Amélie (05/23)

Au contraire, elle venait au-devant de ce jet qui l’électrisait tout entière. Sa jouissance déclencha la mienne, presque aussitôt et c’est un jet de pisse et de mouille mêlés qui finirent de la faire jouir complètement. Elle n’avait plus de voix, elle criait son plaisir mais aucun son ne sortait de sa bouche. Elle était au paroxysme du plaisir, et moi presqu’autant qu’elle.

Nous sommes restées de longues minutes, sans bouger, sans rien dire, juste à apprécier ce moment divin. Reprenant nos sens, je me levais, puis l’aidais à se lever aussi et la poussais dans la cabine de douche. Nous en avions bien besoin. Je l’ai bien lavée partout et elle en fit de même avec moi. J’adorais parcourir son corps, la caresser. Sa peau était si douce.

Et sentir ensuite ses mains sur moi me fit frissonner à nouveau. Elle connaissait déjà mes points faibles et ses doigts s’arrêtèrent plus que nécessaire sur mes tétons, qu’elle tritura dans tous les sens, essayant de les allonger, de les faire durcir. Je l’essuyais vigoureusement, elle ensuite, et nous sommes retournées nous coucher, nues l’une contre l’autre, jusqu’à la nuit.

Puis, nous avons diné rapidement avant de retourner au lit. Toujours nues, je voulais profiter de son corps, encore. Je la plaçais en travers du lit, puis je me mis au-dessus d’elle. Nous allions enfin pouvoir nous donner du plaisir mutuellement et simultanément. Trop heureuse sans doute, le plaisir me surprit au bout de quelques minutes seulement mais Amélie, docile, avala tout et continua sa caresse, lentement et amoureusement, tout comme je continuais à fouiller sa fente, délicieuse.

Quand je la sentis prête à exploser de nouveau, j’accélérais la cadence et, pour accentuer son plaisir, j’enfonçais un doigt dans son anus. La surprise de ce geste, le plaisir, tout partit d’un coup et je la reçus avec plaisir, cette jouissance, son jus d’amour délicieux. Un dernier sursaut et c’est moi qui partis à mon tour, vibrant de toutes parts. Je m’abandonnais complètement, à ce moment précis, à ses caresses, à sa langue majestueuse qui me faisait vibrer, à cette bouche que j’aimais tant. De nouveau comblées par tant de plaisir, nous nous sommes endormies, l’une contre l’autre, heureuses.

Quand je me réveillais le lendemain, j’étais blottie dans ses bras, bien collée à son corps dodu mais si tendre. Au cours de la nuit, sa main a dû s’aventurer entre mes cuisses car je les sentais poisseuses. Elle m’avait fait jouir sans me réveiller, une prouesse. Pour ce vendredi, j’avais prévu de nous promener un peu au centre-ville et faire quelques magasins, un en particulier. Je préparais du café, des madeleines, oui elle est gourmande, et j’apportais tout sur un plateau, dans notre chambre. Je la réveillais doucement et elle me sourit, heureuse.

Je la pressais doucement car je savais qu’il fallait lui imposer du rythme, puis l’envoyais prendre une douche, le temps que je m’habillais. Minijupe, corsage, string et soutif noir et des chaussures à talons pour toujours la surplomber, même si elle n’est pas très grande. Elle sortit de la douche et je la regardais s’habiller. Boxer et soutif en dentelle blancs, une robe à fleurs, très jolie. Je lui enfilais moi-même ses bas blancs. Bottines aux pieds, je l’inspectais avec sérieux. Elle me laissait faire. Je tournais autour d’elle, m’agenouillais pour vérifier que tout était conforme, puis d’un coup, je baissais son boxer avant de lui enlever totalement. Elle devait prendre l’habitude d’être disponible pour moi.

Ses yeux me supplièrent de le lui remettre mais elle comprit qu’elle devrait sortir sans. Dans le bus qui nous emmenait au centre-ville, je glissais ma main sous sa robe et, sans que je le lui demande, elle écarta ses cuisses et accepta ma caresse.

De magasins en magasins, nous regardions tous les rayons sans rien trouver qui nous plaisait vraiment. Puis, nous sommes passées devant un magasin de lingerie et les modèles nous plaisaient beaucoup. Mais je trouvais qu’il y avait trop de monde dans ce magasin, pour y faire ce que j’avais en tête, et je lui promis d’y revenir le lendemain. Ensuite, nous sommes allées manger un sandwich dans un Subway.

Assise face à elle, je l’obligeais à garder les cuisses ouvertes avec mes genoux. Elle rougissait, un peu, mais je suis sûre qu’elle aimait cela. Puis, en sortant, je l’emmenais enfin dans ce magasin qui était le but, mon but, de la sortie d’aujourd’hui. Ce magasin n’avait pas de vitrine pour exposer ses articles, même de l’extérieur, il était difficile de comprendre ce que nous allions y trouver. D’ailleurs, en y entrant, Amélie ignorait encore que cela pouvait être un magasin.

Une fois dedans, elle comprit très vite et rougit abondamment. Toutes sortes d’ustensiles couvrait les étagères et rayonnages et ne laissait aucun doute sur leur utilité. Dans un coin, les DVDs et les magazines sexy, à côté les parfums d’attirance. Sur une étagère en face, toutes sortes de godes de différentes formes, couleur, taille, etc… Un peu plus loin, les différents types de vibromasseur, et juste après, les gode-ceinture.

Voilà pourquoi je l’avais entrainée avec moi. Elle me regardait, effarée, en train de choisir entre un modèle ou bien l’autre. Quand je lui demandais son avis, elle ouvrit de grands yeux me suppliant de ne pas insister. Je choisis donc toute seule, un modèle de taille moyenne, puis un gode de petite taille et un vibromasseur en forme de mini canard, noir. Arrivée à la caisse pour payer, le vendeur m’apprit que j’avais droit à une promotion exceptionnelle sur les vibros. Deux pour le prix d’un, le moins cher en cadeau. Je retournais dans le rayon et, rapidement, je choisis un Rabbit couleur lilas.

En sortant du magasin, je n’avais qu’une hâte : rentrer à l’appart pour les essayer tout de suite. Amélie l’avait bien compris aussi et, malgré les quelques réticences pour rentrer maintenant, je voyais bien qu’elle était sans doute plus excitée que moi. Car moi, j’allais utiliser mes nouveaux jouets et elle en subirait les effets.

Nous en avions vaguement parlé auparavant et je savais qu’elle avait déjà couché avec des garçons. Elle m’a avoué pour deux ou trois, mais sans doute un peu plus et quelques fellations par-ci, par-là. D’ailleurs, une fois assises dans le bus qui nous ramenait, je glissais ma main sous sa robe et mes doigts ressortirent tout humides. La coquine. Elle en voulait, je le sentais bien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *