Été 2020 (23/30)

Les garçons ayant bougé légèrement, je me déplaçais moi aussi pour continuer à voir sous sa robe. Sans le faire exprès, je bousculais juste un peu une femme qui me tournait le dos. Je me retournais pour m’excuser et je reconnus celle qui avait parlé devant la foule assemblée. Je cherchais de nouveau à voir sous la robe de Marie-Rose quand je sentis qu’on me touchait les fesses. J’esquivais la caresse mais la main était insistante. Une main de femme. Avec des ongles longs. Un peu excitée par Joël, puis par la vision de la culotte de Marie-Rose, je décidais de la laisser faire et je me collais à elle. De loin, je voyais que le moniteur était maintenant seul près de Fanny et je crus voir sa main très proche de la généreuse poitrine. Fanny jeta un regard affolé autour d’elle, espérant que personne n’avait rien vu. Elle me fixa droit dans les yeux et je lui fis comprendre que j’avais vu, mais que je ne dirais rien. Rassurée, elle se laissa gentiment draguée par le beau jeune homme, musclé et bronzé. Derrière moi,  j’entendais parfaitement la conversation. Ils parlaient « Logement social » et ce sujet m’intéressait au plus haut point, vu que c’était justement mon travail. Je me laissais caresser les fesses un moment avant de me retourner, face au groupe. J’étais restée très près de la femme, si bien que sa main se retrouva tout naturellement entre mes cuisses. J’avais pris la précaution de mettre mon sac à main devant moi, ce qui fit que personne ne pouvait voir ce que sa main me faisait.

Surtout des hommes, des entrepreneurs à ce que j’avais compris, une jeune femme qui devait être l’assistante de l’un d’eux et donc l’adjointe au maire qui monopolisait la parole. Quand il y eut un petit silence, je me suis permis d’intervenir dans leur conversation. J’avais moi aussi mon mot à dire sur ce sujet.

« Permettez-moi d’intervenir mais je travaille moi aussi dans le logement social, dans un département voisin. Et je voulais vous dire que nous avons mis en œuvre une charte de bons procédés entre les travailleurs sociaux et les bailleurs sociaux. Et nous nous portons garants de la bonne exécution de cette charte.  »

Tous m’avaient écoutée avec attention. Certains posèrent des questions auxquelles je répondis, sans pour autant dévoiler des secrets. L’adjointe aussi m’avait bien écoutée et elle avait même cessé ses caresses. Vu qu’elle était placée devant un mur, personne ne put voir ma main sur ses fesses à elle. Cela sembla la réveiller et ses doigts reprirent leur activité. Les hommes repartirent vers d’autres groupes, nous laissant relativement seules. Puis, ce fut l’adjointe elle-même qui me posa des questions. Je répondais comme je pouvais et, quand cela n’était plus possible, je lui demandais de contacter directement ma cheffe de service. Sa main avait glissé sous ma robe, courte, et elle avait réussi à s’engouffrer dans ma culotte. J’étais sur le point de jouir à nouveau lorsque son assistant, un beau brun ténébreux, s’approcha de nous. Elle avait d’autres obligations ailleurs et elle devait partir. Avant de partir elle demanda à son assistant de prendre mes coordonnées et celles de ma responsable hiérarchique. Elle me quitta en m’affirmant qu’elle m’appellerait le soir même.

Je restais seule, et frustrée de n’avoir pas joui. Joël avait le nez pratiquement entre les seins de la jeune serveuse du bar, Fanny offrait une vue imprenable à son prétendant. Elle semblait flattée de pouvoir plaire, malgré son gros ventre. Marie-Rose avait les cuisses largement ouvertes, découvrant la lingerie qui cachait difficilement son intimité. Et les quatre garçons n’en perdaient pas une miette. Ils étaient bien trop jeunes pour comprendre que, si l’un d’eux avait osé poser la main sur les seins, ou sous sa robe, Marie-Rose aurait tout accepté. Je pus constater moi-même que le devant de sa culotte était trempé. Fanny souhaitait rentrer et son chevalier servant la raccompagna jusqu’à la porte de la boulangerie. Je restais un peu en retrait avec Marie-Rose. Que je raccompagnais jusqu’à son bungalow. À peine entrées, je me jetais à genoux entre ses cuisses pour baisser sa culotte et récolter son nectar. Elle jouit intensément dans ma bouche et elle me rendit la pareille, juste après. Avant de la quitter, je lui demandais si elle était libre le lendemain soir, vendredi, pour garder les enfants une nouvelle fois. Elle accepta, sachant pertinemment comment cela finirait. Je passais voir Ingrid et Jérôme pour leur proposer de renouveler l’expérience avec Fanny et Joël. J’ai vu les yeux de ma belle-sœur qui brillaient, en attendant la réponse de son mari. Elle baissa les yeux quand il dit oui, évidemment. Je retournais auprès de Fanny pour la prévenir. Elle aussi était d’accord. Et elle savait que son mari ne serait pas contre non plus. Joël rentra bien plus tard, alcoolisé, et monta se coucher directement. Deux minutes plus tard, il ronflait déjà. Géraldine, la vendeuse, vint nous dire bonsoir et resta deux minutes avec moi dehors. Elle avait dit à son futur mari qu’elle avait trouvé la femme qui acceptait leurs conditions. Puis, de but en blanc, elle me demanda si j’avais vu sa tante, Maryse, l’adjointe au maire, qui devait intervenir lors du retour des jeunes navigateurs. C’était donc sa tante ! Je lui dis que j’avais effectivement parlé avec elle de « Logements sociaux ». J’appris de sa bouche que c’était son cheval de bataille. Le Droit Au Logement Opposable. Après le repas, vers 20 heures, je reçus un SMS.

« Venez me rejoindre.  »

Avec une adresse et le pointage GPS exact du lieu de rendez-vous.

D’après mon GPS, ce n’était qu’à quinze minutes à pieds. Je sortis donc en laissant Fanny avec ses deux enfants et je suivais les indications sur mon téléphone pour arriver à une grande bâtisse. Le portail de l’entrée était grand ouvert et une grosse berline noire stationnait devant le perron. Quand je m’approchais de la porte, un éclairage automatique s’alluma. Avant même que je ne sonne à la porte, elle était déjà là, devant moi, me souriant. Elle me fit entrer immédiatement et me guida jusqu’à un petit salon.

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