Août 2019 (03/04)

Il s’imaginait sans doute à la place de Roger. Ou plutôt non. Je ne pense pas qu’il aurait pu oser de telles choses. Mais Ingrid prise en sandwich entre Roger et lui, je suis certaine qu’il y a pensé. Je voyais son regard brûlant de désirs pour sa belle-fille.

Puis, j’aperçus Jérôme qui cherchait son épouse, je me plaçais entre lui et le couple illégitime pour lui faire signe où on était. Tonton Roger, qui ne me quittait pas des yeux s’éloigna légèrement d’une Ingrid rougissante d’avoir bien joui. Jérôme entraîna sa femme vers les auto-tamponneuses, Roger les suivit en me prenant la main. Mon frère dans une voiture avec sa femme, Roger dans une autre avec moi à ses côtés, nous avons passé des tours et des tours à nous tamponner les uns, les autres.

Roger ne ratait aucune occasion pour caresser mes cuisses, ma jupe se relevait très facilement vu ma position. En passant parfois son bras par-dessus mon épaule, c’est ma poitrine qu’il cherchait à atteindre. Et il y parvint quelques fois. Il avait bien essayé de glisser sa main entre mes cuisses, sous ma jupe, sans jamais y parvenir.

En retournant chez mes parents, en cette fin d’après-midi, Roger était devant discutant avec mon père. Je n’ose imaginer le sujet de leur discussion mais l’un et l’autre se retournait souvent vers Ingrid qui avait retrouvé son rôle de maman et s’occupait de ses filles et de Dylan. Ma mère discutait avec mon frère. J’étais tout près d’eux, mais j’observais Ingrid et les enfants.

Le temps que ma mère, aidée d’Ingrid, prépare le repas du soir, c’est mon père et Roger qui s’occupèrent des enfants. J’étais sur un autre canapé avec Jérôme et on discutait de mon nouveau célibat. Il me confiait qu’il n’avait jamais vraiment apprécié mon ex mais vu que je semblais heureuse avec lui, il n’avait rien osé me dire.

Au moment du coucher des enfants, c’est Dylan qui demanda à son grand-père de venir leur raconter une histoire. Les deux filles approuvèrent aussi et il les suivit dans la chambre. Ingrid monta aussi pour qu’ils se changent et se lavent les dents. Elle revint ensuite aider pour débarrasser la table et faire la vaisselle. La suite, c’est elle-même qui me l’a rapportée.

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Je remontais voir les enfants vers 21 heures, la journée avait été chaude, et longue. Il était temps qu’ils s’endorment. Mon beau-père était toujours assis sur le lit et finissait justement l’histoire qu’il avait choisie. Dylan et Lisa semblaient dormir déjà. Célia commençait à cligner des yeux, signe qu’elle était proche du sommeil elle aussi. Mon beau-père me tendit la main pour que je l’aide à se relever, il est vrai que le lit était très bas.

Célia s’était tournée, entraînant avec elle le drap qui la recouvrait. Je me penchais pour remettre celui-ci en place, le bordant sous le matelas pour qu’il reste en place. C’est dans cette position que mon beau-père se colla à moi, m’attrapant par les hanches. Il se frottait contre mes fesses et je devais me retenir au montant du lit pour ne pas m’effondrer sur ma fille.

Devant mon manque de réaction, il remonta ses mains vers mes seins qu’il emprisonna. Il commença à les malaxer et je dois dire que j’appréciais énormément cette caresse. J’étais incapable de me redresser et je ne pouvais pas crier et réveiller les enfants. La pression sur mes fesses se fit moins forte quand il tenta de passer sa main sous ma robe. C’était bien plus que je ne pouvais accepter.

Je réussis à me redresser et à lui faire face. Il baissa les yeux, honteux. Je quittais la chambre, suivie de près. Je fus immédiatement bloquée par Roger qui semblait nous attendre sur le palier. Mon beau-père ferma la porte avant de se coller de nouveau contre mes fesses. J’étais cette fois prise en sandwich entre les deux pervers. Roger me tenait les poignets, m’empêchant de me défendre.

Puis il me fit faire demi-tour, face à mon beau-père, mais ramena mes mains dans mon dos. Ma poitrine était de nouveau accessible pour mon beau-père qui ne se gêna pas pour me peloter allègrement. Toutes ces caresses ne pouvaient me laisser indifférente. Mon corps commençait à réagir. Mais je résistais pour ne rien laisser paraître.

Roger dut sentir que je ne résistais plus beaucoup. Il lâcha mes poignets, s’agenouilla derrière moi pour glisser ses mains sous ma robe. Il agrippa ma culotte qu’il fit descendre jusqu’à mes chevilles. Si je ne réagissais pas maintenant, j’allais me faire baiser sur ce palier. Je dois avouer que, dans d’autres circonstances, j’aurais sans nul doute apprécié. Mais pas là, si près de mes enfants, de mon mari. C’est heureusement à ce moment-là que Lauryn arriva pour m’arracher à leurs griffes.

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J’avais remarqué l’absence des deux hommes et celle de ma belle-sœur. C’est en montant les escaliers que je vis Ingrid sortant de la chambre des enfants. Et tout ce qui suivit. J’étais somme toute heureuse de la voir en telle situation, la « Madame Parfaite », celle qui fait tout bien, qui vit la vie rêvée de toute femme.

Je repensais à toutes les remarques désobligeantes qu’elle m’avait faites car je ne pouvais pas m’occuper de mon fils alors qu’elle-même s’occupait de deux enfants, d’un mari et avait en plus un travail très prenant. Elle était infirmière à l’hôpital de Laval, au service pédiatrie. Malgré cela, je ne pouvais pas la regarder sans rien faire.

Mon père fut le premier à me voir sur le palier. Il lâcha aussitôt la poitrine qu’il pétrissait amoureusement. Il baissa les yeux, ne pouvant pas supporter mon regard lourd de sous-entendus. Je pris la main d’Ingrid pour l’éloigner des deux hommes. Elle faillit trébucher, les chevilles entravées par sa lingerie. Roger récupéra le bout de tissu et se résigna à nous laisser partir. Il savait bien qu’il arriverait à ses fins, un jour ou l’autre.

J’emmenais Ingrid prendre l’air sur la terrasse, je voulais fumer et rester seule avec elle. Elle fondit en larmes, se pendant à mon cou pour me remercier d’être intervenue. J’aurais bien voulu pouvoir glisser une main sous sa robe pour vérifier son état d’excitation à ce moment-là. Je suis presque certaine que j’y aurais trouvé des traces d’humidité. Elle répétait des « Merci », tout en se serrant contre moi.

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