Elle serra ses jambes sur mes fesses et sa petite chatte se frotta sur mon ventre. Douce sensation. Nous avons suivi Amélie dans sa chambre puis refermé la porte. Je posais délicatement Lucie sur le bord du lit tandis que Charlène ôtait la robe de sa grande sœur. Lui tenant les bras dans le dos, elle l’approcha de Lucie avant de défaire le soutif. Les deux globes sortirent de leurs bonnets et Lucie put enfin les admirer de près. Et les toucher aussi. Elle posa très vite ses petits doigts sur les rondeurs, faisant ronronner ma meilleure amie. Amélie me regarda sourire devant son étonnement puis finit par se laisser faire et apprécier le moment présent. Elle ferma les yeux de bonheur quand la jeune fille prit ses tétons en bouche.
Charlène avait ôté son tee-shirt et s’occupait des fesses de sa sœur, appétissantes. Elle s’agenouilla pour les embrasser et jouer avec la rondelle de l’anus. Lucie, je l’ai déjà dit, semblait un peu plus perverse que sa jeune amie, sans être méchante, mais voulait tout découvrir, tout, tout de suite. Lucie tétait avec bonheur les deux globes voluptueux, puis stoppa d’un coup. Elle se leva, fit asseoir Amélie là où elle était et la fit s’allonger sur le lit. Charlène grimpa sur le lit à son tour et se plaça au-dessus de sa sœur, qui avait une vue imprenable sur sa petite vulve. Elle-même se pencha pour embrasser la chatte de sa sœur, qui se mit très vite à gémir, de plaisir. Lucie me demanda à voir les « outils » du plaisir et j’ouvrais mon sac. Elle ouvrit de grands yeux devant l’assortiment proposé.
Elle sortit de suite le petit canard vibrant pour le mettre dans les mains de Charlène. Celle-ci le mit en marche et le promena sur la fente et le clito, faisant vibrer sa grande sœur. Lucie sortit ensuite un gode argenté, de bonne taille, et l’approcha de la vulve offerte. Je la surveillais afin qu’elle aille doucement et elle entra dans la grotte humide, avec beaucoup de précautions. Elle regardait le visage de la soumise de temps en temps pour y lire le plaisir qu’elle lui donnait. Elle ne s’arrêta qu’une fois bien au fond et me regarda. La lueur de plaisir que je vis dans ses yeux m’excita au plus haut point…
Tout en me fixant droit dans les yeux, elle tourna la base pour le mettre en marche, niveau 1. Un bruit feutré se fit entendre et je vis les frissons parcourir les cuisses d’Amélie. Je posais ma main sur celle de Lucie pour lui donner le rythme des va-et-vient. Puis je la lâchais pour lui laisser le contrôle de ses mouvements. Charlène la regardait faire, admirative. Elle savait que son tour viendrait bientôt. Elles en avaient discuté déjà et voulaient le tester sur Amélie avant de passer à l’acte, l’une sur l’autre, puis inversement. Elles tenaient à découvrir toutes (ou presque) les facettes de la relation saphique. Lucie accéléra un peu le mouvement. Amélie se cambra un peu plus, puis s’accrocha aux hanches de sa sœur.
En relevant la tête, elle avait accès à son petit minou et ne s’en priva pas. Charlène gémit au contact de la langue qui la fouillait, la léchait, l’aspirait toute. Un regard complice vers Lucie qui passa le vibro en niveau 2. Moi, un peu à l’écart, je les observais et les enviais de découvrir ces nouvelles sensations. Pour ne pas être en reste, je pris un vibro de petit diamètre, à peine plus gros qu’un stylo, mais terriblement efficace dans la région anale, pour une première fois. Je le mis en marche et l’appliquait sur la rondelle de Lucie qui frémit sous l’effet mais, curieusement, se pencha en avant pour en accentuer les effets. Il rentrait à demi dans son anus et elle semblait en vouloir plus.
Un bisou dans son cou et je le retirais, pour en faire bénéficier sa petite amie. Amélie reconnut l’objet et je vis ses yeux briller de bonheur devant mon initiative. Je l’approchais de la rondelle brune de Charlène et je la vis tressaillir de surprise, acceptant tout sans oser dire non. Je le fis tourner autour de son anus, le faisant entrer par brefs moments. Quel bonheur de la sentir vibrer sous les caresses ! Un coup d’œil à Lucie qui sembla me donner l’autorisation de pénétrer sa complice de jeux et je le fis entrer à fond de son anus, toujours vibrant. L’effet fut immédiat, elle se mit à jouir aussitôt et inonda le visage de sa sœur. Ce qui déclencha l’orgasme de sa grande sœur.
Les laissant se remettre doucement, l’une sur l’autre, je fis passer le tee-shirt de Lucie par-dessus sa tête pour la voir nue, elle aussi. Puis, à mon tour, j’ôtais ma robe d’été pour me retrouver aussi nue que mes amies. Je demandais à Lucie de m’aider à passer le gode-ceinture, et elle se précipita pour m’aider. Une fois en place, elle resta à genoux devant moi pour lécher le gode, comme elle avait dû le voir faire dans un film porno. Je me plaçais ensuite entre les cuisses d’Amélie, prête à la pénétrer. Charlène se plaça à côté d’elle et ouvrit grand ses cuisses pour enfin se faire dépuceler par son amie. Lucie pénétra doucement le gode dans la chatte de Charlène, tout comme elle l’avait fait avec Amélie.
Moi, je m’enfonçais en elle à la même vitesse, calquant mes gestes sur ceux de la jeune fille. Quand elle accéléra, je m’agrippais aux hanches de ma soumise pour la prendre à fond. Lucie passa le gode en première vitesse et je vis des étincelles dans les yeux de Charlène. Elle tenait la main de sa sœur et elles ne se quittaient plus du regard, souhaitant vivre pleinement leur premier orgasme en simultané. Lucie accéléra encore son mouvement de va et vient et passa le gode en vitesse 2. Charlène se tendit comme un arc, se tordant de plaisir. J’enfilais le petit gode dans le cul d’Amélie pour la faire monter en tension elle aussi.