Linda (02/05)

J’ouvrais les yeux quelques instants pour être sûre que je ne rêvais pas. Sa toison n’était pas trop fournie, à l’inverse de la mienne. Je refermais les yeux quand mes lèvres atteignirent les siennes, intimes. J’avais pu apercevoir subrepticement sa peau douce et légèrement bronzée. Ma main devint alors autonome et commença à caresser ses cuisses de la façon la plus douce possible. Elle se tordit un peu et écarta les jambes pour m’indiquer le chemin de son plaisir naissant.

Mes doigts frôlèrent alors l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est si douce, presque transparente, tandis que mes lèvres se posaient sur son intimité. Ma langue s’aventura dans son jardin secret et se fraya un chemin entre les pétales de rose qui s’ouvraient sur mon passage. J’atteignais enfin le fruit défendu.

Elle était déjà très humide, la situation sans doute, ou bien l’excitation générée par les attouchements qu’elle m’avait fait subir précédemment. Son foutre commençait à donner un goût très agréable à mes coups de langue. Comme ma bouche arrivait à son clito, j’eus envie de caresser ses fesses également. Elle se tourna alors légèrement sur le côté pour offrir à mes mains son derrière ferme et rebondi que je lui enviais.

Elle gémissait de plus en plus fort et elle guida ma main vers son autre orifice. Pendant que ma langue la pénétrait doucement, mes doigts fins et longs caressaient son anus assez vivement, au rythme qu’elle imposait. C’est alors qu’elle guida mes doigts vers mon sexe déjà trempé avant de porter mes doigts remplis de ma mouille vers sa bouche.

Elle les lécha longuement, semblant apprécier mon goût, et dirigea mon doigt bien humecté vers son anus. Elle le fit entrer en elle autant qu’elle le put, puis m’indiqua de le faire aller et venir en elle. Je découvrais son corps mais surtout les nouveaux plaisirs dont je n’avais aucune idée.

J’étais en période d’apprentissage avec elle, j’appréhendais le plaisir de la soumission, les plaisirs saphiques. Autant de choses nouvelles pour moi et Jessica m’aida énormément dans cette période. Un long soupir m’indiqua qu’elle venait de jouir à son tour. Et cela, grâce à moi ! Et pour la première fois.

Nous avons eu évidemment beaucoup d’autres moments très intimes après cela. Je répondais à ses questions, lui disais tout ce qui m’arrivait, même mes pensées les plus secrètes. Elle n’ignora très vite plus rien de moi. J’avais, et j’ai toujours, une confiance aveugle en elle. J’ignorais encore, même si je m’en doutais un peu, que je n’étais pas la seule fille avec qui elle avait eu des rapports.

Elle ne me parlait que des garçons qu’elle avait conquis. De mon côté, elle était la seule fille qui m’intéressait. Tout a commencé à changer lors des vacances de Pâques que je devais passer chez elle, mes parents avaient réservé un chalet à la montagne et partaient « en amoureux ». J’étais heureuse pour eux, et ravie de passer deux semaines avec ma cousine chérie.

Je partis donc un samedi matin pour aller la rejoindre. Je craignais de m’ennuyer durant ce voyage en train mais ce ne fut pas le cas. Nous sommes restées en communication constante avec Jessica. Grâce aux sms que l’on échangeait continuellement, elle arriva pile-poil à l’heure pour m’accueillir à la descente du train.

Il faisait très chaud en ce début d’après-midi et nous sommes entrées dans un bar pour nous désaltérer. Ses parents n’étaient pas plus riches que les miens, nos mamans sont sœurs, mais elle avait toujours de l’argent sur elle. Il faudra que je lui demande un jour comment elle fait. Assises au bar, nous avons commandé chacune un coca, zéro pour moi, light pour elle.

Olivier, le barman, nous apporta nos consos et commença à discuter avec nous. Très peu de monde dans son bar à cette heure. Il semblait très intéressé par ma forte poitrine mais c’est Jessica qui le faisait parler le plus. Elle lui expliqua que je venais d’arriver, ma valise en était le témoin muet, et que je n’avais jamais pu aller en discothèque, mes parents me l’ayant toujours interdit.

Tout ceci était faux, bien évidemment, mais je ne pouvais pas contredire ma cousine devant lui. Il sembla amusé de l’émoi que causait sur moi, mon visage rougissait facilement, cette révélation et décida de nous inviter toutes les deux à sortir, le soir-même, dans une discothèque proche de la ville. Jessica avait accepté avant que je ne puisse réagir. Je n’avais pas prévu de budget pour les sorties et cela me gênait un peu. C’est Olivier qui vint à mon secours en m’annonçant que l’entrée serait gratuite pour nous. Il était un habitué de cette boite. Nous sommes rentrées chez elle pour y déposer ma valise et nous sommes allées dire bonjour à ses parents qui travaillaient dans leur propre restaurant.

Ma tante était ravie de me revoir et me posa des tas de questions sur sa sœur, ma mère. Mon tonton était lui aussi très content de me revoir. Je restais quelques minutes seule avec lui dans sa cuisine pendant que les filles étaient retournées dans la grande salle. Il parlait peu, très occupé par les bons petits plats qu’il préparait. Il me demanda un service, aller chercher le plateau de soles qui était dans la chambre froide.

Je m’exécutais bien volontiers et lui rapportait son plateau de poissons. Le passage dans la chambre froide avait eu un effet inattendu sur mes tétons qui avaient réagi immédiatement en pointant franchement sous le tissu fin de mon tee-shirt. C’est en voyant son regard fixé intensément sur mes gros seins que je compris cela. La bosse qui déformait son devant de pantalon ne faisait aucun doute, mon tonton avait envie de moi. Je dois avouer que cela me troubla plus que je n’aurais pu imaginer.

Mais après tout, mon oncle était un homme comme les autres et pouvait légitimement avoir des envies. Je dois dire que ma tante n’avait pas de seins aussi gros que les miens, ni sa sœur, et encore moins Jessica. Je n’y avais jamais prêté attention auparavant mais, lors des réunions familiales, j’avais souvent entendu dire que l’on se demandait de qui je pouvais tenir. Les réponses restaient toujours en suspens, mes parents s’en amusaient à chaque fois.

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