Jérôme était fumeur également et arriva sur la terrasse. Elle se redressa immédiatement, sécha ses larmes pour redevenir « Madame Parfaite ». Jérôme, qui me connaissait bien, évidemment, me demanda ce qui se passait. Je lui répondis que c’était des histoires de filles. Il n’insista pas. Nous avions prévu de retourner à la fête foraine, de nuit, cette fois, et de patienter jusqu’au feu d’artifice qui conclurait cette journée de festivités. La mère restait avec les enfants, évidemment. Mon père resta lui aussi.
Jérôme marchait devant avec sa femme près de lui, j’étais tout près de mon tonton. Sa main baladeuse venait parfois frôler mes fesses, je le laissais faire. Il est très agréable de se sentir désirée. Si j’avais posé la question à Ingrid, elle aurait répondu comme moi, exactement. Je n’oubliais pas qu’il avait été le premier homme à me toucher, à me caresser. À me faire jouir.
C’était il y a déjà bien longtemps mais j’ai toujours gardé ces souvenirs en moi. Mon seul regret est qu’il n’a pas eu l’occasion de me déflorer, après m’avoir tout appris, ou presque. Je vous reparlerai certainement plus tard de cette expérience inoubliable, qui a fait de moi celle que je suis désormais.
La foule était très dense ce soir-là et on était pressés comme des sardines en boîte, ce qui arrangeait bien Roger et ses mains baladeuses. Il gardait souvent sa main sur mes fesses et se frottait contre le gros cul d’Ingrid qui n’osait rien dire. Pour souffler un peu, on s’arrêta dans un stand qui proposait des boissons, alcoolisées ou non. Les hommes ont pris une bière pression, comme moi, et Ingrid choisit une limonade bien fraîche. Il faisait encore très chaud malgré l’heure tardive.
On reprit notre promenade de stand de loterie aux manèges de toutes sortes. Je finis par me retrouver près de mon frère et Ingrid derrière moi avec Roger. À un moment, je l’ai entendue lui murmurer qu’elle voulait faire pipi. Pourquoi lui dire à lui ? Elle aurait pu, elle aurait dû, en parler à son mari, ou à moi, au pire. Roger l’entraina entre deux manèges, à l’abri des regards indiscrets.
Jérôme avait choisi un des manèges et se mit dans la file d’attente pour acheter les tickets. Je retournais voir Ingrid pour lui dire qu’on l’attendait. Ce fut facile de la retrouver, des jeux de lumière avaient éclairé l’endroit où elle se trouvait. Elle était accroupie, robe relevée et ses cuisses blanches bien visibles.
Par contre, je remarquais immédiatement qu’elle avait fini son petit pipi. Par contre, sa bouche était très active sur la queue de Roger qui lui maintenait la tête. Elle m’a bien vue quand je m’approchais mais a continué jusqu’à ce qu’il se vide dans sa gorge. Je leur ai dit qu’on les attendait, Roger se tourna pour rentrer sa queue dans son pantalon, comme si je ne l’avais jamais vue.
J’aidais Ingrid à se relever. Derrière elle, sa robe restait coincée à la taille, sûrement pour éviter de la salir. Je pus donc apercevoir son gros cul tout blanc. Elle n’avait pas pu remettre de culotte depuis l’épisode du palier et se baladait donc toute nue sous sa robe. Je m’accrochais à elle pour rejoindre Jérôme.
Je prenais place dans la nacelle du manège, entraînant Ingrid avec moi. Roger et Jérôme prirent chacun la leur. Le garçon du manège passa près de nous pour vérifier si la sécurité était bien mise et pour reprendre le ticket. Je forçais Ingrid à ouvrir largement ses cuisses quand il s’approcha, lui laissant tout loisir d’apercevoir qu’elle était nue dessous.
Elle me regarda, ne semblant pas comprendre ce que je voulais. Vu comment je venais de la surprendre entre les manèges et l’épisode du palier, elle n’osait rien dire et accepta tout, même quand elle vit le garçon approcher, le regard rivé entre ses cuisses.
Il prit tout son temps pour vérifier la sécurité de la nacelle et, accessoirement, pour mater sous la robe d’Ingrid. Le manège démarra, prenant de la vitesse. Ingrid se tenait à moi, j’en profitais pour dégrafer deux boutons de sa robe, me laissant apercevoir sa poitrine merveilleuse. J’aurais pu glisser une main entre ses cuisses, je l’aurais certainement trouvée trempée.
Nous sommes restées dans cette nacelle, sans ticket pour refaire un tour. Quand le garçon revint, il put admirer la poitrine de ma belle-sœur. Il vérifia de nouveau la sécurité mais sa main s’attarda plus que de raison entre les cuisses ouvertes. Elle se laissait doigter en me fixant droit dans les yeux. Franchement, je ne la savais pas si salope. Je la découvrais sous un nouveau jour et j’appréciais énormément. Et on a eu droit à un tour gratuit.
Roger était allé reprendre des tickets, je montais avec mon frère, pour changer, et Ingrid avec Roger. Ils étaient derrière nous et je ne pus voir ce qu’ils faisaient. Le manège recommença sa folle course et je me trouvais plaquée contre mon grand frère. Sa main se posa accidentellement sur mon sein. Il voulut la retirer aussitôt mais je la maintenais en place. Il joua longuement avec mon téton, c’était super agréable.
C’était surtout la première fois entre nous. Jamais un geste, ou une parole déplacée. Toujours le respect de l’autre. Que m’arrivait il ? Que nous arrivait-il ? L’inceste, je n’y avais jamais pensé. Ni avec mon frère ni avec mes parents. Roger, oui, c’est mon oncle. Mais parle-t-on d’inceste entre cousin et cousine ? Entre un oncle et sa nièce ?
J’avais posé ma tête sur son torse et ma main s’était aventurée sur la bosse de son pantalon. Oui, il bandait pour moi. C’était une véritable révélation. J’étais presque ivre en quittant le manège. Lui aussi, si bien qu’il ne remarqua pas que sa femme était un peu débraillée. Elle s’écarta légèrement du passage pour se rajuster.
Nous étions arrivés au manège suivant mais pas elle. Je revenais sur mes pas pour la surprendre en train de se faire baiser, et je pèse bien mes mots, par le garçon du manège qui l’avait suivie. Elle se faisait littéralement défoncer et semblait apprécier. Elle avait les yeux brillants en revenant vers moi. Savait-elle que je ne dirais rien ?
Le reste de la soirée, elle est restée près de son homme. L’image que je me faisais de cette « Madame Parfaite » venait d’en prendre un sacré coup. Je ne la juge certainement pas, je ne suis pas meilleure qu’elle. Mais il y avait de quoi être surprise par son attitude.