Linda (01/05)

Personnages :

Linda – moi – rousse, forte, cheveux mi- longs
Jessica – ma cousine
Olivier – barman
Marianne – rousse, forte, cheveux très longs
Wilfried – petit ami de Marianne
Luc – ami de Wilfried

Je m’appelle Linda et je suis une jeune fille moderne. Je veux dire que, côté sexe, j’aime aussi bien les filles que les garçons. Mes parents me laissent vivre ma vie, tant que j’ai de bons résultats scolaires et que je construis mon avenir, comme ils disent. Mais je n’ai jamais réussi à leur parler de mes goûts pour les filles. En fait, cela ne concerne que moi. Ma vie, mes choix.

Jessica est ma cousine et c’est avec elle que j’ai découvert mon corps, le sien, et les plaisirs saphiques. C’était il y a longtemps déjà mais je n’ai jamais oublié notre première fois. Elle a toujours eu un réel ascendant sur moi et il m’était impossible de lui refuser quoique ce soit. C’est encore vrai aujourd’hui.

Cela s’est passé chez elle, alors que je passais un long week-end chez eux. Nous dormions évidemment dans la même chambre, la sienne, et elle était vraiment surexcitée ce soir-là. Même le programme télé ne semblait pas l’intéresser. Très tôt, elle demanda la permission d’aller se coucher, m’entrainant dans son sillage. Je déballais quelques affaires de mon sac avant de me préparer pour la nuit.

Ma cousine était partie prendre une douche pendant ce temps-là. Il faut dire que sa chambre possédait sa propre salle de bain, ce qui était un luxe pour moi. Je commençais à enfiler mon tee-shirt pour la nuit quand il me sembla entendre des gémissements, venant justement de la salle de bain. Quelle ne fut pas ma surprise de voir Jessica se donner du plaisir ! Je m’éclipsais discrètement avant qu’elle ne me surprenne, même si je pense que, toute à son plaisir, elle ne pouvait pas me voir.

Elle me rejoignit dans la chambre, comme si de rien n’était, un long tee-shirt comme moi et une serviette sur la tête pour s’essuyer les cheveux. Les mouvements frénétiques qu’elle faisait pour se sécher avaient tendance à relever son tee-shirt et j’eus la certitude qu’elle ne portait rien dessous. Cela me troubla légèrement, surtout après l’avoir surprise il y a quelques instants, la main entre ses cuisses.

Nous nous sommes couchées tout en continuant à bavarder de tout, de rien. Les profs, les élèves de nos classes respectives. Elle aborda la première le sujet des garçons, un garçon plutôt qui retenait toute son attention. Puis, sans que je m’y attende, elle me demanda si j’avais déjà embrassé un garçon. Je répondais par la négative, évidemment, n’osant pas lui avouer le fils de notre voisine, bien plus vieux que moi, m’avait forcé à l’embrasser. J’avais apprécié, même si j’avais été forcée.

Elle commence alors à me décrire comment elle, elle embrasse avec énormément de détails qui me donnent un frisson presqu’agréable. Je me revois, coincée par mon voisin, plus fort que moi, mais pourtant pas si violent que ça. La description faite par Jessica correspondait exactement à ce que j’avais subi ce jour-là. Elle remarqua bien sûr mon état d’excitation en l’écoutant. Elle me demanda à brûle-pourpoint.

« Tu ne voudrais pas essayer ?  »

« Comment cela ? » je lui réponds.

« Eh bien, c’est simple. Imagine que je suis un garçon et embrasse-moi ».

Tout d’abord étonnée de sa proposition, je me laisse finalement prendre à son jeu. Je vous ai déjà dit qu’elle avait un ascendant certain sur moi. Vu que j’ai toute confiance en elle, je ferme les yeux et je me laisse faire. Elle s’approche tout doucement de moi, tout près et pose d’abord une main tendre et douce sur ma hanche.

Puis ce sont ses lèvres pulpeuses qui se frottent aux miennes avant que nos bouches n’en forment bientôt plus qu’une seule. Puis, elle met sa langue agile et délicate à la fois dans ma bouche afin de rencontrer la mienne qui n’attendait que ça. Nos langues débutèrent alors une danse endiablée. Je commençais alors à ressentir comme une immense vague de plaisir qui montait en moi, partant de mon ventre pour grimper à mon cerveau.

Jessica aussi sentit que j’étais prête à venir, elle glissa sa main de ma hanche sous mon tee-shirt pour caresser doucement mon bas-ventre, et finalement effleurer mon clitoris, toujours à travers le tissu de ma culotte. À ce moment précis, j’étais totalement perdue dans mon plaisir, prête à tout accepter, même les caresses d’une autre fille, les caresses subtiles de ma meilleure amie. Ma cousine adorée.

Par mes gémissements, je l’encourageais sournoisement à continuer. Sa main glissait désormais sur mon sexe et un doigt décida enfin de me pénétrer. Doucement, mais sûrement. Il pénétra très facilement, vu l’état d’excitation dans lequel elle m’avait mis. Un second doigt vint le rejoindre pour m’emmener vers l’extase.

Je reprenais petit à petit conscience de ce qui venait de se passer. Ma meilleure amie avait réussi à me faire jouir comme jamais je n’avais réussi moi-même avant cela. Et le pire, (mais était-ce vraiment le pire ?), c’était que j’avais réellement apprécié et que j’étais prête à recommencer tout de suite, si elle me le demandait.

Quand elle vit que j’avais repris des couleurs, elle me demanda si j’avais apprécié sa façon d’embrasser. Il s’agissait bien plus qu’un simple baiser et de toute façon, je ne pouvais pas lui cacher à quel prix j’avais adoré tout ce qu’elle m’avait fait. Par pudeur, je répondis par un simple « Oui ».

Je lui demandais alors comment je pouvais la remercier de ce tendre moment. J’espérais sûrement qu’elle me demande de lui montrer comment j’embrassais (réellement et simplement) à mon tour. Son regard s’embrasa, elle posa sa main derrière ma tête pour l’approcher de son visage. Je fermais les yeux avant que nos bouches ne se rejoignent à nouveau.

Puis soudainement, elle dirigea ma tête vers le haut de ses cuisses qu’elle venait de dénuder. Je murmurais des « non, non, non » mais je la laissais guider ma bouche vers son intimité. L’odeur qu’elle dégageait était forte mais finalement très agréable. Je n’avais d’ailleurs ni la force, ni même l’envie de résister. Encore une fois, elle avait vaincu mes résistances pour que je fasse exactement ce dont elle avait envie.

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