Honneur à la propriétaire des lieux, je commençais par Charlotte tandis que Fabiola l’embrassait goulûment. Quatre ou cinq coups de bite et je pénétrais Fabiola, avant de retourner baiser Charlotte. Quand je baisais l’une, je doigtais l’autre pour toujours la maintenir dans un état d’excitation maximal. Quand je sentis que Charlotte allait jouir, je me concentrais sur Fabiola afin de leur offrir un orgasme simultané. Elles s’effondrèrent sur le canapé, vidées.
De les voir jouir ainsi m’avait donné une autre envie. Je récupérais de la mouille de l’une et de l’autre et commençais à lubrifier leur petit trou. Fabiola, sans doute plus habituée, se laissa faire avec plaisir. Charlotte était plus réticente. Je la rassurais en lui promettant qu’elle n’aurait pas mal et qu’après, elle en redemanderait.
Deux doigts facilement entraient dans le fondement de Fabiola. Un seul pour Charlotte que j’élargissais doucement. Méticuleusement, un second doigt vint rejoindre le premier. Je pouvais manœuvrer librement maintenant. Et elle semblait apprécier la chose. Puis, je commençais à enculer Fabiola, sous les yeux ébahis de Charlotte qui voyait le gode disparaître dans le cul de son amie, et celle-ci qui savourait la progression lente, mais efficace, du monstre en elle. Une petite pause à mi-longueur. Et soudain, m’accrochant aux hanches de la belle, je l’enculais à fond. Surprise de l’attaque, elle jouit immédiatement mais je n’en avais pas fini avec elle. Doucement d’abord, puis plus vite ensuite, je commençais à la labourer. Fabiola appréciait la manière sauvage que j’avais de la baiser. Avant de jouir à nouveau, elle murmura à Charlotte.
« Bientôt, ça va être ton tour ».
Et elle jouit bruyamment, avant de s’effondrer pour de bon. Le gode, bien lubrifié, s’approcha de Charlotte qui eut un frisson à son contact. Mais très vite, elle se détendit pour profiter pleinement de cet instant. Une première fois, ça ne s’oublie jamais. Je manœuvrais doucement pour ne pas la déchirer et le gland finit par entrer. Une petite pause pendant laquelle je caressais ses seins gonflés de plaisir. Puis je titillais son clito en continuant ma progression dans son cul.
Elle venait elle-même au-devant du gode, attendant impatiemment le moment où elle serait remplie entièrement. Un dernier coup de reins et j’étais bien plantée en elle. Une minute de répit avant de me retirer à moitié. Puis entrer à fond de nouveau. Charlotte était comme une folle. Elle jouissait en continu mais cela ne m’arrêtait pas. Je voulais la faire grimper au septième ciel. Et elle y arriva très vite. Comblée, de la chatte et du cul. Plus un son ne sortait de sa gorge. Elle jouissait dans un silence de cathédrale.
Après cela, je me suis affalée sur le fauteuil voisin et Fabiola est venue entre mes cuisses, lécher mon nectar qui s’échappait. Elle s’éclipsa avant que Charlotte ne reprenne pleinement conscience. Elle voulait être rentrée avant sa fille. Quand Charlotte émergea enfin, elle vint se jeter dans mes bras pour me remercier. Elle en pleurait presque de bonheur.
» J’espère qu’on recommencera souvent, à trois, ou même seulement à deux, avec toi ou avec Fabiola ».
« Fabiola est mariée mais je suis sûre qu’elle n’oubliera pas ton adresse. Et moi non plus, évidemment ».
Nous sommes allées sous sa douche ensemble pour prolonger ce moment intense de sensualité. Charlotte est vraiment une belle femme. Elle apprécie les femmes, mais ne dit que rarement non à un homme. Elle est bi, tout comme moi, et Fabiola bien sûr.
Le lendemain midi, j’étais invitée chez mon père par Fabiola. Il était ravi de voir que l’on s’entendait super bien avec sa femme. Le sport qu’elle pratiquait en ma compagnie semblait lui avoir redonné une énergie folle. Il m’avoua bien plus tard que, même au lit, elle redoublait d’attentions pour lui et lui avait même proposé de faire participer une autre femme à leurs ébats. Il ignorait si elle pensait à une femme en particulier ou bien simplement à une éventualité.
De même, il ignorait totalement les moments intimes que j’avais pu avoir avec sa femme, et d’autres. Il le lira quand je lui donnerais le lien vers mon blog. Il aura ainsi l’occasion de mieux comprendre sa femme, sa fille, ses filles. Il apprendra que, adolescente, je les ai observés, lui et Fabiola, pendant leurs ébats amoureux. Faut dire qu’ils n’étaient pas très discrets. Surtout elle. Et j’avais compris en voyant la taille de mon père, de son pieu.
Personnellement, je n’ai pas encore rencontré un jeune homme comparable à mon père, niveau taille.
Ce vendredi midi, donc, Fabiola s’était surpassée. Une délicieuse salade en entrée suivie d’une raie au beurre blanc. Fromage et fruits pour finir. Elle voulait accueillir comme il se doit sa meilleure amie d’enfance, Alice. Jolie femme rousse, avec une forte poitrine elle aussi. Et un sourire à faire fondre un iceberg. Elle essayait de sourire mais elle gardait son regard triste.
Après le repas, c’est mon père qui a emmené Wendy à l’école, nous laissant toutes les trois. Fabiola nous proposa de boire le café sur la terrasse, près de la piscine. C’est là que la jeune femme nous confia ses problèmes. Un mari volage, et alcoolique. Qui découchait souvent. Soi-disant, le boulot. Elle ne se faisait aucune illusion.
C’est à ce moment que je lui parlais d’une cliente qui s’était retrouvée dans une situation similaire et qui m’avait vanté les mérites de son avocate qui lui avait obtenu plus que ce qu’elle n’aurait espéré. On plaisanta un peu à propos de l’ex-mari qui s’était retrouvé à poil, financièrement parlant. C’est cela qui lui avait permis de s’acheter une voiture neuve chez nous.
« Je te donnerais son numéro et tu pourras la joindre en précisant que tu viens de la part de Mme H. Elle va le bouffer tout cru, ton mari ».
Cela réussit à lui redonner le sourire. Son visage rayonnait véritablement. Puis, on parla d’autres choses, plus futiles. Il faisait chaud et l’envie de me baigner se fit plus forte. Mais je n’avais pas de maillot avec moi.