d’apprendre. Surtout depuis qu’elle avait découvert le plaisir de téter les mamelons de Nadine, les mains de François sur son ventre, sur ses petits seins. Entre ses cuisses, parfois. Les parents étaient impuissants devant les désirs inavouables de leur fille chérie. Alors, ils acceptaient tout, en silence, sachant qu’ils ne pouvaient en parler à personne. Même pas au Père Doisneau. Surtout pas à lui. Ni à Marguerite, la catéchiste qui venait leur rendre visite régulièrement. Après cette première expérience avec ses parents, Clara revint parfois passer la nuit entière avec eux, dans leur lit. Entre eux deux. À la rentrée scolaire suivante, Clara se retrouva dans la même classe que Flora. Elle avait pris un peu de retard, au niveau scolaire. Les deux jeunes filles se retrouvèrent assises côte à côte. Puis devinrent rapidement inséparables. Clara avait la bienveillance des enseignants, qui lui passaient tous ses caprices. Au début, tout le monde accepta cet état de choses, se rappelant ce qu’elle avait vécu. Mais, après quelques mois, ceux et surtout celles qui étaient populaires l’an passé se fatiguèrent de cette situation. Clara avait compris qu’elle avait un certain pouvoir, et elle n’était pas prête à l’abandonner. C’est tout d’abord sur Flora qu’elle l’exerça, mais c’était plutôt facile car ma petite sœur était déjà en admiration pour elle. Puis, parfois aidée de Flora, elle choisissait une proie, fille ou garçon, pour la soumettre à sa volonté.
Voyant que cela fonctionnait plutôt bien, elle essaya avec des adultes, mais c’était un peu plus compliqué. Elle se sentait puissante et invincible lorsque sa victime finissait par obtempérer. Au début, c’était juste pour faire ses devoirs, ses exposés. Puis, elle finit par obtenir d’autres services, des avantages en nature par exemple, lorsque la fille de la boulangère lui apporta chaque matin un petit pain au chocolat tout chaud, sorti du four. Un garçon, dont les parents étaient plutôt aisés, finit par lui donner, volontairement, sa console de jeux. (DS pour les connaisseurs). Avec d’autres victimes, elle obtint les jeux qu’elle souhaitait sur cette console. Tout en profitant des avantages en nature qu’elle pouvait obtenir ici et là, elle avait commencé à avoir une attitude beaucoup plus tactile avec Flora. Qui était complètement sous son charme. Elle avait soulevé le tee-shirt de son amie, un jour qu’elles étaient seules en classe, et avait commencé à lécher ses petits seins. Un autre jour, chez elle, elle demanda à Flora de lui faire de même. Et ma petite sœur lui obéit. Elle avait aimé les sensations éprouvées lors de la première fois et elle voulait faire plaisir à son amie, sa Maîtresse, même si elle ne voulait pas encore se l’avouer. Pendant qu’elle suçait ses seins, Clara avait saisi la main de Flora pour la glisser dans sa culotte. Elle se doigta avec les doigts de sa soumise et cela la rassura dans ses convictions. Elle pourrait tout lui demander, et tout faire avec elle. Et sûrement avec d’autres. C’est la raison pour laquelle elle osa, un mercredi après-midi, continuer ce qu’elle faisait habituellement avec sa mère, quand elles étaient seules. Nadine était assise entre les deux jeunes filles lorsque Clara passa sa petite main sous le tee-shirt de sa mère. Nadine avait, depuis le début, renoncé à lui refuser quoique ce soit. Aussi se laissa-t-elle faire, craignant tout de même la réaction de Flora, juste à ses côtés. Qui comprit très rapidement ce qui se passait près d’elle.
Flora ouvrit de grands yeux en voyant le bras de son amie qui, manifestement, caressait la poitrine de Nadine. C’était bien sûr voulu par la jeune fille et, voyant que Flora les regardait toutes les deux, elle décida de prendre la main de son amie et soumise pour la glisser sous le tee-shirt, sur l’autre sein de Nadine. Un peu réticente au début, craignant surtout la réaction hostile de l’adulte, Flora se laissa convaincre en voyant que Nadine acceptait sa main, et celle de Clara sur son autre sein. D’un signe qu’elle ne comprit pas vraiment, Clara indiqua à sa mère qu’il était temps d’ôter son vêtement. Elle passa elle-même son tee-shirt par-dessus sa tête pour se retrouver torse nu devant une Flora estomaquée. Étonnée, mais heureuse de pouvoir admirer enfin une vraie poitrine de femme. Et elle imita son amie lorsqu’elle se pencha légèrement pour prendre le téton en bouche. Nadine était aux anges. Elle avait désormais deux petites bouches avides qui lui tétaient la poitrine. Le plaisir monta très vite. Dans sa tête, dans son ventre. Dans sa culotte. Le plaisir fut tellement intense qu’elle ressentit une poussée de lait qui montait en elle. C’est un fait établi que, si l’on suce une poitrine de femme très régulièrement, le résultat est qu’elle va commencer à fabriquer naturellement le lait maternel pour son enfant. Les deux jeunes filles furent très surprises de sentir ce liquide couler dans leur gorge. Flora, qui ignorait encore beaucoup de choses, pensa que c’était normal, habituel. Mais c’est Clara qui fut la plus étonnée des deux. Même Nadine ne pensait pas que cela soit possible. Le corps humain est ainsi fait de surprises, parfois très agréables. Les fois suivantes, tout se passait de la même façon. Nadine soulevait son tee-shirt et les deux jeunes filles venaient téter chacune l’un des seins. François avait été mis au courant par sa femme et trouva qu’il était très dangereux de mêler une autre personne à leur secret.
Mais, de toutes façons, c’était fait et il fallait faire avec. Il changea complètement d’avis lorsqu’il rentra un peu plus tôt de son travail, un jour, et qu’il trouva Nadine avec les deux jeunes filles, dans la chambre parentale. Il commençait à faire très chaud et Clara avait déshabillé sa soumise, qui restait juste avec sa petite culotte. Elle en avait fait de même avec Nadine, et avec elle ensuite. Les deux filles étaient allongées sur le lit tête contre tête, et Nadine, au-dessus d’elles, leur offrait ses seins merveilleux à téter.