CARRIE (08/10)

Je suis dans sa culotte désormais et je la doigte tendrement. Ma main gauche agrippe son sein gauche, déjà gonflé par le plaisir, ses tétons sont durs, sa respiration s’accélère encore un peu plus. Elle est au bord du précipice, prête à lâcher prise. Je lui chuchote à l’oreille :

« Tu viens chez moi ?  »

Son plaisir resté en suspens, elle ne peut que se soumettre et me suivre. Avant de descendre, je jette un coup d’œil circulaire. Un homme, assis tout près, semble avoir vu, ou deviné ce que nous faisions. Les murmures de la jeune fille, peut-être. Il a un regard envieux, presque pervers, tout en se massant le sexe qui doit se trouver bien à l’étroit dans son pantalon. Il le signale aussi à la femme près de lui, sa femme ? Ou son amie ? Peu importe. Elle aussi a compris mais ce n’est nullement un regard de désapprobation que je vois, mais plutôt de l’envie. Envie de subir le même sort que la jeune fille ? Elle baisse les yeux, ne pouvant soutenir mon regard. Je l’ai déjà croisée dans mon quartier, cette femme. Mais toujours seule. Je suis certaine qu’elle ferait une très bonne soumise. La jeune fille descend du bus et reste auprès de moi, dans ce quartier qu’elle ne connaît sans doute pas. Elle m’apprend qu’elle se nomme Amandine, qu’elle aura dix-sept ans dans quelques semaines, qu’elle est au lycée Masséna. Ça, je le savais déjà puisque c’est tout près de ce lycée que j’attendais son bus. Elle me suit docilement, juste un peu apeurée en montant dans l’ascenseur. Pour la rassurer, ma bouche se pose sur la sienne. Elle se laisse embrasser, conquise. Elle commence même à me rendre mon baiser quand nous arrivons à mon étage. Qu’importe. Je l’entraine dans le couloir, nos bouches toujours collées dans un tendre baiser. Elle est douce, et très câline. Je vois bien, je sens bien qu’elle est en manque de tendresse. Nous entrons chez moi, nous sommes enfin seules. Réellement. Je lâche ses lèvres juste un instant pour lui ôter son top, la jupe glisse au sol, le soutif aussi. Une petite réticence pour ôter sa culotte, pas grave, elle doit se sentir en confiance, pas agressée. Je l’embrasse à nouveau tout en la guidant vers la chambre. Juste un ordre :

« Déshabille-moi.  »

Bien que gauche, et un peu stressée, elle s’exécute aussitôt. Elle soulève mon top pour découvrir mes petits seins, nus et provocants. Elle ne peut s’empêcher d’y poser un bisou, sur chaque téton. Elle descend mes leggings, entraînant le string. Je suis enfin nue devant elle. Je caresse doucement ses cheveux. Inutile de parler, elle sait parfaitement ce qu’elle doit faire. C’est un peu à contrecœur que sa bouche s’approche de ma fente. Le premier contact est électrique. Je réagis aussitôt, elle aussi. Elle semble apprécier ma peau, mon odeur de femme. Sa langue s’enhardit et vient titiller mon clito. Je me retiens de jouir à ce contact. Je veux profiter plus longtemps de ses hésitations. Elle a pris mes fesses entre ses mains et elle me bouffe la chatte allègrement désormais. Ma cyprine commence à couler doucement et elle la recueille sans en perdre une goutte. Un doigt, puis deux doigts investissent ma fente dégoulinante. Elle me baise avec ses doigts tout en aspirant mon clito. Je jouis enfin abondamment dans sa bouche ouverte. Elle reste en attente de l’offrande que je lui fais, soumise et comblée. Une bonne petite salope. Je la pousse vers mon lit, elle s’allonge, cuisses ouvertes, offerte à moi.

Je la lèche à mon tour, elle est vraiment divine. Je lui ôte sa culotte, pas de réaction. Ses seins gonflés par le désir appellent mes caresses. Les bras en croix et les cuisses écartées au maximum, elle se donne totalement. Discrètement, je sors un gode du tiroir de ma table de nuit. Il pénètre sa petite chatte étroite. Puis bloqué. La petite salope est encore vierge. Peu importe, je continue à la baiser en faisant attention de ne pas la déflorer. Pas sans son accord. Elle se pâme sur le gode qui commence à vibrer en elle. Elle jouit, une fois, deux fois. Je n’arrête pas de jouer avec son corps et elle jouit une dernière fois, tellement fort qu’elle semble perdre connaissance. Sophie est rentrée. Interpellée par les plaintes, elle a passé la tête par la porte, restée entrouverte. Je lui fais signe d’entrer. Amandine revient à elle tout doucement. Elle tente de se cacher la poitrine, mais renonce aussitôt. Sophie se déshabille à son tour. Amandine est subjuguée par la poitrine impressionnante de ma soumise. Sophie se penche doucement au-dessus de la bouche entrouverte de la jeune fille, celle-ci ne peut résister. Ses mains s’emparent des deux globes qui pendent près de sa tête. Elle caresse amoureusement les seins majestueux, tout en rendant son baiser à Sophie. Toutes à leurs plaisirs, je m’équipe de mon gode ceinture et me faufile derrière Sophie.

Recouvert de gel lubrifiant, le gode se pose sur la rosette frétillante et la pénètre lentement. Quel plaisir divin d’investir un cul aussi sublime !! Amandine regarde ahurie la pénétration dans le fondement qui n’attendait que cela. Accrochée aux hanches de Sophie, je commence à aller et venir dans son cul, lui procurant mille sensations, provoquant des milliers de petits orgasmes dans son corps qui, mis bout à bout, font monter sa jouissance du plus profond de son être. Elle jouit enfin sous les yeux d’Amandine. Sophie s’effondra près de la jeune fille, vaincue par le plaisir. Amandine se pencha sur elle pour l’embrasser, la caresser. Elle commença à la téter amoureusement, prolongeant l’orgasme de la suppliciée. Tandis qu’une main s’occupait de ses seins, l’autre s’engouffra dans la chatte offerte. Sophie ne peut résister plus longtemps et hurla une fois de plus son bonheur. Heureusement que les murs sont épais, et les appartements bien isolés phoniquement. On la laissa se calmer, la couvrant de bisous tout de même.

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